Bon, alors j'avais commencé par le tome 2. Forcément, tout s'explique. Littéralement. Voilà donc la genèse de ce
Sherlock Holmes revisité. Alors, je ne suis pas spécialiste, quoi (après en avoir traduit ma râtelée et dévoré Merle (ah tiens, faute de grives... LOL), je commence à en saisir un morceau), mais voilà ce que ce texte m'inspire. D'abord, qu'il est bien divertissant, et même si certes j'en attendais un peu plus, c'est déjà un excellent point. Ensuite, que cette nouvelle facette de Sherlock (Edward) Holmes passe très bien : c'est même Watson le plus intéressant. Plus humain, plus entier, moins soumis. Avec ses propres histoires et ses propres talents. Et enfin, bon, que les événements historiques s'emboîtent parfois maladroitement dans la fiction (ou alors avec une parenthèse assumée qui casse un peu le rythme). Mais est-ce si grave, me dis-je maintenant, au bout de ce deuxième tome ? Oui, c'est gênant, quand on a le bonheur de pouvoir comparer avec Merle. Mais quoiqu'il en soit ces tableaux, ces présentations sont indispensables à l'intrigue, c'est indéniable. C'est même crucial, fondamental, dans le roman historique. La question reste, et on ne lui en voudrait pas, de savoir s'il a vraiment cherché à rédiger un roman historique.