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Expert manga

Cet insigne distingue les amoureux de la bande dessinée nippone : Shônen, Shôjo ou Seinen, pour ces amateurs ce n'est pas du chinois mais du japonais.
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Les meilleurs   Dernières critiques
Horimiya, tome 14

Double dose d’Horimiya pour moi cette fois deux lectures coup sur coup, mais quand on aime on ne compte pas. C’est ma dose de vitamine du moment.



Petite tromperie sur la marchandise par contre. D’habitude la jaquette me donne un indice quant au focus du tome, or si la BDE est bien présente, ce n’est pas elle qui a la vedette, mais plutôt la petite copine de Miya qui habite à côté de chez lui, à savoir : Sawada. Avec elle, nous explorons avec humour les limites de la timidité dans les relations humains et lycéennes.



C’est encore une fois très charmant car c’est un personnage attachant dans lequel on est beaucoup à se reconnaître et comme les auteurs forcent bien le trait, c’est assez drôle. Je me suis vraiment amusée de ses détestations de certains, de la façon dont elle se comporte en petit animal avec d’autres. Mais j’ai également été touchée dans ses maladresses relationnelles avec ceux qu’elle connaît mal et qui l’intimide : ses camarades de classe. Je la comprends tellement, c’est si dur de comprendre les autres et leurs paroles peuvent être tellement blessantes parfois. Bref, j’ai trouvé ce passage plutôt sympathique.



Le reste est comme chaque fois très classique. On rit depuis quelque chapitre du froid qui s’empare du lycée, des tenues pas assez chaudes, des rues dangereuses et autres petits moments saisonniers qu’on peut détourner avec humour. Il est aussi pas mal question d’amitié et du coup de jalousie, car difficile de partager ses amis, parfois on les voudrait rien que pour nous. N’est-ce pas Hori ? Pas simple du coup de gérer les disputes entre gens qu’on aime, c’est un nouveau sujet traité ici dans des membres de la BDE se disputent ou que Hori et son frère font de même. Des petits moments de tension qui font du bien pour crever l’abcès et discuter de choses parfois pas évidentes, pas remarquées ou mises sous le tapis. C’est ça aussi la vie, ce n’est pas qu’un long fleuve tranquille.



Découverte encore de nouvelles facette dans cet antépénultième tome de ce tranche de vie lycéen gentiment humoristique. On prend toujours plaisir à suivre ces petits personnages qui nous sont devenus bien sympathiques. C’est léger, rien de fou, notamment dans le traitement psychologique, mais c’est mignon tout plein et charmant. Parfait pour les jeunes lecteurs à laquelle se destine la collection Nobi Nobi.
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Horimiya, tome 13

J’ai vraiment un capital sympathie immense pour ce titre qui ne raconte pourtant pas grand-chose mais capture la banalité tranquille de la vie de lycéens avec bonheur. C’est drôle et reposant.



Comme ne le suggère pas la jaquette collector, le tome est centré un temps sur la petite soeur Iura. Oui, il faut retourner la jaquette pour voir que cette fratrie est à l’honneur. Celle-ci étouffée par un frère trop protecteur et en difficulté à l’école malgré tous ses efforts déprime un peu. L’occasion pour nous de nous immiscer dans leur quotidien.



J’ai l’impression que chaque tome est l’occasion pour les auteurs désormais d’explorer les vies personnelles de chacun de nombreux personnages croisés. Ce n’est pas pour me déplaire car ces petits focus, assez légers quand même avouons, sont l’occasion de faire un pas de côté en dehors du lycée, avant d’y revenir avec joie et bonheur, de même que pour le couple principal qui n’est ainsi pas notre seule source d’intérêt. Bien joué !



La moitié du tome est ainsi consacrée à une autre facette d’Iura et ce fut charmant, drôle et amusant, de voir ce frère prendre tellement soin de sa petite soeur, mais aussi de le voir à travers ses yeux à elle. Classique mais attachant. La suite, elle, revient à du classique : plusieurs petites histoires sur les autres personnages où c’est toujours aussi frais et mignon. Nous avons quelques chapitres cocasses, plein de malentendus, autour des membres de la BDE (bureau des élèves) et notamment de Rémi. Et nous avons nos quelques chapitres habituels sur le couple phare de l’histoire où on s’amuse des Kyokonades de notre héroïne et des changements de look de son cher et tendre, mais où également on s’attendrit de ce besoin de démontrer qu’ils sont en couple par de petits gestes. Ce n’est rien d’extraordinaire, c’est assez banal, mais c’est là dedans que c’est mignon.



Sans surprise, toujours avec une efficacité de métronome, le duo déploie sa formule qui marche : un petit focus sympa sur un personnage, ici Iura, puis des histoires du quotidien qui semblent anodines mais nous donnent le sourire tant elles sont charmantes. Ça marche à chaque fois sur moi, c’est comme faire partie de cette petite bande et j’aime bien avoir ma dose.
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Roses et Champagne, tome 1

[Chronique pour les tomes 1 et 2]



Le webtoon inonde le net et les rayons depuis quelques mois / années, mais il y avait surtout en France des comédies et de romances hétérocentrée. Quelle joie de commencer à voir des éditeurs s'intéressant également au Boys Love : KBL est l'un de ces éditeurs. Et pour le découvrir, je suis allée vers un titre qui me semblait plus mature que les autres : Roses et Champagne. Je sais, le titre fait un peu parodie de mauvais goût, mais c'est en fait une histoire mafieuse assez prenante que nous allons suivre.



Derrière cette oeuvre, comme bien souvent dans le webtoon, il y a un duo : Zig au scénario et Ttung gae aux dessins. Ensemble, ils ont imaginé un scénario qui a défaut d'être original dépayse son lecteur. Nous voici en effet parti en Russie, sur les terres de la mafia russe qu'un jeune avocat coréen, implanté là-bas va devoir affronter bien malgré lui pour aider un client, du moins à la base...



Je m'attendais en débutant cette lecture, avec tous les avertissements qu'elle a, à avoir un titre assez sombre. Les auteurs ont choisi de mélanger polar, comédie et romance, et c'est assez surprenant. Contrairement à ce que je croyais, il n'y a pas eu dans ce premier et le suivant de scènes dérangeante sexuellement parlant, pas de contrainte, de viol ou autre harcèlement à proprement parlé. C'est plutôt soft de ce côté-là malgré la tension qui va vite naître entre César, chef de la mafia, et Iwon, notre avocat. Les auteurs ont préféré mettre l'accent sur l'histoire et même si la romance est là, qu'elle est un des moteurs, elle n'est pas non plus tout.



J'ai donc apprécié de plonger dans cet univers de mafieux fantasmé par les auteurs. C'est extrêmement cliché mais amusant du coup. Ce n'est pas hyper violent comme je m'y attendais. On a bien un ou deux crimes, une ou deux bastons, mais rien de terrible par rapport à ce qu'on peut lire dans certains seinen. C'est à nouveau très soft. A la place, nous suivons César, qui est déjà au sommet, mais qui n'est pas sans rivaux. Il va aider Iwon car il va craquer pour lui et que ça arrange aussi bien ses affaires. Et nous allons plutôt suivre comment leur rapprochement va se goupiller avec leurs besoins professionnels.



Le premier tome est plutôt celui de la découverte. Le second est celui du rapprochement avec une cohabitation forcée : grand classique de la romance. L'ensemble se lit bien si on ne gratte pas trop. C'est assez léger et divertissant. On a envie de savoir comment tout va s'arranger : le procès d'Iwon, la place de chef de César, les attaques des autres mafieux et bien sûr la romance qu'on sent poindre entre eux. C'est superficiel dans l'ensemble mais j'ai apprécié côté romance qu'Iwon ne tombe pas de suite dans les bras de César et qu'il ne soit pas le cliché de l'homme soumis, mais plutôt un type félin qui montre les griffes !



Alors amateurs de webtoons à la recherche de Boys Love qui ne soient pas juste une comédie romantique lambda, Rose & Champagne derrière son titre d'Harlequin pourra peut-être vous plaire par sa romance progressive et surtout la place accordée au cadre mafieux, ce qui donne un joli équilibre.
Lien : https://www.sanctuary.fr/avi..
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Sasaki et Miyano, tome 8

Je disais simple, c’est effectivement très simple, au point que j’ai eu l’impression de faire du surplace ou presque dans ce tome et sachant que l’histoire principale s’arrête à peu près à la moitié du volume… Je suis un peu chafouine…



Ne me faites pas mentir, j’aime toujours autant ce petit couple et je trouve mignon de poursuivre l’histoire tandis que l’un a quitté le lycée et que l’autre y reste. J’aime bien l’idée. Ça permet de les voir dans d’autres situations et c’est assez rare qu’on ait ce schéma dans les romances des mangas en général. Ils sont toujours aussi choupi et attachants même s’il ne se passe pas forcément grand-chose entre eux à part quelques sorties, quelques bisous, effleurements et encore. Ça reste mignonnet.



Et c’est un peu là que le bas blesse. L’autrice semble avoir du mal à se détacher de cette idée pour passer à la vitesse supérieure. On sent leur désir, notamment chez Sasaki, mais ça reste un peu au point mort et là ça commence à faire un peu long pour moi, j’avoue. Pas long parce que j’ai besoin qu’il se passe quelque chose de plus entre eux, mais long parce que l’autrice ne propose rien d’autre. Elle n’exploite pas vraiment la nouvelle vie de Sasaki. On ne le voit qu’à travers le prisme de Miyano. Idem pour Sasaki, c’est toujours la même rengaine avec ses potes et son amoureux. Voilà, c’est ça, il n’y a rien de neuf.



Alors la narration reste sympa avec son mélange de scénettes au début pour aboutir peu à peu au fil du chapitre à quelque chose de plus long. L’autrice excelle dans l’art du court, les petits instantanés qu’on trouve à la fin du volume après l’histoire principale en sont la preuve. Mais tout cela reste très anecdotique et comme elle a un dessin mignon mais plutôt passe partout, il n’y a pas non plus d’innovation de ce côté-là pour apporter quelque chose en plus.



Lire Sasaki et Miyano, c’est comme à chaque fois s’assurer d’un petit moment mignon entre fans de BL et avec un couple adorable. Mais j’aimerais bien à ce stade que ça commence à être autre chose et que l’autrice exploite les bonnes idées qu’elle introduit parce que là, ça commence à faire plat et répétitif, et je dis ça avec tout l’amour du monde envers ces personnages ultra bienveillants qui font vraiment du bien en les voyant évoluer. S’il vous plaît, proposez autre chose que ces instants banals où il manque quelque chose !
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Darwin's Game, tome 2

Un tome 2 toujours de bonne facture qui nous permet d’en savoir un peu plus sur l’univers de ce jeu dans lequel nous sommes embarqué !



De nouveaux personnages arrivent.

Des protagonistes inattendus entrent dans le game.



Ça se lit vite et bien. Et la fin nous donne envie de prolonger avec le tome suivant !!
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Deep sea aquarium Magmell, tome 8

Ce tome est dans la continuité du suivant, une grande partie de l'intrigue repose sur le dernier personnage arrivé dans l'intrigue, le personnage qu'on qualifierait de "trans". Je suis toujours un peu mitigée sur ce le fait d'avoir intégrer cette dimension avec un sujet aussi controversé à cause des intérêts économiques et des fonds d'investissements qui soutiennent ces mouvements et dont on commence à voir des effets négatifs aux États-Unis pour l'instant. Mais bon, mis à part cet aspect, je conviens que cela permet de faire un parallèle avec les espèces des abysses observées - même si, ce même argument est aussi remis en cause , mais passons - et surtout, qu'elle prend tout son sens dans une société aussi foncièrement conformiste que la société japonaise.



Mis à part cet aspect, le graphisme est toujours aussi magnifique et c'est toujours là le principal attrait de cette série. Finalement, la vie dans cet aquarium est bien plus qu'un lieu de travail : c'est un espace quasi utopiste comme on pouvait le trouver dans la littérature du XVIIIème siècle. De quoi amener le lecteur à réfléchir sur les valeurs de la société auxquelles ils se conforment et celles qui mériteraient d'être "assouplies".



Le travail et la place qu'on lui donne - au détriment de nos vies personnelles - est d'ailleurs un des thèmes principaux de ce tome développé à travers la présence d'un visiteur aveugle à l'aquarium.
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Berserk, tome 3

Le combat contre le conte continue, le sang coule, nourrit la Béhérit (qui n'est pas très fan qu'on la porte par le nez et la bouche, d'ailleurs), et enfin apparaissent les premières révélations !



Totalement inspirée de l'œuvre de Maurits Cornelis Escher, la singularité ouverte par la Causalité est elle aussi une œuvre à part entière ! Il n'est en effet pas rare que le travail d'Escher soit utilisé pour matérialiser le malaise, en contradiction totale avec le sens original de son travail (qui, pour une fois, a été très bien utilisé par Hayao Miyazaki dans ''Le Garçon et le Héron'', c'est suffisamment rare pour être précisé), mais certains auteurs ont choisi de ne pas simplement plaquer là le dessin, mais bel et bien de le réinventer. De l'investir d'une dimension très particulière, mais surtout très réfléchie (contrairement à Squid Game ou The Promised Neverland par exemple, qui eux utilise ça comme un symbolisme si basique qu'il confine au bas de gamme, balancé là pour combler les trous du scénario).



Kentaro Miura fait partie de ces rares artistes visionnaires, ainsi que Clive Barker. Sous leurs mains, le labyrinthe d'Escher devient ainsi un endroit étrange, ouvert, béant sur le Mal. Mais pas un Mal bas de gamme, non, un Mal soigneusement ordonné et pensé, construit avec ses règles et son Ordre. Miura a le God Hand, Barker a l'Ordre de l'Entaille. Tous frères et sœurs cénobites, ces anciens humains dévoyés ont pactisé avec le Diable, et ce pacte a ses règles et ses commandements. Nul ne peut y contrevenir, le sacrifice demandé ne peut pas disparaître comme par magie. Le Pacte du Sang est absolu et se doit d'être payé. En tendant l'oreille, on entendrait presque l'orgue du Léviathan jouer sa mélodie sous les doigts de ses serviteurs...



Pour qui connait ces deux œuvres, le parallèle est impressionnant, au point de se demander si les deux auteurs ne se seraient pas concertés pour atteindre cet absolu. Peut-être Miura avait-il lu Hellraiser, et surtout vu le 2e film sorti en 1988 et qui laisse pour la première fois apparaître ce labyrinthe qui cache bien des perversions et des transcendances. Peut-être les auteurs de certains des comics (notamment celui mettant en scène l'orgue du Lévianthan) était-il fan de Berserk. Difficile à dire, mais impressionnant à constater.



Dans un cas comme dans l'autre, le body-horror n'est ainsi pas là pour choquer à peu de frais, mais bel et bien pour aborder des thèmes comme la transcendance, la renaissance, l'élévation, le pacte et son prix, l'espoir et l'Ordre absolu. Des thèmes qui ne sont jamais dévoyés, juste utilisés avec énormément de finesse, dans une recherche du beau et du juste qui fait fi du manichéisme pour se concentrer sur le concept lui-même.



Ce tome 3 est ainsi la première claque de Berserk, celle qui annonce toutes les autres sans pour autant les laisser deviner. Celle qui a placé Miura au sommet d'un panthéon horrifique et angoissant qui en a inspiré tant d'autres après lui.
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Ma revenante bien-aimée, tome 4

Pourriez-vous épouser un(e) revenant(e) ? Riku l'a fait, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce n'est pas de tout repos !



Remi avait déjà reçu une demande en mariage, mais de qui ?! C'était sur cet énorme cliffhanger (si si) que se terminait le tome 3, et nous en apprenons plus dans ce tome 4 qui est toujours aussi sympa ! On y découvre la première relation entre Remi et un humain, que j'ai trouvé très touchante, puis qui enchaine sur un duel au sommet en plein cimetière ! Les autres chapitres sont tout aussi fun, avec le retour de la madame des crêpes, un chapitre sur un peintre que j'ai adoré, et le dernier sur... pauvre Riku, je ne spoilerai pas mais je le plains !



En bref, toujours aussi fun !
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Les récits d'Obana

6 histoires courtes légèrement horrifiques sur le folklore japonais.

A chaque fois, esprit/yokai hante une maison. Il est décidé de rénover pour améliorer la situation. Et l'entrepreneur fait appel à un jeune qui est sensible au surnaturel et qui propose une résolution en adéquation avec les habitants et les esprits.

C'est plutôt bienveillant. Parfois triste.

Une lecture surprenante pour ce genre de récit !
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Ender Geister, tome 7

Encore un tome tourné essentiellement vers l'action. Et on ne pourra pas dire que l'auteur manque d'imagination et d'inventivité pour rendre les combats originaux mais quelque peu croquignolesques. Si on peut en effet se réjouir de leur aspect visuel qui en met plein les yeux, en y regardant de plus près, ou au contraire, en prenant un peu de recul, on pourra les trouver presque ridicules.

L'arrivée dans la partie d'un nouveau personnage, portrait craché de Steven Seagal, ne sauvera pas les meubles de ce tome, dont on parvient malheureusement à oublier de quoi il s'agit, et de quoi on parle.

En effet, la priorité étant donnée à l'action et aux combats, qui, soit s'étendent sur la longueur, soit, se multiplient, pour finalement prendre toute la place, nous perd et nous éloigne de l'intrigue, qu'on a finit par oublier.

La dernière page promet une conclusion dans le prochain tome, ce qui pourrait être un bon argument pour en terminer, juste pour voir, mais mon intérêt s'est grandement essoufflé...
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La Danse du soleil et de la lune, tome 5

Ce tome achève l'exploration du passé d'Haretake avec le fameux geste que Katsuma ne se pardonne pas. Cette action montre un Dosuke moins suspicieux que dans le précédent tome. Il semble même dépassé par les événements. J'ai hâte de voir si ses intentions sont aussi néfastes qu'il le prétend depuis le début. La puissance des combats contre Haretake et son "alter" m'a rappelé le tome 3, où j'avais beaucoup apprécié le coup de crayon de l'autrice avec la femme aux insectes : Madara.



La deuxième partie du manga permet de poursuivre les aventures de Konosuke. La découverte de Tenroku, intimement liée aux Tsuchimikado, est vraiment bien écrite. Au début, je me demandais quand est-ce qu'il allait dévoiler sa véritable nature, et je dévorais les pages, sans apprécier le portrait d'une personne qui, dans tout ce questionnement de protection pour les personnes qui ont des dons, aurait finalement désiré plus que tout ne pas en avoir. En obtenant ce don, il perd toute envie de vivre et ne fait que tester ses limites. J'ai hâte de lire la suite !
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Kindergarten Wars, tome 1

C’est une des nouvelles sorties de l’année que j’attendais avec le plus d’impatience je crois bien. Le résumé ainsi que les couvertures m’ont donnés tellement envie que je n’attendais que ça d’avoir les deux premiers tomes entre les mains. J’ai enfin pris le temps de me poser et de dévorer le premier tome Et c’était encore mieux que ce que j’en attendais. J’ai eu un énorme mais énorme coup de coeur pour ce premier tome, c’était tout simplement incroyable et je meurs déjà d’impatience à l’idée de me plonger dans le second tome.



Dans ce premier tome, le Kindergarten Black a la réputation d’être la maternelle la plus sûre du monde et accueille les enfants de l’élite du pays. L’établissement recrute ses enseignants parmi les criminels les plus aguerris. Rita, une tueuse légendaire et experte du combat, est engagée. La jeune femme considère tout assaillant comme un potentiel amoureux auquel elle fait passer des quiz sans concessions.



Déjà je suis complètement fan du contexte. On se retrouve dans une école où les enfants des personnes très importantes comme des politiciens et j’en passe son scolarisés. Mais cette école est plus que particulière puisqu’elle est la plus sécurisée du monde entier. Comment? Très simple, les instituteurs de cette école ne sont rien d’autres que d’anciens tueurs à gages. Donc niveau protection on peut le dire c’est plus qu’efficace. J’ai tellement aimé le fait que ce soit de dangereux tueurs à gages qui s’occupe de la protection des élèves. On a d’abord Rita qui m’a fait mourir de rire, elle n’attend qu’une chose, finir son année à la Kindergarten et pouvoir s’en aller et faire des rencontres. Elle est à la recherche de son beau gosse mais étant enfermé là bas, difficile de faire des rencontres. On a aussi Doug, qui m’a beaucoup fait rire également. Lui veut finir son année pour pouvoir sortir et pouvoir s’enchaîner deux paquets de clopes par jour. Ces deux là me font tellement rire, déjà ils ont du mal à s’entendre alors ils se chamaillent énormément c’est si drôle. Mais quand ils font équipe ils sont clairement redoutables pour le coup, la façon qu’ils ont de se battre est tout simplement incroyable! J’ai trop hâte de voir le second tome quand on voit comment celui ci se termine ça s’annonce explosif!



Un premier tome clairement à la hauteur de mes espérances, je vais suivre ce manga avec une très grande attention. J’ai passé un si bon moment pendant ma lecture c’était absolument génial! Que ce soit l’intrigue, le contexte, les personnages, pour moi tout était absolument parfait dans ce premier tome. Il se termine en plus d’une façon si cruelle ohlala, j’ai vraiment très hâte de découvrir ce que nous réserve le second tome!
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Bride stories, tome 14

J'aime toujours autant replonger dans les steppes mongols pour en apprendre plus sur cette civilisation. Dans ce tome la guerre avec les Russes menace toujours et les différents peuples nomades et sédentaires souhaitent s'allier afin de défendre leurs territoires. Mais comment se faire confiance après des siècles de rivalité et de méfiance? En scellant l'accord par un mariage, ou trois... (une corde à trois brins casse plus difficilement). Seulement les filles des steppes ne souhaitent pas s'unir à des hommes sédentaires jugés faibles, une course de chevaux permettra à chacun de prouver sa valeur et de choisir son ou sa fiancé(e).

Encore une fois les dessins sont superbes et les personnages extrêmement intéressants. J'ai hâte de découvrir la suite de cette série.
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 12

Comme prévu, ce tome va mettre Jinshi au centre de l'intrigue et Mao encore une fois devra l'accompagner afin de le protéger. Toutefois celui-ci semble savoir prendre soin de lui-même alors quel est réellement le rôle de l'apothicaire et quelle est cette famille chez qui ils sont invités et dont au moins l'un des membres aimerait se débarrasser du bel eunuque (mais si c'est une grenouille!)

Encore une fois le tome s'arrête en plein suspens, autant sur la situation des personnage que sur leurs relations. Vivement la suite.
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 11

C'est toujours un plaisir de retrouver Mao et la cité impériale malgré ses côtés sombres (mutilations de serviteurs, goûts malsains des empereurs, folies cachées pour mieux conserver le pouvoir, règlements de comptes entre concubines...) tempéré par les dessins plutôt mignon, comme le faste de l'endroit cache ses laideurs. L'esprit déductif de Mao la place bien au-dessus de ses contemporains mais sa position reste précaire.

Dans ce tome, quelques révélations sur le mystérieux Jinshi sont révélées et le tome suivant semble prometteur en ce qui le concerne.
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