«La communication entre le médecin et le patient est rendue difficile par le fait que le premier est détenteur de savoir et par conséquent de pouvoir ; le second possède aussi du savoir - en particulier, quand il commence à s'initier à ce que lui révèle son médecin -, mais pas de pouvoir. Il est en situation de crainte. Or la crainte n'est pas génératrice de pouvoir, mais de retrait ou de recul.»