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À l'ouest rien de nouveau

Pour moi c’est un chef-d'œuvre intemporel de la littérature qui capture avec une brutalité poignante les horreurs de la Première Guerre mondiale. L’auteur offre une perspective saisissante à travers les yeux de jeunes soldats allemands, dépeignant la cruauté et l'absurdité de la guerre. Son style d'écriture direct et sans fioritures plonge le lecteur au cœur de l'action, créant une expérience immersive et déchirante. L'œuvre explore les thèmes universels de la jeunesse sacrifiée, de la camaraderie et de la perte de l'innocence, laissant une empreinte indélébile dans l'esprit de quiconque le lit. En somme, "À l'ouest, rien de nouveau" est un récit inoubliable qui continue de résonner avec une pertinence inégalée, rappelant les tragédies de la guerre et l'humanité qui persiste même dans les pires circonstances.
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L'orange mécanique

O mes frères, quelle lecture !

C'était vraiment tzarrible !!!



J'avais reluché la pellick de m'sieur Kubrick quand j'étais un maltchick. A l'époque, j'avais bien ricanoché en suivant les aventures foli folding du droug Alex. Je me souviens encore de cette rixe avec une viokcha où le héros utilise une arme comme qui dirait peu conventionnelle : un gros popol en plasti plastoc avec lequel il joue du tambi tambour sur le gulliver de la malenky viokcha. Ah, pour sûr, mes p'tis drougs, c'est pas aujourd'hui qu'on pourrait jouer une scène pareille surtout avec le mouv' Moâossi ou les super jaimie sont colères contre nous autres, les vecks. C'est vrai qu'il y a des branquiguignols qui méritent d'être tolchoquer à causes des méchantes crasses qui font aux tchinas, mais même les braves tchellovecks innocents en prennent plein le buffet pour pas un kopeck. C'est que, de nos jours, tu te fais charcutailler les yarbilles pour pas grand chose, même pour une blagounette sur les blondi Marie. Enfin, c'est comme ça...



Ce qui me ramène au souvenirs de ma dernière ballade dans un bric à brocante plein de merveilles. J'étais en train de goulatier avec mon malenky wafwaf quand je passe devant un bookinihiliste. Et là, qu'est ce que je vois, o mes frères : L'Orange mécanique, le vrai de vrai.

Et comme ça faisait un baille que votre serviteur voulait zyeuter la version papyrus de la pellick de m'sieur Kubrick, j'ai corné la viokcha qui tenait boutique :

- Ola, miss biblio, combien que vous en voulez pour ce papyrus là ?

- L'Orange mécanique ?

- Ouep, que je crachote.

- Deux euros, qu'elle me dit avec une golosse de crécelle.

Et, mes p'tits drougs, en reluchant le booki, je me rends compte qui a comme qui dirait de vilaines tâches de malongo sur la couverture.

- Eh là, minute papillon, que je rétorque. Le livre, il est tout crado crading, vous me le feriez pas à un euro des fois ?

- Ah ben non alors, qu'elle me dit en rabougrinant, si à chaque fois on m'enlève un euro, je vais fermer boutique, moi, comprenez. Ou vous achetez ou alors... oustez voir ailleurs si j'y suis. Y en marre à la fin de ces gugusses qui rabachouinent à acheter un livre pour un rien.



Et là, croyez le ou non, mes frères, mais j'ai cédé et j'ai payé. J'avais pas envie de me prendre le gulliver à govoriter avec une tchina surtout qu'avec la malpoisse que je me traîne elle pouvait être du mouv' Moâossi et p't-être même qu'elle cachait un britva sur elle, un truc à vous couper comme qui dirait proprement et nettement les yarbilles. Alors, j'ai dit ok. Et j'ai lâché mon lollypop, autrement dit ma p'tite monnaie.



Et c'est ainsi, mes p'tits drougs, que j'ai eu mon orange mécanique.

Quand j'ai nachinaté à le mirisser soli solo pénard nanard dans mes pénates, j'en croyais pas mes glazes. J'ai cru que mon rassoudok allait se razrézer tellement des slovos bizarroïdes, des mots d'une autre planète pétaradaient en veux-tu en voilà. Je me suis dit : Le viokcho Burgess y drinkait pas que du malongo ou du cola-cola. Cest qu'il faut être lessivé du gulliver pour rédiger un mélimélo pareil. A coup sûr, je vais finir par devenir bézoumni, que j'ai pensé. J'étais tout tristounet comme un pierrot de m'ětre fait pris pour un momo.



Et puis v'là que je me mets à gobédévorer les lignes puis les pages et que je ricanoche comme un joker à chaque nouveau chapitre. Et tout ce feu d'artifice dans mon gulliver plein de slovos d'argot drôlissimo. Jusqu'à la fin, mes drougies, je n'ai pas raté une seule malenky miette de l'odyssée d'Alex. Et c'était tzarrible, j'avais les goubeuses en bananne tellement le bonheur il était sur ma figure.



Alors je me suis dit que j'allais passer sur babybelio pour laisser un malenky texto avec comme qui dirait l'espoir que des drougs passent dans les parages et se tapent une bonne tranche de bidonske.

Parce qu'il faut le mirer pour le croire tellement que c'est beau comme du Ludwig van Beethoven.

Ah, cette orange mécanique, o mes frères, je ne suis pas prêt de l'oublier.



Merci m'sieur Anthony Burgess, et merci m'sieur Stanley Kubrick.



A la revoyure, les rigolos !

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La surprise de Noël

Encore une romance de Noël, sans trop de surprise. Mais assez addictive en réalité. J'ai adoré suivre l'histoire de Merry. J'ai lu ce roman en une soirée, dire à quel point il se lit vite ! Mais c'était une belle et douce romance, agréable, au goût d'épices et de chocolat chaud
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