Éric Chassé

Bienvenue dans le monde fascinant et enivrant des stars de cinéma, où le moindre faux peut vous entraîner au fond du gouffre. Guillaume a fait ce faux pas, et puis d’autres, pour se retrouver dans un tourbillon de mauvaises décisions qui vont totalement le dépasser.

Ce fut une bonne lecture, courte, le genre de thriller que l’on peut lire d’une traite ou presque. Et ça c’est un bon point. En effet, j’ai remarqué au fil de mes différentes lectures, que certains thrillers ne peuvent être accrocheurs que s’il y a beaucoup d’actions et d’événements sur peu de pages. C’est bien le cas ici : 200 pages et aucun temps mort, une livre dans lequel on s’immerge un dimanche seul à la maison.

Le style est bon également, même si je ne pense pas être la plus qualifiée pour le juger. L’auteur étant québécois, les discours des personnages sont, je suppose, très marqués par le langage oral québécois, que ce soit dans les tournures de phrases ou dans les expressions utilisées. Cette façon de parler paraît toujours très étrange à la pauvre française que je suis, mais après un rapide temps d’adaptation, on s’y fait et en plus on apprend un peu sur une autre culture orale.

Les personnages sont sympathiques, attachants, mais ils manquent un peu de profondeur. Guillaume et Luc sont les plus travaillés au niveau de leur psychologie, les personnages secondaires restent très superficiels et tous sont stéréotypés : l’acteur qui veut préserver sa carrière à tout prix, le groupie psychologiquement fragile, la petite copine qui a 15 ans de moins, la fille « tête-à-claques » qui ne veut rien faire d’autre que vivre avec l’argent de son père. Tout ce petit monde fait un beau cliché. Malgré tout, ils remplissent bien leur rôle et suffisent à faire avancer l’intrigue.

Pour conclure, je dirais que c’est un bon premier roman. Pas un coup de cœur, mais suffisamment bien ficelé pour me donner envie de m’intéresser aux éventuels prochains romans de cet auteur.

Je lui attribue donc 3 étoiles : une pour l’histoire, car c’est le genre de livre qu’on ne lâche pas avant d’avoir terminé, une pour le style, qui m’a aussi donné envie de m’intéresser un peu plus à la littérature québécoise et la troisième pour la recommandation. Si vous aimez les thrillers, vous passerez un bon moment.
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Après avoir lu Ils étaient deux et Un mensonge de trop, il était évident que je désirais lire ce nouveau roman de l’auteur puisque j’ai vraiment apprécié ses romans précédents.



Si j’apprécie autant les romans de cet auteur, c’est en raison de sa plume, mais également de sa créativité. Il réussit à nous surprendre avec des intrigues hors du commun. Et cette fois-ci ne fait pas exception. D’ailleurs, selon mon humble avis, je crois bien que c’est le meilleur roman de l’auteur.



Deux écoles de pensée se confrontent au cours de ce roman. Nous avons d’un côté une famille simple et qui fait confiance à sa fille et de l’autre, des parents hyperprotecteurs et pour qui il n’y a rien d’assez bien pour leur fille. Au-delà des parents, il y a surtout une belle amitié qui se développe entre les deux jeunes filles.



Évidemment, j’ai eu de la difficulté avec les parents protecteurs de Juliette. J’étais incapable de m’attacher à eux, même que leurs comportements m’ont plus d’une fois irritée. Par contre, j’ai bien aimé la famille de Mégane. Ils sont simples, sans flafla mais ils s’aiment. L’on ressent l’attachement qu’ils ont l’un pour l’autre.



Et puis, le drame arrive et cela affecte les deux familles, et ce, de différentes façons. La vie ne sera plus jamais la même pour les deux familles. L’intrigue prend une nouvelle direction et c’est à ce moment que le suspense monte tranquillement en crescendo et que l’on ressent toute cette tension. J’avais depuis longtemps adhéré à l’intrigue, mais là j’étais incapable de quitter le roman, il me fallait savoir la suite.



Quant à la finale, je suis tellement surprise. Cette finale est si surprenante, mais totalement parfaite! Éric Chassé s’est surpassé avec ce roman. Des personnages réalistes, une intrigue captivante et addictive sans oublier une finale géniale.


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Définitivement, Éric Chassé sait comment attirer les lecteurs dans ses filets! J’y ai laissé quelques bouts de doigts en cours de lecture tellement j’étais captivée.



Dès le début du roman, j’ai senti quelques frissons de terreur me parcourir, surtout lorsque Mathis se réveille dans son auto et que l’on réalise qu’il a perdu ses souvenirs de la nuit précédente. À mesure que je tournais les pages, je me rendais compte à quel point il a perdu le contrôle, et ce, au profit de quelqu’un d’autre. Pourquoi lui?



Rien n’est laissé au hasard et je pouvais aisément comprendre la montée en flèche de sa paranoïa. Qui ne serait pas sur ses gardes? Plus les événements s’enchaînaient et plus je dévorais le bouquin. Il était de plus en plus difficile de le déposer sur ma table de chevet.



Tout comme lors de ma lecture de son précédent roman, j’ai trouvé que l’auteur avait créé des personnages imparfaits, à la limite antipathiques. Malgré que j’ai ressenti une certaine empathie pour Mathis, il n’en reste pas moins que je ne me suis pas attachée à ce personnage. Est-ce qu’il méritait ce qu’il lui arrivait? Certainement pas… du moins, pas à ce point là!



Encore une fois, l’auteur a su créer une intrigue palpitante et qui m’a tenu en haleine jusqu’à la fin. La tension n’a pas cessé d’augmenter tout au long de ma lecture. Les événements s’enchaînent à la perfection et je ressors vraiment surprise par la fin. J’étais loin de m’attendre à ce que cela se termine ainsi. Ce fut un thriller addictif comme je les aime!


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Eh bien cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un thriller aussi captivant et palpitant. De la première jusqu'à la dernière page, l'auteur réussit à nous tenir en haleine. Ce roman est vraiment addictif, je n'en reviens tout simplement pas!



J'ai très peu lu de thriller dont l'intrigue se passe dans mon petit coin de pays donc il est fort possible que cela ait joué un rôle dans mon appréciation. L'auteur nous fait découvrir sa ville, un peu comme si nous étions aux côtés de ses personnages.



D'ailleurs, les personnages sont, quant à eux, presque trop antipathiques. Nous avons maintes fois la chance de constater la noirceur qui émane de Léonard et cela nous donne des frissons dans le dos. Quant à Yann, il est narcissique et jaloux. Tout à fait le genre de policier que vous ne voulez pas rencontrer sur votre route. Et David? On a presque le goût de ressentir un peu d'empathie pour lui, mais au final lorsque j'y repense, il ne la mérite pas vraiment!



En ce qui concerne l'intrigue, elle est tout simplement fascinante. L'action est bien menée et tout est ficelé par une main de maître. Il n'y a pas énormément de rebondissements et pourtant les événements nous gardent accrochés. Alors que l'on soupçonne ce qu'il va se passer, nous restons bouche bée lorsque nous constatons que ce n'est pas tout à fait ce à quoi l'on s'attendait. Je n'aurais pu imaginer une telle fin... ce fut toute une surprise!



Ce roman est le premier que je lis de cet auteur et je peux vous garantir que je le suivrai au cours de sa carrière d'écrivain. D'ailleurs, je vais probablement me procurer son premier roman La vie en vedette très bientôt!


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Dépaysement asssuré avec le vocabulaire québéquois (mais on s'y fait vite), surprises sur surprises grâce aux cascades d'actions....

Eric Chassé sait s'y prendre pour tenir son lecteur en haleine !



Prenant, très prenant ! Vous passerez un bon moment, tabernac !

L'histoire s'ouvre sur 2 adolescents qui s’apprêtent à commettre ce qu'ils considèrent comme un blague : mettre le feu à une croix afin de donner une frousse épouvantable à leur prof, qu'ils détestent... Mais voilà, la blague tourne mal, et il y aura des morts...Tragique.. Un seul des deux sera inculpé.

10 ans plus tard, alors que le condamné à fini de purger sa peine, l'autre essaie d'oublier, encore, ce qu'il a commis plus jeune. Famille, bébé, mais un solide penchant pour la drogue. Mais le criminel sorti de prison n'aidera pas à faire oublier à l'autre la peine qu'il n'a pas purgé.

Bien que l'histoire était très intéressante, j'ai trouvé un peu longuet ce roman... Il y avait beaucoup de répétions, et certaines scènes auraient pu être coupées au montage, accélérant le rythme et donnant encore plus d'intensité... Mais ce fut une bonne lecture malgré ce petit point.

Quel plaisir de retrouver la plume efficace d'Éric Chassé après ma découverte de cet auteur d'Otterburn Park, originaire de Sorel-Tracy, il y a exactement deux ans avec Un mensonge de trop que j'avais beaucoup aimé.



D'entrée de jeu, Toute la rancune du monde, son quatrième roman, est un excellent thriller noir. À la fois stressant et divertissant. Une violence psychologique indéniable sans giclées d'hémoglobine malgré quelques morts brutales. Un parfait équilibre.



L'action se déroule dans un environnement que connaît bien l'auteur, à moins de cinq kilomètres de son lieu de résidence. Ce dernier se démarque comme habile architecte du drame qu'il a imaginé à partir de scènes de la vie quotidienne de deux couples, un de la classe moyenne, l'autre plus fortuné, installés dans une municipalité de banlieue paisible, Mont-Saint-Hilaire, en bordure de la rivière Richelieu, au pied d'une des neuf collines montérégiennes situées près de Montréal au sud-ouest du Québec.



Ce qui semble une histoire des plus banales nous accroche dès les premiers chapitres et nous tient en haleine jusqu'au dernier mot de la dernière page.



Éric Chassé qui, comme le mentionne son éditeur, « se distingue par son style franc, son humour noir et ses descriptions douloureusement justes de l'humain ordinaire et des drames qui le guettent » installe lentement les événements de plus en plus inquiétants qui s'enchaînent au fil du récit. de sorte que la tension monte d'un cran d'un chapitre à l'autre suggérée par des phrases annonciatrices telles que :



« Hélas, le destin pouvait se montrer parfois bien cruel. Émilie allait vite réaliser qu'on ne choisissait pas les gens de son quartier. »



« Thomas répliqua qu'en effet, la chute de Sandrine serait terrible. Et il n'aurait su mieux dire. »



« La guerre venait d'être déclarée. »



« Rien ne serait plus jamais comme avant. Jamais. »



« Dans sa tête, le déclic se fit à cet instant précis. »



« Émilie n'aurait pu mieux dire. »



Au point où il difficile de faire une pause en cours de lecture en se demandant à plusieurs reprises : « Qu'est-ce qui pourrait bien arriver de pire ? » le tout truffé de quelques épisodes angoissants, comme celles de la piscine ou de l'épicerie, dignes de scénarios de films à sensations.



Les personnages de Toute la rancune du monde sont des plus crédibles. Ils pourraient être vos voisins d'en face. Les dialogues naturels avec des niveaux de langage reflètent la personnalité de chaque protagoniste.



Vous y découvrez probablement comme moi le concept de « parents hélicoptères », une réalité qui a inspiré l'auteur, une situation vécue dans son quartier qu'il a décidé d'extrapoler comme il l'a déclaré dans une entrevue.



La chute finale n'est pas du tout celle que j'avais imaginée. La dernière ligne de dialogue ouvre grand la porte à une suite logique. Éric Chassé saura-t-il nous surprendre ?



Merci à Guy Saint-Jean Éditeur pour le service de presse. Bravo pour la mention en page liminaire que « Ce livre a été entièrement imaginé, créé et fabriqué au Québec »!





Originalité/Choix du sujet : *****



Qualité littéraire : *****



Intrigue : *****



Psychologie des personnages : *****



Intérêt/Émotion ressentie : *****



Appréciation générale : *****


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Lorsque j’ai lu le résumé de cette histoire, je m’attendais à quelque chose d’intense, mais jamais aussi fort que cela. Je suis complètement sous le choc. Je suis sans mot, ce roman m’a fait vivre tellement d’émotion que je ne sais pas par où commencer. Le suspense est tellement soutenu que j’ai oscillé entre l'envie de lancer mon livre et celui d'être incapable d’arrêter de lire. J’étais si absorbée dans ma lecture que je stressais au point de me ronger les ongles.

La petite famille d'Émilie, Thomas et Mégane m’a tout de suite paru très sympathique, puis à force de les suivre j’ai découvert qu’Émilie avait quelques lacunes assez importantes à mes yeux. De son côté, celle de Sandrine, Christian et Juliette m’ont énervée dès les premières lignes, surtout cette Sandrine qui est vraiment surprotectrice et qui devient assez vite très machiavélique.

Les événements s’enchainent et même si on se devine par moment de certains faits qui vont se passer, l’auteur a su me garder en haleine jusqu’à la dernière page. Il n’y a aucun doute, ce livre restera à jamais marqué dans ma mémoire et cet auteur avec sa plume est une valeur sûre à découvrir si vous ne l’avez pas encore fait.

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Wow ! Quelle histoire, qui m'a tenu assise sur le bout de ma chaise pendant toute ma lecture. Incapable de mettre de côté, on oublie ça, la pause pendant la lecture !

Le suspense commence assez rapidement, Mathis est sorti dans un bar, pris quelques verres et fait la rencontre d'un type. Mais il se réveille dans son auto, complètement perdu, il lui manque des choses, son portefeuille entre autres. Il ne sait pas ce qui s'est passé, ce qui lui est arrivé, impossible qu'il avait trop bu, après tout il a pas bu tant que ça.

Surprise en arrivant chez lui, il retrouve son portefeuille, et rien ne semble avoir disparu dans celui-ci, sauf qu'il y a une petite note qui lui est adressé. Mais ce que Mathis ne sait pas, c'est un long chemin vers l'enfer qui commence pour lui.

À partir de là, la vie de Mathis, est complètement chamboulé, usurpation d'identité, tous ses faits et gestes sont suivis, des courriels sont envoyés à ses amis, contenant des vidéos assez explicites de choses qu'il a fait.

Mais ça ne s'arrête pas là, entre les problèmes avec certains élèves à l'école, parce qu'il est professeur, sa peine d'amour, parce que sa blonde est partie, et maintenant ce quelqu'un qui s'en prend à lui, mais il ne sait pas ni pourquoi, ni comment et surtout qui est derrière tout ça.

Ce que l'on sait, c'est que quelqu'un quelque part le fait chanter et pas qu'un petit chantage, mais pourquoi, mais on se doute bien que ça ne s'arrêtera pas là.

Du côté de la police, on commence à se demander, une enquête est en cours pour des morts suspectes, est-ce que tout peut être relié !

J'ai un peu de difficulté à vous parler de cette histoire, sans vraiment révéler l'intrigue. L'auteur nous amène avec beaucoup de finesse à essayer de deviner, qui sont ces gens derrière ce chantage, qu'est-ce qu'ils veulent et surtout pourquoi ils le font. On comprend rapidement que ce sont des gens très bien organisés, qui savent ce qu'ils font.

L'auteur a su me garder en haleine du tout début, et ce, jusqu'à la fin, dès le départ, on sent cette aura mystérieuse, et le brouillard qui enveloppe Mathis vient aussi nous embrouiller. L'auteur a tissé une immense toile d'araignée autour de Mathis et de certaines autres personnes, et ils n'ont pu faire autrement que de se retrouver en plein centre de cette toile, à la merci des hackers. Tout un talent que cet auteur, j'avais déjà lu un de ces titres, mais cette lecture vient confirmer qu'il a tout le talent qui lui faut pour devenir un maître du suspense, laissez-vous tenter par cette lecture et croyez moi, vous serez de mon avis, j'en suis certaine. Un coup de cœur pour toute cette adrénaline que cette lecture a su m'apporter.
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Oh! là! là! que c’était incroyablement bon, ce livre là!! Je viens de découvrir un auteur plein de talent, qui nous tient en haleine du début à la fin. Et ce n’est pas peu dire…



Si vous recherchez un suspense enlevant, vous ne serez pas déçu avec celui-ci. Cette histoire ne contient aucun temps mort et tout s’enchaîne à la vitesse grand V.



L’histoire est troublante, tordante et remplie de rebondissements. On ne veut surtout pas être à la place des victimes de cette conspiration. Oh! que non ! L’auteur nous emmène dans le monde du piratage informatique et nous fait prendre conscience à quel point tout ça est dangereux. Les poils me sont hérissés sur les bras à plusieurs reprises ! J'étais quasiment plus nerveuse que le personnage principal !! Et que dire de la fin ! Je ne m'attendais pas à ça, mais pas du tout ! En fait, je ne sais pas trop à quoi je m'attendais, vu l'imbroglio de l'intrigue !



Si vous avez le goût de passer un moment angoissant, je vous suggère de vous plonger dans ce roman. Vous ne le regretterez pas !
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Captivant et intriguant: bienvenue dans une histoire de chantage à saveur techno. Écriture efficace qui garde en haleine du début à la fin.

💓🚫‼️🚫💓 Eh bien, voilà un thriller psychologique qui fait monter la pression chapitre après chapitre !!! Le pire, c'est que l'histoire est tellement réaliste qu'elle pourrait se passer près de chez nous !!! Des jeunes enfants qui aiment jouer ensemble mais qui ont des parents trop protecteurs, d'autres pas assez... ce qui amène des relations tendues, des embrouilles et des drames. Éric a le don de toujours me surprendre par ses intrigues et vous savez quoi ? J'adore ça ! 😍❤️😍

J’ai oscillé dans ma lecture entre le bon et le moins bon… Le début m’a paru assez brouillon mais l’intensité monte et l’intrigue se découvre au fur et à mesure et nous permet de terminer sur une note plutôt positive.

Je ne sais pas s’il existe une version française mais ayant lu la version québécoise j’ai été quelque peu perturbé par le vocabulaire et les tournures de phrases

Quel plaisir de découvrir sur le tard un auteur québécois tel que Éric Chassé ! Son troisième roman, Un mensonge de trop, un « tourne page », m’a tenu en haleine du début à la fin. Avec une progression du suspense reposant sur un récit bien ficelé, truffé de détails qui s’emboîtent de chapitre en chapitre, tel un casse-tête bien imaginé par le ce thriller.



Tout est crédible dans ce scénario qui illustre à quel point un tel drame pourrait être vécu par quiconque dans la même situation que les trois protagonistes de ce cauchemar.



Écriture simple et efficace. Personnages bien campés. Un talent de raconteur indéniable qui précipite le lecteur au cœur de l’action. Un roman que j’ai dévoré en quelques heures, à bout de souffle lorsque j’ai tourné la dernière page.



Je limite volontairement mes commentaires de peur de vous dévoiler le moindre indice qui vous laisserait deviner la chute non conventionnelle dans le cas d’une histoire criminelle.



Donne le goût d’attaquer les deux opus précédents : La mort en vedette publié en 2016 et Ils étaient deux, en 2018.





Originalité/Choix du sujet :

*****

Qualité littéraire :

*****

Intrigue :

*****

Psychologie des personnages :

*****

Intérêt/Émotion ressentie :

*****

Appréciation générale :

*****


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💥💥💕❗️ Ce thriller palpitant m'a tenu sur le bout de ma chaise du début à la fin !!! C'est pas possible comme une mauvaise blague d'adolescent puisse avoir des conséquences aussi terribles.... Dix ans plus tard, c'est devenu un vrai cauchemar pour David, un sorélois, qui voit sa petite vie de famille secouée par toute cette histoire. Je n'en dis pas trop parce que je ne veux pas divulgâcher cette intrigue diablement bien menée et qui rebondit de façon incroyable et inattendue ! J'ai ADORÉ ma lecture !!!

L'histoire est excellente, l'intrigue nous tiens jusqu'à la toute fin. Par contre, la fin!!! Histoire à suivre? Chose certaine notre personnage s'en sors très bien, trop même!

💚💚💚💚💕

Premier livre d'un auteur québécois que je ne connaissais pas mais oh la la... je vais le suivre de près celui-là !!! Un bon thriller addictif que j'ai lu d'une claque 🖤😍🖤 J'ai adoré son style et le rythme de l'histoire qui se déroule dans l'univers du Hollywood québécois. Le personnage principal, Guillaume, la star de l'heure, se retrouve dans un tourbillon de mauvaises décisions et il s'enfonce dans les problèmes et dans l'horreur. D'autant plus qu'un fan déjanté le suit de trop près et ... je n'en dis pas plus..😱😵😳 Excellente lecture ! À ajouter à vos PAL sans hésiter.

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Présentation de l'éditeur : Un acteur imbu de lui-même, une party qui dérape à cause d’un malentendu et une mauvaise décision aux conséquences fa...



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ndlr : “passer sa nuit sur la corde à linge” est une expression québécoise qui veut dire souffrir d’insomnie



Bienvenue dans le monde fascinant et enivrant des stars de cinéma, où le moindre faux peut vous entraîner au fond du gouffre. Guillaume a fait ce faux pas, et puis d’autres, pour se retrouver dans un tourbillon de mauvaises décisions qui vont totalement le dépasser.



Ce fut une bonne lecture, courte, le genre de thriller que l’on peut lire d’une traite ou presque. Et ça c’est un bon point. En effet, j’ai remarqué au fil de mes différentes lectures, que certains thrillers ne peuvent être accrocheurs que s’il y a beaucoup d’actions et d’événements sur peu de pages. C’est bien le cas ici : 200 pages et aucun temps mort, une livre dans lequel on s’immerge un dimanche seul à la maison.



Le style est bon également, même si je ne pense pas être la plus qualifiée pour le juger. L’auteur étant québécois, les discours des personnages sont, je suppose, très marqués par le langage oral québécois, que ce soit dans les tournures de phrases ou dans les expressions utilisées. Cette façon de parler paraît toujours très étrange à la pauvre française que je suis, mais après un rapide temps d’adaptation, on s’y fait et en plus on apprend un peu sur une autre culture orale.



Les personnages sont sympathiques, attachants, mais ils manquent un peu de profondeur. Guillaume et Luc sont les plus travaillés au niveau de leur psychologie, les personnages secondaires restent très superficiels et tous sont stéréotypés : l’acteur qui veut préserver sa carrière à tout prix, le groupie psychologiquement fragile, la petite copine qui a 15 ans de moins, la fille « tête-à-claques » qui ne veut rien faire d’autre que vivre avec l’argent de son père. Tout ce petit monde fait un beau cliché. Malgré tout, ils remplissent bien leur rôle et suffisent à faire avancer l’intrigue.



Pour conclure, je dirais que c’est un bon premier roman. Pas un coup de cœur, mais suffisamment bien ficelé pour me donner envie de m’intéresser aux éventuels prochains romans de cet auteur.



Je lui attribue donc 3 étoiles : une pour l’histoire, car c’est le genre de livre qu’on ne lâche pas avant d’avoir terminé, une pour le style, qui m’a aussi donné envie de m’intéresser un peu plus à la littérature québécoise et la troisième pour la recommandation. Si vous aimez les thrillers, vous passerez un bon moment.
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Très bonne histoire, très belle fin. Une intrigue assez bien construite et j'adore énormément la fin de ce livre. Guillaume est peut-être un acteur du Québec, mais sa personnalité est le style de personnalité que je déteste dans la vie. Ceux qui s'imagine que l'argent peut tout acheter. Bien content de voir que l'argent achète pas tout.

Mon avis de lecture sur Un mensonge de trop, le 3e roman d’Éric Chassé publié en 2020, m’avait donné le goût d’attaquer ses deux opus précédents. Avec celui-ci, Ils étaient deux, je n’ai pas regretté mon choix.



Comme dans Toute la rancune du monde, Éric Chassé campe cette histoire noire dans la région soreloise qu’il connaît bien en déclarant s’être « permis quelques libertés topographiques mineures quant à la ville de Sorel-Tracy » « pour une question de rythme ».



Les temps forts se succèdent dans ce récit au scénario machiavélique, fascinant et bien ficelé, bien que certains chapitres auraient pu être abrégés. Ce qui n’empêche pas de nombreux rebondissements parfois même inattendus, y compris la chute finale qu’on n’ose imaginer. L’auteur stimule notre intérêt en glissant ici et là, en finale de sections ou de chapitres, des phrases assassines piquant notre curiosité à poursuivre la lecture. Des insertions du genre :



« ... aucun des deux agents n’aurait pu soupçonner dans quel engrenage ils allaient bientôt mettre le pied. »



« Le répit de David tirait à sa fin. »



« ... il n’était pas encore en mesure de savoir qu’on allait lui gâcher ce plaisir. »



« ... mais [le visage] de ce policier allait très bientôt être à la une de tous les journaux de la province. »



Éric Chassé prend plaisir à nous surprendre dans le déroulement de l’action où chaque pièce du puzzle trouve sa place. Il met en scène des personnages masculins antipathiques par leur passé trouble, leur personnalité et l’attitude qu’ils adoptent dans leurs interrelations avec leur entourage. Avec un style fluide et une langue adaptée, particulièrement dans les dialogues, au contexte social du récit réparti sur 17 chapitres, on ne peut que considérer comme plus vrais que vrais les protagonistes de ce drame.



De la même manière que dans Toute la rancune du monde, l’épilogue suscite assurément un sursaut de tension nous faisant craindre le pire à venir. Une formule dont Éric Chassé semble vouloir faire sa marque de commerce.



Une lecture d’été agréable.





Originalité/Choix du sujet : *****



Qualité littéraire : ****



Intrigue : ****



Psychologie des personnages : ****



Intérêt/Émotion ressentie : ****



Appréciation générale : ****


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