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Le Silence est une réussite.
La communication à la sortie du livre a été forte. En effet, de nombreux médias ont parlé de ce nouveau roman. Et à juste titre ! Le nouveau Dennis Lehane, l’attente était forte. Et je vous le dis sans attendre : les réactions sont entièrement justifiées, nous avons ici un grand roman américain.
Le sujet apparait d’actualité dans une Amérique où les tensions raciales semblent s’être renforcées.
La couleur jaune de la couverture rappelle celle de Kill Bill. Ce n’est pas une comparaison anodine puisque j’y ai pensé tout le long du livre. Dans Kill Bill (volume 1), la Mariée qui est interprétée par Uma Thurman va se venger (4 ans plus tard) des personnes qui lui ont tiré dessus – et sur son bébé en devenir – dans la chapelle de Two Pines. Dans Le Silence, nous retrouvons le thème de la vengeance. Et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la vengeance d’une mère.
J’ai adoré cette Mary Pat, héroïne plutôt badass, issue de quartiers défavorisés, dont la vie ne lui a pas fait de cadeau. Elle m’a bouleversée. Elle qui a déjà perdu un fils doit faire face au pire : sa fille a disparu.
En fait, l’époque du busing n’est qu’un prétexte pour planter le décor du roman car le cœur de l’histoire n’est pas là. Le fond du roman est une histoire qui parait simple mais qui ne l’est pas. C’est l’histoire d’une mère qui ne trouve plus sa fille adolescente. C’est une mère dont le cœur est déchiré. Une mère qui ne trouve pas son enfant devient une lionne, elle est pire qu’un homme car rien ne peut l’arrêter. C’est ça le cœur de l’histoire. C’est déchirant, bouleversant, excellent.
Lien : https://labibliothequedechar..
La communication à la sortie du livre a été forte. En effet, de nombreux médias ont parlé de ce nouveau roman. Et à juste titre ! Le nouveau Dennis Lehane, l’attente était forte. Et je vous le dis sans attendre : les réactions sont entièrement justifiées, nous avons ici un grand roman américain.
Le sujet apparait d’actualité dans une Amérique où les tensions raciales semblent s’être renforcées.
La couleur jaune de la couverture rappelle celle de Kill Bill. Ce n’est pas une comparaison anodine puisque j’y ai pensé tout le long du livre. Dans Kill Bill (volume 1), la Mariée qui est interprétée par Uma Thurman va se venger (4 ans plus tard) des personnes qui lui ont tiré dessus – et sur son bébé en devenir – dans la chapelle de Two Pines. Dans Le Silence, nous retrouvons le thème de la vengeance. Et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la vengeance d’une mère.
J’ai adoré cette Mary Pat, héroïne plutôt badass, issue de quartiers défavorisés, dont la vie ne lui a pas fait de cadeau. Elle m’a bouleversée. Elle qui a déjà perdu un fils doit faire face au pire : sa fille a disparu.
En fait, l’époque du busing n’est qu’un prétexte pour planter le décor du roman car le cœur de l’histoire n’est pas là. Le fond du roman est une histoire qui parait simple mais qui ne l’est pas. C’est l’histoire d’une mère qui ne trouve plus sa fille adolescente. C’est une mère dont le cœur est déchiré. Une mère qui ne trouve pas son enfant devient une lionne, elle est pire qu’un homme car rien ne peut l’arrêter. C’est ça le cœur de l’histoire. C’est déchirant, bouleversant, excellent.
Lien : https://labibliothequedechar..
Une pure merveille de littérature americaine. Dure, tendre, haletante.
Lorsque tu lis la première page et que tu es déjà happé par l'histoire de ce type qui se retrouve projeté au sommet d'un panneau de station essence suite à l'explosion d'un pneu trop gonflé, tu sais que ça va être un bon livre.
Toutes les rencontres, tous les paysages, toutes les péripéties sont des surprises.
J'ai passé le bouquin à faire des recherches sur les lieux, les gens et les plantes pour en savoir encore plus.
L'action se déroule en moins d'une année et pourtant tu as l'impression d'avoir vu défiler 10 vies. Les personnages sont forts, fous et fragiles à la fois. Des survivants et des revenants.
Bref, j'ai adoré et cela faisait un moment que je n'avais pas lu un bon bouquin comme celui-ci.
Lorsque tu lis la première page et que tu es déjà happé par l'histoire de ce type qui se retrouve projeté au sommet d'un panneau de station essence suite à l'explosion d'un pneu trop gonflé, tu sais que ça va être un bon livre.
Toutes les rencontres, tous les paysages, toutes les péripéties sont des surprises.
J'ai passé le bouquin à faire des recherches sur les lieux, les gens et les plantes pour en savoir encore plus.
L'action se déroule en moins d'une année et pourtant tu as l'impression d'avoir vu défiler 10 vies. Les personnages sont forts, fous et fragiles à la fois. Des survivants et des revenants.
Bref, j'ai adoré et cela faisait un moment que je n'avais pas lu un bon bouquin comme celui-ci.
Il s appelle MANI , peintre , médecin, philosophe, prophète et propose une nouvelle vision du monde.
En Mésopotamie au III siècle son audace humaniste et tolérante lui fait rejeter violence, pouvoir et richesse des religieux, organisation de la société Perse en caste.
Il remet en cause les puissants , bouscule les habitudes , les interdits , donne aux petites gens un nouvel espoir. Après sa persécution ses écrits, peintures seront effacés mais ses idées resteront et fondèrent le manichéisme.
Très interressant!
En Mésopotamie au III siècle son audace humaniste et tolérante lui fait rejeter violence, pouvoir et richesse des religieux, organisation de la société Perse en caste.
Il remet en cause les puissants , bouscule les habitudes , les interdits , donne aux petites gens un nouvel espoir. Après sa persécution ses écrits, peintures seront effacés mais ses idées resteront et fondèrent le manichéisme.
Très interressant!
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