Le destin d'un homme

Voilà qui sonne comme un adieu à la saga Clifton et qui signe la belle plume et le magnifique travail de l'écrivain. Il faut bien que cela se termine un jour. Une belle fresque familiale durant plusieurs décennies, c'était une bonne lecture.

J'ai adoré cette saga des Clifton mais je me demande si ce 7e tome n'est pas de trop car il ne se passe pas grand chose dans "Le destin d'un homme" !
Contrairement aux précédents volumes , aucun suspense , pas de péripéties ni de rebondissements tenant le lecteur en haleine .
Lady Virginia en fait encore des siennes et c'est bien là le seul épisode où il se passe quelque chose .... mais elle disparaît totalement de l'histoire au milieu du livre .
L'auteur nous inflige un chapitre où il raconte en détail un match de criquet et je dois avouer que ça m'a prodigieusement ennuyé ;
le personnage de Freddie ( faux fils de Virginia ) fait quelques apparitions , mais ne donne lieu à aucune intrigue .
La fin émouvante ne rattrape pas le reste du livre que je n'ai pas trouvé passionnant .
J'ai eu l'impression que Jeffrey Archer ne savait plus trop quoi raconter et a fait du remplissage ( sur commande ? ) .
Je me suis ennuyé ....je termine donc cette série sur une déception !

Dernier opus d'une saga qui nous a transporté pendant presque un siècle et fait voyager dans plusieurs pays. A l'évidence cette histoire a beaucoup plu. Et dans l'ensemble c'était un bon divertissement. Malgré tout, on sent que cela s'étire vraiment sans vraiment susciter tant d'intérêt, de moins en moins au fil des tomes. La fin est un peu trop larmoyante à mon goût et un peu trop facile. Je vais attendre un bon moment avant de décider de reprendre un livre de cet auteur qui, il me semble, a fait un tome de trop.

J'ai profité de mes vacances pour enfiler les cinq derniers tomes de la saga des Clifton, les uns après les autres. Je ne pouvais plus m'arrêter, tellement chaque tome se terminait sur l'envie de connaître la suite (un champion du page-turner, ce Jeffrey Archer…). Cette saga est non seulement trépidante, mais elle est également extrêmement instructive concernant le fonctionnement du système politique anglais, du système juridique, et même des règles du criquet ! Bon, sur cette partie-là, je dois dire que j'ai vite abandonné l'espoir d'y comprendre quelque chose, et j'ai lu en diagonale pour vite revenir à ce qui m'intéressait davantage. Il y avait bien quelques longueurs ça et là, mais largement compensées par l'ensemble. Je quitte les Clifton, Barrington et autres aristocrates britanniques et irlandais à grand regret !

Beaucoup de longueurs dans ce dernier épisode, peu de rebondissements ... Il était temps que cela s'arrête...

"S'il voulait capter l'imagination du lecteur et le transporter dans un autre monde, il savait qu'il devait retenir son attention dès le premier paragraphe, en tous cas, dès la première page."
Jeffrey Archer fait bien plus : il vole toute l'attention dont vous pourriez être capable pendant la lecture de l'ensemble de sa saga. Les personnages sont irrésistibles, leur résilience, leur force à toute épreuve est sublime, et les rebondissements sont délicieux et inattendus.
Mille fois j'ai repoussé ma main de ce roman, pour retarder l'échéance finale de cette histoire aux milles facettes. Mais voilà, Harry Clifton, ce gamin des docks de Bristol, découvert dans Seul l'avenir le dira, est irrésistible dès les les premiers mots. Gilles Barrington, jeune héritier de la longue lignée de propriétaires aristocrates anglais deviendra, par le plus grand hasard, son meilleur ami, et sa soeur, la combative Emma, verra son sort sellé au regard du jeune Harry, qui deviendra un écrivain mondialement reconnu.
La grande force de cette saga ultra vivante et pétillante repose sur la marque que L Histoire, la Grande, laisse en empreinte dans toute la série. Les grands événements depuis les années 1920 jusqu'au début des années 1990 sont vécus par les personnages, de la montée des compagnies maritimes en passant bien entendu par les deux guerres mondiales, la montée de la guerre froide, et bien entendu la culture britannique ! du cricket (des scènes un peu longues à mon goût sur ce dernier tome, dans lequel l'auteur nous partage les règles du jeu sur une quinzaine de pages ^^) en passant par l'incontournable thé, l'humour so british et les chambres des Lords et des communes. L'ambiance est campée, et je ne peux vous partager plus avant les détails croustillants du dernier opus sans spoiler l'histoire.
Dans le Destin d'un homme, Harry, auteur émérite de romans policiers mettant en scène l'inspecteur Warwick, entamé l'écriture d'un roman d'un.style totalement différent, partant d'un fils et de sa mère fuyant l'URSS. La construction de l'histoire a résonné en écho dans mon esprit : Jeffrey Archer se projetait déjà sur l'écriture d'un roman à venir, sorti depuis : Pile ou face. Découvrir les ficelles que ce Gepetto anglais fait apparaître sous ses doigts comme par magie me séduit au plus au point ! Par ailleurs, face aux sollicitations multiples des lecteurs, Sir Jeffrey Archer lui a donné vie dans un.premier roman, Qui ne tente rien.
C'est un immense coup de coeur pour la série entière, et tous les lecteurs avec lesquels j'ai pu partager ces livres ont littéralement fondu de plaisir devant cette plume ultra addictive.
Je ne peux que vous donner un conseil : découvrez Seul l'avenir le dira et commandez les 6 autres dès le lendemain du début de votre lecture !

Dernier de la saga Clifton, et ayant trouvé le volume 6 moins intéressant que les autres, j'avais un peu peur en commençant la lecture. Mais je ne fus pas déçu. Un récit passionnant et intéressant (notamment sur les rites du pouvoir en Angleterre) et des personnages toujours aussi attachant. Une fin bien triste mais belle. Bref, une saga de 7 volumes qui se termine, et de belle façon. J'encourage les amateurs de Ken Follett à découvrir cette série si ce n'est déjà fait.

Avec ce septième opus, Jeffrey Archer arrive à la fin de la série 'Les chroniques des Clifton'.

On y retrouve Emma sur les bancs de la Chambre des Lords, et toutes la famille, dont Jessica et ses dernières frasques ...

Lady Virginia, toujours aussi perverse paiera, enfin, ses exactions passées ...

Un volume qui clôt cette saga qui m'a apporté du plaisir de lecture...

Une traversée du siècle - moins épique et bien moins exhaustive que celle de Ken Follett - mais attrayante ...

De bons moments de lecture - estivale- ou pas !

Lien : http://les.lectures.de.bill...

J'ai bien aimé cette saga Clifton avec des personnages aux talents multiples et divergents; c'était intéressant de découvrir des aspects du vécu britannique relativement différents ( business, politique, banque, arts, éducation, hôpital, ...).
Cette dernière partie aborde l'histoire récente (1970-1990) avec une des héroïnes qui se lie avec et soutient Margaret Thatcher. L'auteur rend ainsi cette dernière attachante en tant que personnage littéraire ... que je me suis surprise à soutenir dans le roman !!! (même si ce n'est pas le cas dans la vraie vie).
Belle réussite de fiction donc: série fort convaincante et haletante. Un plaisir.

7ème et dernier tome de la saga de la famille Barrington et Clifford qui nous a fait traverser pratiquement tout le 20 ème siècle . Les deux familles mènent une vie trépidante qui nous tiens en haleine .
De plus le roman nous apprend beaucoup sur la société Britannique dont l'aristocratie et les différentes couches de la société . Par ce roman nous faisions la connaissance du système politique et juridique anglais dont je reconnais ne pas en connaître les rouages . C'est très intéressant .
Que dire au final , sinon que nous avons passé de très bon moments avec les Clifton et les Barrington . C'est à grand regret que je les quitte .