Il faut que je tue ce que j’aime…
Je voudrait...dit-il.
Il faisait un geste d'impuissance. Il souffrait même, elle le sentait. Comment fallait-il agir à partir de là? Iriook connaissait mieux les gestes de soumission que les autres. ..
Agaguk soupira, tourna la tête.
Tu pourrais...murmura Iriook d'un ton timide...
Tu pourrais, répéta Iriook. Laisse-moi t'aider...
Agaguk ne comprenait point.
Avec des gestes tendres, Iriook retira la peau de caribou qui l'enveloppait. Elle vit alors combien l'homme avait maigri. Elle se mit à nu elle aussi, puis elle enfourcha Agaguk et, lentement, pieusement presque, avec des soupirs et des geignements qui étaient presque des pleurs, elle tira de son homme d'abord l'avant-joie et ensuite l'accomplissement...