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Dernières critiques
Une ardente patience

Ce livre est un trésor, une découverte merveilleuse.



Antonio Skarmeta décrit tout en pudeur l'amitié entre un jeune facteur et Pablo Neruda. A travers ses yeux, on découvre un Néruda humain et attachant. En mêle temps, en toile de fond, défile un morceau de l'histoire du Chili: l'élection de Allende et la prise du pouvoir par les libéraux. Un livre poignant mais tellement beau.
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1984

J'ai abordé ce livre avec l'idée en tête que c'était un chef d'œuvre. Et c'est peut-être là mon erreur : j'en attendais trop. Quelle déception.



Loin d'être intemporel, le récit devait certainement avoir une résonance tout à fait différente lors de sa parution et dans les quelques décennies suivantes. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts et le contexte géopolitique mondial étant ce qu'il est, la description de cette société cauchemardesque, sordide, et ô combien improbable ne tient pas debout. Beaucoup y voient le génie visionnaire, pour ma part je n'ai pas vu le rapport, mais alors pas du tout ! L'allusion à peine déguisée à l'URSS, forcément très présent dans les mémoires à l'époque où le roman est écrit, est bien creuse...



J'attendais un conte philosophique, un thriller psychologique, une "Masterpiece". Mais je n'ai finalement trouvé qu'un roman sombre, voire franchement glauque, que je ne conseille pas à un lecteur aux prises avec une déprime hivernale par exemple (c'est un coup à se foutre en l'air...). Il règne une ambiance tragique, fataliste, d'une platitude absolue. Seul le passage avec Julia dénote d'un peu d'humanité, sans pour autant m'enthousiasmer le moins du monde.

Et je ne parle même pas des allusions récurrentes au "neoparler/novlangue" - certainement très difficile à traduire mais je n'incrimine pas la traduction. Pour en avoir testé deux différentes, il semblerait que le problème ne vienne pas de là. Je trouve les concepts abstraits, trop détaillés et pourtant non moins obscurs. L'oligarchie qui règne dans ce monde contrôle tout, à l'extrême, mais à quelles fins ? L'argent ? La gloire ? L'amour ? Rien de tout cela. Le pouvoir pour le pouvoir ? Sur qui ? Des humains abrutis manipulés ? Mais quel intérêt ? Qui y gagne quoi ? Je n'ai absolument pas saisi ce qu'il fallait visiblement lire entre les lignes. Je n'ai pas trouvé le parallèle avec des systèmes totalitaires passés ou présents très convaincants, voire pas du tout. J'attendais d'être secouée dans mes certitudes, plongée dans des réflexions métaphysiques étonnantes qui auraient pu me donner à méditer sur la vie. Que nenni.

Arrivée au terme de ce récit, j'étais soulagée que cela se termine. En résumé : une lente agonie.
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Central Park

Moi qui n'est pas une adepte de la plume de Musso , pour le coup, "Central Park " m'a bien plu.

Revirement de situation dans les derniers chapitres dont j'étais loin de m'imaginer, ça change !

Il y a tout de même quelques situations un peu abracadabrantes
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