Yoshitoki Oima

Tant que j'en aurai la force, je marcherai !

"Que tu sois un homme ou un monstre, moi, ça m'est égal. Après tout, dans les deux cas, tu es toujours toi, non ? Celui qui se montre au grand jour ou celui qui se sent obligé de se cacher, pour moi, ça reste un garçon bizarre que j'aime bien. C'est toi, tu es ce que tu es. Allez, viens ! Tu ne comptes pas détourner ton regard du mien jusqu'à la fin de tes jours, n'est-ce pas ? J'ai envie d'apprendre à mieux te connaître ! Même s'il faut que tu portes un masque pour ça !"

Au collège je n’étais pas très optimiste quant à mon avenir…
Mais maintenant même ce futur imaginaire me semble plein de promesse !
Ma façon de voir les choses a changé… comme mes sentiments pour Shoko.

Je n’étais jamais allé aussi loin, je n’en menais pas large...
Une fois sur place, je me suis rendu compte que la distance n’était pas si grande...
Il suffisait d’avoir assez d’argent de courage pour acheter un billet !

Imagine un gamin qui embête sans arrêt une petite fille....dont la mère lui en veut à mort...même si cette fille lui pardonne.
Comment le garçon peut savoir s'il mérite son amitié?

La vie est un combat contre l'ennui ...

Après ça ...
Tous les matins ...
J'ai trouvé mon bureau couvert d'inscriptions à la craie ...
Des horreurs que Shoko ...
Avait eu la gentillesse d'effacer avant que je les voie ...
Alors ...
Que je la détestais ?

Le moment qui m’a le plus marqué se trouve à la page 68 : « OUAHHHHHHH !!! » . C’est le moment où il lui a crié dans les oreilles et qu’elle n’a rien

Entendu. Tout le monde le regardait, étant choqué mais en se moquant un peu de lui. Ce passage était intéressant et assez divertissant, montrant que le harceleur perdait de sa popularité.


Passage choisi pas Merlin

Moi aussi j’y ai pensé ! Mais je me suis dit que malgré toutes mes erreurs, je ne méritais pas de mourir.

Mme Kita: "Comment tu t'appelles ?
Miyoko: s'il le faut, j'étudierai une heure par jour.....J'aiderai Shoko toute la journée...en classe et même pendant les pauses....Comme ça, les autres n'auront pas à se forcer !
Mais pourquoi ?...
En fait, ça m'a toujours intéressée....."

Yasho m'a accepté comme j'étais... Pour la première fois, j'ai compris ce que ça voulait dire d'avoir un ami !

Moi, pour avancer... j'ai besoin de couper les ponts !

- Je... Je te demande pardon... Je ne m'étais jamais excusé comme il faut... Ni pour ce qui s'était passé quand on était petits... Ni pour ces derniers temps, d'ailleurs ! J'avais l'impression d'être à l'écoute ... Mais ce n'était qu'une impression, justement. J'aurais dû me douter que tu ne me disais pas tout sur toi. ! C'est normal, personne ne le fait...

- Je crois que je suis enceinte...
- Ça tombe vraiment mal!
- Mais non... Plus on est de fous, plus on rit!
- Hein?
- J'apprendrai la langue des signes avec shoko et le bébé...
Et je m'occuperai d'eux pendant que tu travailles !
- Maman...
- Je ne vous laisserai pas tomber, ni toi ni mes petits-enfants!

Je me suis rendu compte que c'était une chance d'avoir des amis avec qui se disputer pour des bêtises...

- On s'est tous inquiétés pour toi!! Au cas où tu n'aurais pas remarqué, tu n'es pas la seule à galérer! C'est comme ça, la vie! Ce n'est facile pour personne! Pourtant... c'est ce qu'il y a de plus précieux!

Less gens ont beau penser qu'ils se sont repentis... à un minent donné, il faut payer l'addition.

"En fait, j'avais besoin de te parler! Je n'arrête pas de penser à toi depuis le CM2... Si on avait pu se parler à l'époque, les choses auraient été différentes... Je me déteste! Je ne suis qu'un égoïste... je méprise toute ma classe... alors qu'en 17 ans et demi, je n'ai jamais rien fait de bien! Je n'ai réussi à communiquer avec toi qu'en te blessant... Je m'en veux tellement! Le pire, c'est que je n'ai pas changé du tout... mais au moins, maintenant, j'arrive enfin à entendre ta voix! Tu crois que toi et moi... on pourrait devenir amis?" # Shoya

- On ne sait jamais ce que les chats pensent vraiment...
- Mais ça ne me dérange pas, au contraire. Comme on ne peut pas communiquer avec des mots, on est forcés de réfléchir... Ça laisse un peu de place à l'imagination !
- Pour savoir de quelle humeur est un chat, il suffit de regarder sa queue, non ?
- En théorie... Mais je ne suis pas sûre que ce soit si fiable... Ce n'est pas parce qu'ils quémandent des caresses qu'ils ne nous prennent pas pour des imbéciles !

Je me suis rendu compte que c'était une chance d'avoir des amis avec qui se disputer pour des bêtises...

Je me suis rendu compte que c'était une chance d'avoir des amis avec qui se disputer pour des bêtises.