Adopted Love, tome 1

J'ai clairement acheté cette saga pour cette nouvelle édition illustrée, sinon je ne sais pas si je l'aurais lu. Ce n'est plus trop mon genre de romance, je les préfère plus adultes et plus pimentées mais j'ai grave accroché avec celle-ci !

On suit Teagan, un jeune orphelin de 17 ans, aux allures de badboy, tatoué et délinquant qui cache de lourdes blessures. Il va vivre chez les Hills où il rencontre Elena, une dure à cuire et on va alors observer une relation « ennemies-to-lovers » comme j'aime en lire en romance. Et Elena est plutôt piquante avec ses répliques cinglantes, elle ne va pas laisser Teagan indifférent, leurs échanges de sms m'a beaucoup amusée !

Dans ce livre, on a seulement le point de vue de Teagan, cela change car j'ai l'habitude de lire des points de vue de filles et d'ailleurs c'est intelligent parce que Teagan est un personnage mutique, on peut donc savoir ses pensées et ressentis vis à vis des situations qu'il rencontre.

Un premier tome addictif avec des personnages abimés et une histoire qui donne envie d'en savoir plus.

3.75/5
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Je ne m'attendais absolument pas à une telle claque !
Ce Tome 1 est incroyable. Je n'ai pas pu m'arrêter et l'ai lu en une nuit.

Les personnages sont entiers, puissants, complexes et bouleversants.
Les personnages secondaires ont une place à part entière. Sans eux, l'histoire n'existerait pas.

Le tout est extrêmement bien rythmé : de la douceur, de la noirceur, des rebondissements, des secrets de famille le tout vu à travers les yeux d'un Teagan aux émotions brutes et déglinguées

Je vous conseille évidemment ce livre et file me plonger dans le tome 2.

''avais repéré Adopted Love il y a un petit moment et j'ai eu une subite envie de m'y plonger. Terminé hier soir, j'ai eu beaucoup de mal à m'endormir tant cette fin m'a mise dans tous mes états ! Je vais pourtant attendre quelques temps avant de commencer le second tome, que j'appréhende beaucoup beaucoup.

Si c'est un sentiment mitigé qui m'a habité au fil de ma lecture, je peux finalement dire qu'Adopted Love est plutôt une très jolie découverte ! En effet, si je n'ai pas compté le nombre de fois où le mot « queue » et « putain » est utilisé, j'ai trouvé que le texte était un peu vulgaire par moment et la réflexion en dessous de la ceinture un peu trop présente. Certes, Teagan n'a que 17 ans et il parait qu'à cet âge les garçons ne pensent qu'à ça mais quand même ! Au delà de ça, l'histoire et les personnages sont superbes et complexes ; que ce soient Teagan et Elena ou leur « famille ». L'originalité (pour moi en tout cas car c'est ma première lecture avec un tel personnage) d'Adopted Love réside dans le fait qu'il y ait très peu de dialogues ; en effet, Teagan ne parle pas, ou très peu et uniquement à certaines personnes. Nous sommes donc, tout au long du récit, plongés dans ses pensées ; armés de plusieurs flash-backs qu'il cauchemarde chaque nuit (car il a eu une enfance très difficile), nous comprenons petit à petit d'où vient le traumatisme qui l'a privé de la parole. Nous apprenons ainsi à le connaitre, à comprendre ce qui a fait de lui le garçon qu'il est, rempli de colère, révolté contre l'injustice. Teagan est un personnage très très touchant que l'on ne peut qu'aimer et dont chaque réaction est entièrement compréhensible par le lecteur. C'est un jeune-homme brisé, qui joue le fort et se bat pour survivre dans la vie ; à côté de ça il a le coeur sur la main mais ne se fait pas d'illusion sur sa vie qui, jusque-là, a été plus que pourrie. On souffre pour ce garçon qui ne mérite pas ce qui lui arrive, on est révolté par les failles du système, le pouvoir de l'argent, le jugement des gens et le fait qu'il soit constamment sur la sellette à cause de son apparence et de son milieu. On bouillonne littéralement en même temps que lui.
Son lien avec Nathalie (Solis), son assistance sociale est très fort, bien qu'étrange ; encore une fois, via les cauchemars, nous apprendrons son origine, même si des questions restent encore en suspens à la fin de ce premier tome. Solis est l'une des rares personnes à qui Teag adresse la parole, et elle n'a pas peur de lui dire ce qu'elle pense ; j'ai beaucoup apprécié leurs échanges taquins, à travers lesquels on voit toute l'affection qu'ils se portent. La famille Hills, se retrouve être la famille d'accueil de Teagan, suite à une énième condamnation. Là où l'auteure m'a grandement surprise, complexifiant encore plus son récit, c'est que Teag ne se retrouve pas par hasard dans cette famille. Ce point particulier nous remue encore plus, enfonçant le couteau dans la plaie de la fatalité. Teag est donc propulsé dans un monde de riches, dans une famille très originale qui l'accueille à bras ouverts ou presque.
M. Hills, est un homme exceptionnel, compréhensif, qui fait tout son possible pour aider Teag à surmonter ses démons et prendre un nouveau départ (ce qui peut paraitre un peu louche par moment trouve une explication très logique à la fin). Mme Hills et le petit Chevy sont également adorables, bien que plus discrets et moins présents dans le récit. Quant à Elena, elle semble tout aussi blessée que Teag et se réfugie dans la méchanceté. Au fil du récit, nous découvrons sa vie, les changements qui sont apparus dans son quotidien, ses « amis » et, très vite, nous comprenons que quelque chose cloche, jusqu'à se douter, à force d'allusion de ce qu'elle a subi. Nous ressentons également toute la détresse des parents qui ne reconnaissent plus leur fille et ne savent pas quoi faire pour l'aider ou la comprendre ; ils assistent, impuissants à sa métamorphose.
Elena et Teagan sont la force l'un de l'autre, ils se ressemblent plus qu'il n'y parait car, si elle continue de parler, tout comme Teagan, Elena ne se confie pas. le lien qui nait entre eux est beau et puissant, nous assistons à sa consolidation, à l'évolution de Teag. Teagan si touchant qui se fiche de ce qu'il peut lui arriver tant que ceux qu'il aime vont bien ; qui se sent impuissant, frustré de ne pouvoir agir. Tous ses sentiments si puissants que l'on ressent à travers la plume de Gaia et l'esprit du jeune-homme.
C'est lorsque tout commence à aller mieux pour lui que le passé ressurgit… et cette fin mais non !! Mais quels connards (oui, moi aussi je suis vulgaire).

Bref, cette histoire est renversante et, sans les quelques petits point qui m'ont dérangée elle aurait pu être parfaite. Nous sommes pris dans un tourbillon d'émotions, mais il y a aussi des moments carrément drôles (notamment avec Benito, LE pote de Teag et Sophie la soi-disant amie d'Elena) ! J'ai vraiment peur d'être éprouvée par la lecture du tome deux et j'espère de tout coeur que je me trompe. Il me tarde d'en découvrir plus sur le passé de Teag/Solis et de savoir comment il va pouvoir se tirer du mauvais pas dans lequel il s'est fourré.
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Teagan doit saisir cette dernière chance qui lui est offerte. Il doit se tenir à carreau jusqu'à sa majorité et s'intégrer à sa nouvelle famille d'accueil, qui ne ressemble à rien de ce qu'il a connu par le passé. La famille Hills est très aisée et habite dans un quartier bourgeois. Il va dans un lycée privé dont Mr Hills n'en est autre que le directeur. Autant dire que ce changement brusque d'environnement le déstabilise quelque peu. Ils sont tous trop parfaits à ses yeux, excepté la fille ainée, Elena, qui a son âge, et semble totalement détonner du reste de la famille. Elle est agressive, a un langage vulgaire, et fait clairement comprendre à Teagan qu'il n'est pas le bienvenu chez eux.
Cette romance New Adult est beaucoup plus sombre et dramatique que veut bien le laisser penser son résumé. Teagan nous dévoile petit à petit à travers ses cauchemars, les horribles épreuves qu'il a vécues durant son enfance. Elena, le personnage féminin n'est pas en reste puisque nous découvrons également que son comportement cache un traumatisme profond et que, contre toute attente, ces deux têtes brulées vont devenir la béquille de l'un et de l'autre.
Cette lecture a été assez éprouvante, car l'auteur oscille entre les périodes très dramatiques et noires et des moments plus légers où je me suis bien marrée à voir Elena rembarrer tout ce qui bougeait autour d'elle. Teagan est aussi très attendrissant, notamment lorsqu'il échange avec son assistance sociale, qui est devenue pour lui un substitut de mère. Teagan et Elena se déchirent beaucoup et j'ai nettement préféré les moments de rapprochement et de complicité. Ce roman, m'a beaucoup fait penser à la saga After d'Anna Todd, de part justement ces montagnes russes émotionnelles et ces deux jeunes qui arrivent à se déchirer et s'aimer en même temps.
Certains clichés et incohérences m'ont parfois fait lever le yeux au ciel, notamment pour tout ce qui concerne les procédures de placement d'enfant en danger ou d'adoption. Toutefois, l'histoire étant située aux Etats Unis, j'ai réussi à faire l'impasse dessus. le comportement du couple Hills est aussi très questionnant, car ils semblent ne pas voir le désarroi de leur fille. Ils le verbalisent, mais clairement ne font rien pour y remédier. Semblant plus inquiets pour l'équilibre de leur protégé Teagan, que de leur propre fille.
Cette histoire est très addictive et je l'ai dévorée très rapidement. le final est juste insoutenable et frustrant et nous promet, je pense, une suite toute aussi explosive émotionnellement.
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J'ai mis quelques jours à écrire ma chronique d'Adopted Love afin de remettre mes idées en place. Adopted Love est le genre de roman qui vous surprend là où vous ne vous y attendez pas.

Teagan a tout du bad boy. Violent, agressif, refermé sur lui-même, tatoué et au look bien à lui. Après un énième vol pour lequel il s'est fait attraper, le voilà aux portes de la prison. Sauf si… Nathalie, qui s'occupe de lui depuis de nombreuses années à user de tous les recours possibles pour lui donner une dernière chance. Un an de conditionnel dans une famille d'accueil. Une façon de reprendre tout depuis le début. Mais son arrivée dans cette famille bien sous tout rapport sera loin d'être ce à quoi il s'attendait. A commencer par Elena, fille aînée de la famille.

Si au démarrage Adopted Love pourrait paraître assez semblable aux histoires du même style avec un énième bad boy et une famille d'accueil, Adopted Love se démarque totalement des autres. Pourquoi ? Tout d'abord parce que l'auteure, Gaia Alexia nous offre ici une histoire très profonde et vraiment développée. Ce premier tome ne fait pas moins de 650 pages, un beau pavé donc. J'ai été surprise par le côté réaliste et franc des orphelinats, système d'adoption et procédures. Un véritable casse-tête que l'auteure prend le temps d'approfondir pour nous parler du passé de Teag.

Côté personnage, je suis partagée pour Teagan. Entre le, je l'ai adoré et ai été charmé et son côté brute de décoffrage. Ici, Teagan n'est pas seulement un bad boy pour son apparence et son côté rebelle, mais bel et bien dans son comportement. Un chouilla trop agressif ? Et en même temps, tout s'explique au fil des pages. Vous voyez, ici même, j'ai du mal à mettre de l'ordre dans mes pensées. Elena c'est un peu pareil. Dès le début, j'ai compris que les choses étaient bien plus profondes qu'elles en ont l'air. Un poil agacé par moment par son comportement et en même temps touchée pour son histoire.

En revanche, là où je suis sûre à 100%, c'est concernant les personnages secondaires. Et là, je tire mon chapeau à Gaia Alexia, pour avoir donné une certaine importance « aux adultes » d'Adopted Love. Car oui, bien souvent, les parents et proches sont juste là pour faire beau… avouons-le, ce n'est pas ce qui nous intéresse le plus habituellement. Mais ici, les parents et notamment le père d'Elena a une véritable importance, tout comme Nathalie. Des personnages qui m'ont profondément émue que ce soit par leur perception des choses ou leur comportement.

La relation Teag / Elena sera explosive pendant quasiment tout le roman. Entre provocation, non-dits et petite pique qu'ils se lancent, ce ne sera pas de tout repos. Et pour cause, chacun cache quelque chose de bien plus profond qu'il n'y paraît. La tension entre eux est évidente, tout comme l'alchimie. L'évolution de leur relation sera lente et frustrante au maximum, mais au final c'est ce qui est le mieux. Teagan va alterner entre son côté protecteur envers Elena na et agressif. C'est un peu du « fuis moi, je te suis, suis-moi, je te fuis ».

Comme je le disais au début, Adopted Love m'a beaucoup surprise. Certains retournements de situation m'ont laissé totalement sur le cul à ne pas savoir quoi en penser. Et cette fin aura fini de m'achever. Difficile de ne pas avoir envie de se jeter sur le second tome pour connaitre la suite de cette histoire !

En conclusion, Adopted Love nous plonge dans une histoire profonde, dure et un brin renversant. Des personnages haut en couleur qui n'ont pas fini de nous faire passer par tous les stades.
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“Est-ce que mes parents m'aimeraient toujours s'ils savaient que, malgré tout ce qu'ils m'offrent, je ne suis ni heureuse ni épanouie ?”

Malgré le succès rencontré par ce livre, ce ne fut pas une totale réussite en ce qui me concerne. Lectrice occasionnelle de romance, je suis public difficile, et cela est à prendre en compte à la lecture de mon avis :)

TW : TCA, abandon, orphelin, misère, drogue, vi*l, harcèlement scolaire/sexuel, violences domestiques/infantiles.

Bon… Déjà, l'âge des héros (17 ans), m'a perturbée. Oui, moi aussi j'ai eu 17 ans et moi aussi j'avais évidemment une vie à cet âge-là, mais je ne sais pas, ça m'a fait bizarre 😅 Et malgré son passé et ses blessures, le côté “Je suis énervé, je suis tatoué, je vais tout casser.” du personnage principal, avec le vocabulaire qui va avec, ça va 5 minutes… Mais je me suis tout de même “attachée” à Teagan et laissée porter, curieuse de savoir ce qui allait se passer.
Finalement, c'était 650 pages pour la plupart lentes et ennuyantes. La fin est plus prenante et dynamique, mais m*rde il faut arrêter de faire ça pour qu'on achète la suite 😅
J'ai trouvé les comportements lourds, fatigants et excessifs, surtout côté Teagan avec ses pensées et remarques grossophobes et axées 🍑🍆.
Le second tome de cette trilogie fait moins l'unanimité, les lecteurs trouvant trop de longueurs ; comme c'est déjà mon cas, je pense donc m'arrêter là ^-^ D'autant qu'avec le recul, je me rends compte que je ne me suis pas tant attachée que ça aux personnages, et pourtant, au vu des sujets abordés, cela aurait pu au contraire nous rapprocher.
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Teagan est orphelin, torturé et surtout incapable de parler. Il ne peut que succinctement et qu'avec une ou deux personne de confiance. Il ne lui reste qu'une chance avant de finir en prison : intégrer une dernière famille d'accueil et être "sage". J'ai beaucoup aimé l'humour du père et l'émotion de Solis. Par contre j'ai eu un peu de mal avec Helena. Quelques petites choses m'ont dérangées. A suivre..
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J'ai trouvé l'histoire intrigante et j'ai hâte de découvrir la suite. Malheureusement la façon d'écrire de l'auteure me pose problème et seule l'histoire me fait donner 3.5 étoiles.
Tellement de vulgarité! J'avais l'impression de suivre un ado de 12 ans en pleine puberté, qui ne fait que regarder/ parler de sa b*te visiblement... ou de façon très vulgaire.
J'ai tenté de faire abstraction mais cela m'a énormément dérangée... et j'ai e du mal à m'attacher au personnage de Teagan à cause de ça.

Au début j'ai eu du mal,
Taegan passe son temps a parler des fesses d'Elena..
J'avais peur que son mutisme parte très vite du plot et que ca devienne une histoire lambda d'un badboy

Présence de TCA. Et les autres personnages ne sont pas très très futé face a ca.. là c'est même pas de l'ignorance, le comportement a certains moments est simplement horrible.. les commentaires en voyant Elena plus jeune, plonger la tête d'Elena dans son assiette, qu'avoir ce genre de trouble c'est d'être quelqu'un de complétement dingue,...


J'aimerais que dans le tome 2, le passé d'Elena soit un peu plus creusé. La fin du 1 m'a quand même donné envie de lire le 2, je trouve que ca a été une bonne fin de couper a ce moment.
Dans l'ensemble j'ai bien aimé le livre.