Promesse

Je découvre cet auteur avec ce livre, et je regrette un peu de n'avoir pas commencé avec le premier. Pourquoi? Parce que les protagonistes me sont inconnus, et que l'auteur ne prend pas la peine de nous les présenter à nouveau. Ce qui est sans doute normal, mais déstabilisant. On ne sait pas trop qui est qui et qui fait quoi...
Par ailleurs, l'humour est un peu spécial, et tombe souvent à plat (du moins pour moi). Mais heureusement, l'histoire se suit avec intérêt, même si on se doute vite du dénouement (sauf grosse surprise, peut-être...). Certaines facilités émergent tout de même, par exemple le personnage d'Alberte, capable d'émoustiller toute une classe de garçons à elle seule, faisant alors surgir un tas de jalousies... Oui, bof... peu crédible quand même! Je vais lire la suite, pour voir.
9 octobre 2018. Je poursuis ma lecture, et j'en suis à la moitié environ. Je crois que les seuls chapitres passionnants sont ceux concernant Pirjo. Bien que guère crédible non plus, ce personnage froid comme un serpent est le plus intéressant de ce livre. Les membres du département V, à l'inverse, me semblent un groupe de joyeux lurons pas sérieux ressemblant furieusement aux personnages du Club des Cinq... ou aux Pieds Nickelés. En outre, cette enquête est bien longue... Dire que j'ai encore 350 pages à lire, je me demande ce que je vais bien pouvoir faire pour me passionner encore. Pirjo, peut-être...
13 octobre. Je poursuis ma lecture, mais je dois faire des efforts désormais. Qu'est-ce que c'est long... Je finis par m'ennuyer, tellement ça traîne en longueur. Heureusement, le trio Pirjo/Shirley/Valentina est là pour maintenir un peu de suspense...
Que dire du chapitre sur l'enterrement... On ne sait pas du tout qui est qui, des cousins aux oncles qui n'ont jamais été décrits auparavant ou si peu...? Tous ces personnages confus réunis dans un chapitre inutile en forme de farce... Et c'est donc censé faire rire, ou détendre l'atmosphère? Franchement, là, c'est tirer à la ligne!
Bon, allez Pirjo, continue de maintenir un semblant de suspense, parce que cela devient limite pénible...
27.10.2018 - Je viens de terminer. Heureusement que la fin, assez mouvementée, rachète les 700 premières pages... Bien qu'un peu grand-guignolesques et abracadabrantes, les péripéties maintiennent un peu le suspense... Mais que penser de deux flics qui se laissent assommer par une petite femme, enceinte de surcroît? Et avec un marteau en caoutchouc, en plus... Où est-elle allée trouver ça, Pirjo? Ça m'a bien fait rire, tellement c'est peu crédible... Dommage aussi que les explications finales, très alambiquées, ne tiennent que sur deux pages, comme si l'auteur tenait absolument à dire au lecteur «vous avez vu, comme j'ai bien peaufiné mon intrigue?».
Bref, je n'ai pas été enthousiasmé par ce type de roman policier, bien trop long et qui peine souvent à trouver son rythme. N'est pas Maxime Chattam qui veut...

excellent polar qui me donne le goût de lire les autres livres de cet auteur. J,ai eu le coup de foudre pour l'auteur et pour la littérature danoise que je ne connaissais pas. bravo

Ce n'est pas le meilleur de Jussi Adler Olsen. le rythme est trop lent et il y a beaucoup de lignes que je qualifierais de remplissage car inutiles à l'histoire ou à l'intrigue, des morceaux d'histoire qui ne débouchent sur rien, un peu comme si ils avaient été ajoutés par après pour faire du volume. Vu la couvertures on aurait pu croire que le pendule jouerait un rôle essentiel dans cette histoire, c'est tout juste un petit évènement. Bref un peu déçu...

Toujours heureuse de retrouver le trio fabuleux qui supervise ces affaires non résolues. Déçue par le précédent tome, je ne ressors pas completement réconciliée avec celui-ci. L'humour bien particulier et les dialogues souvent déjantés presents au début de la série se font plus rares, à mon grand regret. Ça manque désormais de mordant. L'ecriture est diluée, certains passages sont vraiment très longs et lents. le sujet de l'intrigue ne m'a pas non plus vraiment emballée. Bon, en fait je mets quand même trois étoiles car je suis juste déçue par rapport aux deuxième et quatrième tomes qui m'avaient bluffée.

Avec « L'effet papillon », la cinquième aventure du Département V, Jussi Adler Olsen paraissait tourner un peu en rond en étirant à l'infini son enquête policière. Ce penchant à la dilution est confirmé dans « Promesse ».
On retrouve bien sûr avec plaisir le trio de choc formé par Carl, Assad et Rose mais même eux semblent piétiner. le chef ne se remet pas de sa séparation d'avec Mona. le Syrien, encore un peu emprunté avec la langue danoise, continue d'entretenir le secret sur son parcours passé. Quant à la jeune femme, elle est encore plus fantasque et renfermée que dans les précédents opus.
Cette fois-ci, les spécialistes des « Cold cases » reviennent sur l'assassinat non élucidé d'Alberte à la fin des années 90. Un inspecteur de la police local s'était cassé les dents sur cette affaire sur laquelle il avait investigué pendant près de 20 ans. Obsédé par cet échec, il se suicide juste après avoir demandé l'aide de Carl. La culpabilité non exprimée de ce dernier l'encourage à se pencher sur ce fait non résolu.
Les compères se retrouvent alors embringués au coeur d'une secte dont le gourou, le bel Atu, pratique la naturabsorption. Tout un programme ! C'est malheureusement long, trop long...
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Le lecteur retrouve avec plaisir les policiers du departement V, groupe d'élite de la brigade des homicides de Copenhague, le flegmatique Carl Mørck, l'énigmatique Assad, la dynamique Rose. A cheval sur deux époques, ce thriller où l'enquête n'avance pas très vite, est bien plus complexe qu'il n'y parait. l'auteur déploie de multiples pistes et rebondissements. Une plongée en eaux troubles dans le milieu hippie, les académies naturopathes,les adorateurs du soleil et autres sectes aux gourous charismatiques et manipulateurs. Une enquête excellente qui réserve son lot de surprises.
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Les amateurs du Département V y trouveront encore leur compte, dans ce cold case en huis-clos sur l'île de Bornholm. Moins palpitant que les précédents néanmoins.

Ce que j'aime le plus chez Adler Olsen sont ses personnages. Je suis très déçue de ne pas en apprendre plus sur Rose ou Assad dans ce tome. Une petite allusion à la fin, juste pour nous donner envie de lire la suite. Dommage !