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Critiques de Victor del Arbol (602)
Les pigeons de Paris

Court livre très émouvant et poétique.

La nostalgie et le silence sont les thèmes principaux de cet ouvrage.
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Par-delà la pluie

J'avais très envie de découvrir cet auteur dont on m'a vanté les mérites et la poignante humanité.



Malheureusement, dans mon envie de découverte, je n'avais pas lu le résumé sinon j'aurais su qu'il me fallait éviter ce roman : personnages âgés, maison de retraite, Alzheimer, mort... Ca m'a rappelé bien trop de souvenirs personnels pas encore cicatrisés et malgré l'évident talent de l'auteur, j'ai refermé ce livre. J'y reviendrai peut-être dans quelques années.
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Par-delà la pluie

Avec ce cinquième roman traduit en français, l’Espagnol Víctor Del Árbol nous propose un étonnant road trip [...] Sans être aussi bon que Toutes les vagues de l’océan ou La veille de presque tout, un livre qui risque quand même d’en remuer plusieurs.
Lien : https://www.journaldequebec...
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Par-delà la pluie

Victor del Arbol ne s'embarrasse pas des lieux communs du roman noir en ouvrant Par-delà la pluie avec une scène de suicide. Mais ce tragique prologue a le don de cristalliser une pulsion de mort qui va battre durant 448 pages.


Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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La tristesse du samouraï

Un bon polar espagnol sur fond historique. J'ai beaucoup aimé les aller-retour dans le passé. Il m'a donné envie de mieux découvrir cet auteur
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La tristesse du samouraï

J'ai apprécié cette fiction d'une écriture dense sur fond d'histoire espagnole que je ne connais pas


Lien : http://paysdecoeuretpassions..
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Les pigeons de Paris

Histoire toute en délicatesse comme l'objet livre lui-même. Un ravissement.
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La tristesse du samouraï

Préface : Maria se meurt, à Barcelone, d’une tumeur au cerveau.

1. 10 décembre 1941 : La guerre civile est finie. Isabelle fuit avec son dernier fils, Andres. Mais elle est arrêtée et ne verra donc pas le Portugal. Andrès sera confié à son père.

2. Novembre 1976 Barcelone : Maria apprend, par hasard, que son père est atteint d’un cancer. Elle est mariée à Lorenzo, un con selon Greta, l’associée de Maria. Elle doit donc aller informer son père, Gabriel, qu’elle n’a pas vu depuis des années.

3. « Je suis montée voir maman » Sa mère s’est pendue il y a 30 ans (en 1946) ; Maria est âgée de 36 ans !

4. Pura : son mari Ramoneda, qui la tabasse, travaille comme indic pour César Alcala. Maria prend la défense de Ramoneda : elle est avocate. Alcala est lui condamné et incarcéré.

5. Mai 1941 : à Mérida – Sept mois avant la disparition d’Isabelle, Guillermo, le mari de Pura doit mourir selon Marcelo (précepteur de son fils) et amoureux d’Isabelle. Mais l’attentat projeté échoue.

6. Novembre 1980 Barcelone : réapparition de Lorenzo, l’ex et de son supérieur

7. 2 jours plus tard à san Lorenzo (Pyrénées) : un inconnu aborde Gabriel au cimetière et lui rappelle des faits vieux de 40 ans à savoir la forge d’un sabre pour Andrès Mola, le fils d’Isabel Mola, ce sabre étant dénommé « la tristesse du samouraï »

8. Décembre 1941 Badajoz : Isabel est exécutée au petit jour sans avoir dénoncé les complices de l’attentat sur son mari Guillermo. Fernando, son ainé, promet la vengeance à son père qui vient de l’envoyer en Russie.

9. Décembre 1980 prison Modelo à Barcelone : César Alcala survit en prison ;mais il sait que sa fille qui a été kidnappée, est vivante.

10. Maria rencontre Alcala en prison (sur ordre) Il parle …

11. Janvier 1942 Mérida, propriété des Mola Guillermo déménage pour aller vivre à Barcelone. Le précepteur, Marcelo, part.

12. Décembre 1980 Noël à Barcelone : Messe de minuit ; Ramoneda menace Maria et son père.

13. 27 décembre 1980 : Greta quitte Maria. Ramoneda surveille sa proie

14. Début 1981 Barcelone : Marta est vivante mais attachée, emprisonnée, martyrisée. Par qui ? pourquoi ?

15. Marcelo est torturé puis pendu mais il n’avouera pas. Publio a perdu.

16. Janvier 1981 ancienne propriété Mola : Publio retient Marta prisonnière dans l’ancienne propriété des Mola.

17. 6 jours plus tard à Barcelone : l’inspecteur Marchan découvre un nouveau cadavre mutilé, Pedro Recasens, colonel de réserve ; Marchan suspecte toujours Maria.

18. 24 plus tard toujours à Barcelone : Alcala informe Maria qu’elle est manipulée par Lorenz, son ex.

19. Décembre 1943 Leningrad : Fernando Mola dans le froid…il découvre le meurtrier de sa mère. Infiltré chez les russes …

20. 2 février 1941 Barcelone : Fernando et Gabriel s’affrontent. Gabriel de vra informer sa fille Maria de ce qui s’est réellement passé autrefois.

21. 3 février 191 Barcelone : Marta est toujours prisonnière et doit subir de quelqu’un qui possède et a usé de son Catana, un homme de Publio ?

22. Aout 1955 Barcelone : Fernando, libéré par Staline, revient à Barcelone pour affronter son père ; accessoirement pour faire évader son frère Andres qui va mourir dans un incendie provoqué pour le libérer.

23. 8 février 1981Barcelone : Lorenzo admet devant Maria qu’il travaille pour Publio, ce dernier lui ayant demandé de la tuer.

24. Même jour Barcelone : Maria apprend la vérité

25. 10 février 1981 prison de Barcelone : la tumeur …

26. 11 février 1981 san Lorenzo (Pyrénées) Gabriel se suicide …

27. Hôpital de Barcelone : Fernando rencontre Maria à l’hôpital ; César s’évade …

28. 12 février 1981 matin à Barcelone

29. Fernando fait son introspection : qui suis-je ? il est rejoint par Maria et l’inspecteur Marchan. Il est venu tuer son frère qui détient Marta. Ramoneda apparaît qui leur met le feu.

30. 18-20 février 1981 : dernier repas avec Greta, dernière balade en ville, Ramoneda la suit pour la tuer mais c’est lui qui est tué par César Alcala.

31. 21-23 février 1981 : c’est le coup d’État ; Maria va être opérée ….



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La tristesse du samouraï

J'avais été captivée par l'histoire de "Toutes les vagues de l'océan" et la si belle écriture de Victor del Árbol, tellement bien retranscrite par le traducteur, le même que pour "La tristesse du Samouraï" (j'avais vérifié !).

Cela s'annonçait donc prometteur.

J'ai retrouvé ce style qui m'avait tant plu, fluide, travaillé, riche en vocabulaire, parfois proche de la poésie.

J'ai retrouvé aussi des thèmes qui semblent chers à l'auteur : la trahison, le poids de l'héritage familial, la culpabilité, les liens parents/enfants, l'Histoire qui écrase les individus.

Tout s'enchaîne ; les évènements s'emboîtent pour former un tout, il faut juste accepter de se laisser transporter sans faire preuve de trop d'impatience, parce que l'auteur prend son temps ; pas besoin d'être au fait du franquisme et de l'histoire de l'Espagne pour s'y retrouver mais un petit tour sur Wikipédia aide à comprendre certains enjeux.

Alors, je ne peux pas dire pourquoi cette fois-ci, la magie n'a pas opéré...Peut-être un petit air de déjà vu...J'ai eu du mal à entrer en empathie avec les personnages ; certes leurs états d'âme étaient bien décrits, mais je suis restée à ma place de lectrice sans réussir à ressentir d'émotion particulière, jusqu'à me dire à la fin du livre "Tout ça pour en arriver là, n'y avait-il pas des moyens plus simples ? D'autres choix à faire ?". Peut-être que c'est cela : trop de violence, trop de morts, trop de torture, trop d'injustice, trop de femmes battues, violées, etc. Du coup, l'envie de vite finir ce livre, pour respirer, passer à autre chose...



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La veille de presque tout

D'accord avec les critiques précédentes ; j'ai été vite conquis mais ensuite il devient difficile de garder le fil .Des personnages pour lesquels il est possible d'avoir de l'empathie mais sans vraiment les comprendre.
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Toutes les vagues de l'océan

*****
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La veille de presque tout

Ce nouveau roman, La Veille de presque tout, est plus ramassé que les précédents, mais a toujours comme base cette valse des époques que del Árbol manie d’une main de maître.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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La tristesse du samouraï

L'histoire se déroule en Espagne, elle trouve ses racines en 1941 et se poursuit en 1981. Les deux périodes se succèdent, s'entremêlent, se répondent. Le récit universel des histoires individuelles et des histoires familiales aux prises avec la grande Histoire n'a pas de fin, il se poursuit bien au-delà de la dernière page du livre. L'auteur serre au plus près ses personnages sans oublier de nous imprégner du climat ambiant qui règne en Espagne à ces deux périodes. Les luttes de pouvoir, la violence, le besoin de vengeance n'en finit pas. Et chaque protagoniste balloté par le passé et le présent est seul pour trouver son chemin, vivre sa propre vie et choisir son destin.
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La veille de presque tout

Noirceur des âmes. Folie. Passé fait de zones d'ombre. Quelles sont les conséquences de certains actes sur les vies des individus et de leur descendance? Le passé peut-il être oublié? Doit-on tourner la page sur ce qui nous a blessé, marqué au fer rouge? Doit-on simplement accepter notre situation présente, sans la voir comme une conséquence d'un passé parfois trouble? À la lecture de ce livre, on comprend que tout être humain porte en lui un bagage de souffrances qu'il est le seul à pouvoir exorciser, et qui forgent son destin. À l'image des autres oeuvres de V. del Arbòl, on a affaire à tout un lot de personnages tourmentés et au bord de l'abîme. Cela dit, j'ai préféré de loin, et dans l'ordre: Toutes les vagues de l'océan, La tristesse du samouraï et La maison des chagrins.
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La tristesse du samouraï

Premier roman de ce genre pour moi et pas déçue malgré certains passages très durs. Ce roman retrace le destin de plusieurs familles guidées par la haine qui se transmet de génération en génération et dont les vies se croisent.

Livre qui donne la part belle au genre historique, de la guerre civile espagnole aux années 1980.

Fait également réfléchir sur les relations parents-enfants et de l'héritage psychologique que nous pouvons laisser à nos enfants.

Donne envie de lire les autres romans de cet auteur.

Très belle écriture.
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La veille de presque tout

Le romancier espagnol traque dans le passé de ses personnages la racine de leurs crimes ou de leurs malheurs.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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La maison des chagrins

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La veille de presque tout

Pas le meilleur. Un peu longuet
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La veille de presque tout

Il a été séminariste, policier, garde du corps… Les multiples vies de l’auteur catalan, « écrivain de l’expérience », nourrissent son œuvre sombre. « La Veille de presque tout » n’échappe pas à la règle.


Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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La veille de presque tout

c'est pas mon préféré! celui-ci m'a dérangé, j'ai eu du mal à le lire
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