Captain Trips continue sa dévastation, a échelle mondiale cette fois-ci. En effet dans ce second tome, l'épidémie se propage beaucoup plus rapidement et les morts s'accumulent. Nous suivons toujours nos cinq protagonistes du premier volume, ce qui nous permet de voir comment chaque état, ville ou région gère le problème.
Car ce volume prends le temps de nous montrer comment la situation échappe complètement au gouvernement, et quelles atrocités ils vont commettre pour tenter de banaliser l'affaire.
Et pendant ce temps, l'apparition de l'homme qui marche (Randall Flag si vous préférez) va apporter une dimension surnaturelle très étrange mais particulièrement intéressante. On ne sait pas trop encore quel va être le rôle de ce personnage, mais il risque de devenir un acteur majeur de cette histoire.
Un deuxième tome dans la lignée du premier, avec des personnages toujours aussi soignés, une narration parfaitement maitrisée et une intrigue toujours aussi plaisante à lire.
J'adore !
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Au terme de ce deuxième tome, je me pose beaucoup de questions sur l'Homme sans visage. Quant à l'histoire, le virus fait sa progression, on découvre également la façon dont l'armée fait tout pour étouffer l'affaire. C'est assez récurent cette idée du complot militaire visant à étouffer les médias. Je suis impatiente de voir vers où tout ça va mener.
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Cher Jésus, je te verrai bientôt. Ton amie, l’Amérique.
P.S : J’espère que tu auras encore des places libres à la fin de la semaine.
Randall Flagg était un homme sans âge, un homme appelé « le type qui marche » ou parfois « le porteur de Mort ».
Il marchait sur un chemin de campagne, à travers des champs de maïs vert à perte de vue, en quête de quelque chose, mais il ne savait pas quoi. Et il avait terriblement peur de quelque chose qui semblait être derrière lui, lui le suivait...
Lorsque la détonation eu lieu, elle fut étouffée et banale. Aucun des corps qui se trouvaient dans cette mortuaire ne la remarqua. Aucun d’eux ne dit à Starkey qu’il avait raison : Que la bête arrivait…
- "Si on trouve sa mère violée ou son père battu et volé, avant d'appeler la police ou de commencer à enquêter, on couvre leur nudité. Parce qu'on les aime."