Yves Sente

Le message du martyr est l’avant-dernier épisode de cette nouvelle saison de la série XIII. Et oui, l’on s’approche déjà de la fin de cette nouvelle période qui marque un renouvellement important, une renaissance même, d’une saga qui depuis XIII Mystery (à l’exception de La version irlandaise et Du dernier round) peinait à retrouver son souffle.



Assurément Youri Jigounov apporte beaucoup de bonnes idées et quelques surprises bien pensées (tiens donc… mais lui-là ce ne serait pas.. à ben si ! c'est bien lui) qui s’inscrivent dans la droite ligne de l’état d’esprit de la série (ce mélange de chance et de malchance si savamment dosé). Les flash-back sont nombreux et intéressants à suivre, même s’il faut bien reconnaître qu’ils suscitent davantage la curiosité qu’ils ne répondent aux questions. La trame générale progresse pourtant, quelques révélations sont faites, notamment sur cette fameuse branche 3 et ce bien mystérieux parrain. La progression laisse toutefois envisager un dénouement explosif. Le tout dans le plus style de la série. Avis aux amateurs !



Le scénario est bien équilibré. L’action est au centre de ce titre, mais une place importante est laissée aux dialogues et aux relations entre les personnages. Certains nouveaux font leur apparition, certains mécaniques également (ainsi la chasse aux symboles version Dan Brown, il fallait y penser). Les retours en arrière sont ici complétés par de nouveaux horizons bienvenus (dont un passage de notre amnésique par… Paris !). Les adeptes de cinéma trouveront ici un nombre plutôt incroyables de références au 7ème art. D’ailleurs l’impression générale que l’on a mis le nez dans bon film hollywoodien devient une évidence au fil de la lecture. La grande qualité des dessins de Yves Sente ne font que renforcer ce constat.



Assurément voici un opus qu’il faut avoir lu et qui va nous faire patienter pendant un an. Cet album peut potentiellement réconcilier bon nombre de personnes avec XIII. Les très nombreuses références aux tomes précédents (y compris la série parallèle) sont autant d’invitations à une relecture d’ensemble. Un achat indispensable donc… dont la lecture est tout aussi agréable que s’annonce une attente qu’il va être difficile de supporter… une nouvelle fois.

Le dessin réaliste de Jigounov dans Alpha passait bien dans une série d'espionnage. Là il reste fidèle aux traits des personnages de Vance, tout en apportant sa modernité dans les décors urbains et les modes de transport. Le tome précédent m'avait un peu déçu, ce tome, qui comporte une grande partie de course poursuite aux Pays-Bas avec l'aide d'une jeune junkie Annika, relève le niveau. Moins de délires complotistes, plus d'action. C'est tout, et c'est bien mieux.

Le ton général ressemble beaucoup à n'importe quelle série ou film du genre. Épisodes dans des sites prestigieux et apparition d'une James Bond girl sous la forme d'Annik, Sente ne se prive même pas d'utiliser quelques codes qui auraient fait sourire Ian Fleming. Heureusement, malgré ces airs de déjà-vu, Le message du martyr se lit d'une traite, un sac de pop-corn à portée de main.
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J'ai bien aimé ce tome que j'ai trouvé palpitant. Cependant, je regrette que la touche d'humour qui teintait les épisodes du premier cycle, ne soit plus présente. Jason est plongé dans une chasse au trésor avec toujours des tueurs à ses trousses.

Ce palpitant et mouvementé cinquième opus de la seconde saison de « XIII » est riche en révélations.
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Aussitôt acheté... aussitôt lu ! Malgré les années, malgré les déceptions, malgré un nombre croissant d'albums, la saga XIII est toujours aussi immersive. L'héritage de Jason Mac Lane est un album impressionnant et va réussir à reconquérir son public.



Youri Jigounov parvient ici à surpasser le maître Jean Van Hamme et à rendre hommage au cycle historique de la saga. Nous avons droit ici à des très nombreuses révélations... les textes sont longs et l'action passe au second plan. Une lecture des albums précédents est indispensable.



Les adeptes auront de quoi être rassurés, même si certaines pistes sont un peu difficiles à avaler (notamment l'identité de la présidente de la fondation, où l'histoire familiale des Mac Lane décidément bien tourmentée). De même, quelques passages donnent un peu l'impression d'avoir été précipités. Les références aux albums précédents nous font bien vite oublier toutes ces petites frustrations (qui ne seront pas ressenties comme telles par les fans).



L'attente suscitée par cet album est amplement justifiée. Quelle complexité ! Il est évident que la série est loin d'être achevée et possède (encore) du potentiel.



Les dessins de Yves Sente ne sont pas ceux de William Wance. Le constat est évident surtout lorsqu'on s'arrête sur la première de couverture. Pourtant, l'on oublie tout cela tant l'intrigue est immersive. Dans le feu de l'action, l'on pourra même être surpris par ce trait si réaliste. Les dernières planches, bien qu'originales, auraient peut-être gagnées à être insérées plus tôt dans l'intrigue.



Tout est dit. Il s'agit d'un album d'exception qui puise beaucoup dans le cycle historique (conjuration des XX), tout en introduisant une chasse au trésor bien plus passionnante que la précédente et en construisant une histoire à part entière. Cet album est exceptionnel. Vivement la suite ! Vite ! Vite ! Vite ! S'il vous plait... ayez pitié de nous pauvres lecteurs !

Un bon tome, classique, qui ne déçoit pas.
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Ce tome va surement devenir "un pilier" dans le 2ème cycle des aventures de Jason Mac Lane (XIII), car on nous dévoile enfin son arbre généalogique. Et ses précisions sont utiles, elles rendent les précédents tomes beaucoup plus compréhensibles. Malgré ces révélations sur les origines de XIII, le mystère reste intact car l'apparition de nouveaux personnages entraîne de nouvelles interrogations...

WOAWW ! Comme dirait l’autre ! C’est du lourd, et du copieux… Les amateurs de rebondissements et de courses poursuites ne seront pas déçus.

Ce numéro 24 de la série XIII, reprise par Y. Sente et I. Jigounov, fait plaisir à voir et à lire !

Côté dessin, le trait est toujours appliqué, les personnages fidèles à leur image, les décors réalistes, je n’aurai qu’un regret : la mise en couleur par ordinateur qui assombrit et quelquefois affadit le dessin. Mais bon…

Côté scénario c’est un feu d’artifice ! J’en connais un dont le nom commence par HER et se termine par MANN qui ferait bien de s’en inspirer et se remettre au boulot pour donner plus de consistance à ses histoires.

Mais revenons à notre héros amnésique.

Embarqué dans une nouvelle quête de son identité, manipulé par une brochette de politiciens, militaires et mafieux plus fourbes les uns que les autres, Jason Mc Lane cavale depuis 5 tomes, d’un bout à l’autre de la planète et peine à semer ses poursuivants. À trop vouloir aider ses amis il va s’en éloigner et à trop fréquenter la Fondation Mayflower il pourrait bien se brûler les ailes…

On retrouve enfin la grande aventure chère à nos auteurs disparus, Jacobs, Martin, Charlier, et j’en passe, qui considéraient le lecteur comme un partenaire à qui il fallait en donner pour son plaisir.

Le plus de cet album : 3 à 4 pages de généalogie pour nous aider à replacer l’histoire dans son contexte, un peu fastidieux, certes, mais passionnant. Il faudra bien deux lectures de l’album pour assimiler tout ça !

En terme de BD classiques, je suis une habituée de Gaston, de Leonard, de Tintin et de Boule et Bill. Je me suis risquée à essayer Blake et Mortimer mais la sauce n’a pas pris à cause des bulles qui contiennent trop de texte écrit en tout petit pour mes yeux. Alors, XIII est une découverte totale.



J’en attendais ce que j’avais eu pour les films: de l’action, du suspense et une vraie histoire. J’ai été plus que servie!



Malgré un coup de crayon auquel il faut s’habituer – il faut dire qu’il a légèrement vieilli – j’ai été captivée. A travers les yeux de XIII, nous menons une enquête qui nous entraîne aux quatre coins du globe. Une quête identitaire qui n’en finit pas de nous surprendre et qui ne nous laisse aucun répit. Je pense que tout le monde peut y trouver son compte avec cette BD car on y trouve tous les ingrédients qui font qu’on ne peut pas lâcher les tomes.



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Dans cet album, XIII en apprend plus sur la généalogie et l'héritage de Jason Mac Lane, et surtout il découvre l'identité de la mystérieuse présidente de la fondation Mayflower (de dos en couverture de l'album).

La vraisemblance laisse parfois à désirer, mais on se laisse emporter dans l'histoire.

Quant au dessin, il me semble que XIII a pris un petit coup de vieux dans cet album ; ) comme le soulignent aussi certaines répliques.

Ce 24ème tome est censé clore le second cycle de la série XIII, reprise par Sente et Jigounov, cependant il me semble qu'il reste encore beaucoup de pistes à explorer (par exemple XIII n'a pas encore retrouvé l'un de ses amis d'enfance qui semble avoir souffert à l'orphelinat) et qu'il y a matière à continuer.

Le fil des souvenirs de XIII alias Jason, se dénouent. Opus rythmé, on y retrouve d anciens personnages, en découvrons de nouveaux comme la charmante Spark. D autres personnages ne font que de brèves apparitions avant de rejoindre la multitudes de cadavres laissés depuis que l on à fait la connaissance de notre amnésique favori sur une plage .

Toujours aussi fan... Pas de lassitude pour nôtre ;James bond; de la bulle.

J'ai aimé XIII, mais cela fait un moment que je me sens prisonnier du complexe de la série qu'on continue pour toutes les mauvaises raisons. La fin du cycle originel de Jan van Hamme et William Vance était déjà poussive et loin de la qualioté des premiers tomes. la reprise de Sente et Jigounov n'a jamais vraiment fait illusion. Jigounov imite bien le style de Vance. par contre, Sente se perd dans un scénarion alambiqué et iunvraisemblable, faisant de XIII un descendant des pionniers du Mayflower, et un maillon d'une conspiration qui remonte au débarquement des colons.

En écriture, il me semble qu'il existe deux grandes techniques prisées par les scénaristes de feuilletons: le "planting" et le "McGuffin". le "planting" consiste à "planter" des éléments dans l'histoire, pour les réutiliser plus tard, ou pas. Van Hamme expliquait lui-même n'avoir aucune idée pourquoi XIII parlait espagnol dans SPADS. mais il avait introduit cette scène a cas où... ce fut le point de départ du cycle costa-verdien.

Le McGuffin, c'est le deus ex machina. le moment où le scénariste décide d'introduire un élément qui tombe un peu de nulle part pour faire avancer l'intrigue. Une coïncidence, un nouveau personnage qui surgit de nulle part...

Ce sont des ficelles. Il en faut pour qu'une intrigue se tienne. Mais il ne faut pas qu'elles soient trop visibles. Avec Sente, on ne voit plus qu'elles. A vrai dire, j'ai parfois l'impression de voir une intrigue du club des 5, mais avec un peu de sexe et de violence pour lui donner un air "adulte". Et le récit en devient bavard jusqu'à la nausée, pour tout expliquer, exposer chaque détails, ce qui finit par rendre la lecture indigeste au possible. Sente aura réussi à me dégoûter de XIII. Tout simplement.

Un scénario rocambolesque avec un soupçon d'Homeland et de Da Vinci Code.
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La saison 2 de XIII retrouve du peps avec des rebondissements liant présent et passé et ça fait du bien.

En remontant aux origines des pères fondateurs de l'Amérique, on découvre un nouveau pan de la vie de XIII.

J'ai vraiment bien aimé ce tome.

Un thriller toujours aussi palpitant. L'album reprend les clefs habituel du succès de la série qui sont toujours les mêmes des albums remplis de rebondissement, avec souvent un nouveau personnage, qui font avancer le schmilblick tout en incluant des nouveaux mystères, ce qui en fait certes une série très longue mais toujours de bonnes qualités avec un suspens intenable entre les parutions de tomes. Rien à dire sur le dessin de Jigounov toujours impeccable surtout pour les personnages féminins. Un bémol la nouvelle révélation sur l'identité de XIII, je me permets de spoiler car on l'apprend dès la 8éme page, il serait le dernier descendant des Tudors, c'est un peu trop gros à mon gout mais je suppose que ça se justifiera par la suite.

Jason Mac Lane – alias XIII, alias l'homme qui ne sait pas qui il est – se retrouve au terme de ce tome doté d'une généalogie alambiquée. Tellement délirante d'ailleurs que les auteurs ont choisi de la détailler dans les pages finales. On en ressort en ayant bien compris que le vrai papa de XIII s'appelle Van Hamme – ou de Hame ou Hamson selon les époques !

Cette généalogie est nécessaire pour faire de XIII un possible héritier d'un territoire en Amérique ayant été offert à ses ancêtres il y a des générations. Sente et Jigounov ont du bien picoler.

Les scènes d'action, qui foisonnent dans cet album, notamment celles des interventions militaires, rendent la lecture efficace, et rattrapent un peu ce scénario digne d'un téléfilm.

Reste le problème qu'à force d'inventer mille origines à XIII, le lecteur ne suit plus, malgré la qualité du dessin. Cette nouvelle série XIII est décidément trop emberlificotée.

Il est où mon Van-Hamme il est où, rendez-moi mon Van-Hamme. Le scénario beurk, la mise en pages imbuvable

Et puis ces pavés à lire non franchement un tome à oublier et une fin de cycle bien triste.

J'ai retrouvé l'esprit de XIII du premier cycle, avec beaucoup d'actions, un rythme trépidant et des révélations. Dommage que la relation entre XIII et Jones soit achevée. J'aimais bien leur complicité.

suite du cycle du Mayflower où les tenants et les aboutissants du complot des descendants du Mayflower s'éclaircit enfin. Malgré beaucoup de circonvolutions, l'intrigue devient limpide. ce n'est plus aussi surprenant que dans les premiers tomes de XIII mais cela reste toujours distrayant. Les personnages nous sont connus et leurs réactions aussi. C'est confortable comme un bon vieux pull.

La reprise du dessin par Jigounov est d'un bon niveau avec un graphisme trés proche de celui de Vance.

Bref pas si mal.