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4,06

sur 986 notes
En ce moment les éditeurs me régalent avec les dernières publications de romance. Celui-ci ne fait pas exception et quel plaisir de lire cette histoire et ses personnages. Ce sont des romances simples, mais efficaces qui utilisent les codes et les adeptes de romances devraient y trouver également leur bonheur.

Catalina et Aaron travaillent dans la même société depuis presque deux ans et on peut dire que leur rapport son explosif depuis une première rencontre que la jeune femme s'est juré de ne jamais oublier. Pourtant contre toute attente, son ennemi se propose de l'accompagner au mariage de sa soeur, auquel son ex et sa fiancée assisteront également. Complètement opposée à cette idée, la jeune femme désespérée doit se rendre à l'évidence, elle n'a pas de plan B et elle n'est pas prête à se rendre seule en Espagne et à contre coeur elle accepte.

Catalina est une héroïne qui pourrait en irriter plus d'un, mais je dois dire que je me suis reconnue dans son côté rancunier et autoprotecteur. Après une fin de relation chaotique, la jeune femme a quitté son Espagne natale pour New-York et bien qu'elle peine à faire confiance aux hommes, la jeune femme est plutôt épanouie. Seule ombre au tableau, la pitié qu'elle inspire à sa famille lorsqu'elle rentre dans son pays natal. Alors lorsqu'elle est contrainte d'assister au mariage de sa soeur en présence de son ex, elle ne trouve pas d'autre solution que de venir accompagner pour ne pas affronter ça seule. On ne peut pas dire qu'Aaron soit son premier choix, on pourrait même dire que c'est son dernier choix.

Aaron a le don de faire ressortir le pire chez Catalina. Lorsqu'ils sont en contact l'un de l'autre, ils ne peuvent pas s'empêcher de s'envoyer des piques. Et pourtant, il est difficile de le détester quand on analyse son comportement et qu'on est attentif aux détails. On pourrait presque le qualifier de personnage fictif parfait, il renvoie l'image d'un personnage froid, mais travailleur, déterminé, à l'écoute et au fil des pages on le découvre prévenant et surprenant. Tout l'oppose à Catalina, qui est drôle, solaire et un brin maladroite, ce qui l'explose parfois à des situations plutôt amusantes, pour notre plus grand plaisir.

Une romance, avec de l'humour, un brin de tension et des personnages attachants, personnellement c'est la combinaison parfaite pour que ça fonctionne. J'ai adoré chaque instant passé en compagnie de Catalina, Aaron et le reste de la famille. Si vous aimez les ennemies to lovers et les fakes datings ce roman devrait vous plaire.
Lien : https://wp.me/p4u7Dl-5Yx
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Deuxième romance dévorée en 24h. Parfois, on a juste besoin de ça pour déstresser !

Ici on est a nouveau sur un chemin classique d'ennemies to lovers qui fonctionne. Les deux personnages concluent une espèce de contrat : une soirée et un week-end pour un mariage... jusqu'à ce que...

Encore une histoire prévisible mais qui est bien écrite. J'ai trouvé Aaron très mignon par moment (même si un peu calculateur au final non?). J'ai trouvé un peu dommage par contre que les personnages secondaires ne soient pas plus exploités, notamment la famille de l'héroïne.

Le roman essaye aussi (un peu maladroitement) d'aborder la notion de sexisme dans le monde du travail et de harcèlement sexuel. Mais le sujet apparaît à la toute fin et c'est dommage... Il y a avait une bonne matière.

Le roman reste agréable à lire. C'est aussi une bonne lecture d'été !

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J'ai A.D.O.R.É cette lecture

Alors oui on sait où l'on met les pieds et certains passages auraient pu être meilleurs mais purée, c'est exactement ce que j'avais envie de lire et ça a bien fait le job

On est sur un enemies to lovers, grumpy/sunshine, boss-employée, slow burn (oui rien que ça ^^). Personnellement, c'est ce que j'aime alors quand les pages défilent et que je le dévore en moins d'une journée malgré ses presque 700 pages, je me dis qu'il est plutôt bon, non?

Ce que j'ai aimé ce sont évidemment les joutes verbales ! Catalina est une sacrée "emmerdeuse" et il lui fallait bien une moitié entêtée et tenace comme Aaron pour contrer la jeune femme. C'est vrai qu'Aaron a certains aspects froids mais alors moi je l'ai trouvé génial, il est hyper attentionné et attentif aux autres. Catalina est échaudée par une mauvaise expérience et elle a très peur de retomber de haut. Elle a énormément travailler pour en arriver où elle en est professionnellement. Elle ne veut pas être réduite à être la "compagne de" ou à son genre. Elle s'est ainsi forgé une carapace très épaisse et se fustige de laisser Aaron la déstabiliser.

J'ai passé un super moment de lecture et j'ai hâte que l'autre roman de l'autrice sorte en poche car je craquerai c'est sûr^^.
Lien : https://parfumsdelivres.blog..
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Adorable comédie romantique !

C'était un réel plaisir de découvrir comment Catalina et Aaron allaient passer d'enemies to lovers.

Comme je l'avais lu dans certaines critiques, il est vrai qu'il y a quelques longueurs et des répétitions. Mais pour un 1er roman, c'était super !

Et les scènes hot sont bien écrites : c'était chaud !
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Je plaide coupable : je suis friande de comédies romantiques. C'est littéralement mon petit péché mignon. Alors bien entendu, je ne les note pas comme je noterais un Colette ou un Dumas, ce serait ridicule. Mais le tant attendu, puis loué, "The Spanish love deception" n'était pas une bonne comédie romantique. Mais pourquoi ?

Parce que.

1. le slow burn, ce n'est pas de la paraphrase, de la broderie grossière, ce n'est pas le dictionnaire des synonymes de "yeux bleus" et "corps puissant" : c'est une histoire d'amour qui se déroule sur un temps long. Pas sur 700 pages qui en auraient raconté autant en 300. Interminable.

2. le manque d'enjeux. Trois tropes principaux sont utilisés dans ce roman :
- La romance entre collègues : check
- le fake dating : check
- Enemies to lovers : et aïe. Des ennemis de pacotille qui n'ont absolument aucune raison même lointainement ou vaguement valable de se détester. du coup, non, on n'est pas ébahi par le fait qu'un fake dating se profile à l'horizon. Ça ne paraît pas INCROYABLE, comme pourtant l'autrice n'a de cesse de répéter, que ces deux-là se rapprochent. Ce sont juste deux collègues tout ce qu'il y a de plus classique qui, parce qu'ils se plaisent, se "chambrent" gentiment et justement....

3. Dur dur, cette pauvreté dans le banter. Les deux protagonistes répliquent avec des platitudes excessives du début à la fin du bouquin. Leurs dialogues, par ailleurs mal ponctués, sont d'un ennui !

4. Et enfin oui. Les protagonistes. Monochromes. Hors de tout réalisme, de toute vraisemblance car oui, il s'agirait de pouvoir a minima s'identifier mais non, cela ne peut jamais advenir.

En conclusion, très déçue car le trope du fake dating est quand même très largement mon préféré, et je pensais au vu des nombreuses critiques ne pas pouvoir vraiment me tromper, mais il est mon préféré surtout quand il n'est pas poussif et The Spanish love deception porte décidément bien son nom.
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Émotions approfondies : check.
Psychologie sans tomber dans le narcissique : check.
Familles et amis pour le meilleur comme pour le pire : check.
de la tension sexuelle à s'en cramer le squelette : check.
Des non dits, des regards ravageurs, des souffles courts, des frôlements brûlants : check.
Entre le ennemies-to-lovers et le bodyguard, la romance de bureau et celle de vacances : check.
La caricature du Mâle grand, large, musclé, sportif, intellectuel, riche, protecteur, secret, prévenant qui ne prend pas seulement toute la place dans sa voiture ou dans son lit mais également dans votre esprit embrumé aux vapeurs de slow-burn : check.
La caricature de la Femelle petite, au corps non décrit mais qu'on imagine parfait, courageuse, maladroite, tantôt fuyante tantôt intrépide, loyale, mordante, qui attaque pour cacher la fragilité de ses défenses, et dont aucune des actions ne peut ébranler le pouvoir d'attraction qu'elle opère sur son soupirant : check.
Admiration et respect mutuel : check.
Déclarations enflammées et happy end : check.

Une question : Pouvons-nous espérer une prochaine romance autour de la meilleure amie de notre héroïne, Rosie ?
Parce que je ne pense pas pouvoir me lasser de la plume d'Elena Armas.
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The Spanish love deception

De Elena Armas

Quand Catalina a dit un léger mensonge à sa famille en disant qu'elle serait accompagnée par un homme au mariage de sa soeur alors qu'elle est célibataire elle va donc devoir trouver un homme avant de partir pour l'Espagne, son collègue Aaron qu'elle déteste qu'elle trouve désespérant se propose pour ce rôle !

Cette histoire m'a fait beaucoup rire ma ému fait patienter voir parfois sautiller sur place beaucoup de tentation et puis d'un coup le grand saut.

J'ai apprécié que leurs sentiments évoluent au fur et à mesure de l'histoire de la haine à l'amour pas trop vite pas trop longtemps le timing parfait.

Le seul petit souci que j'ai eu dans la lecture c'est Parfois les phrases en espagnol j'aurais bien voulu avoir une traduction en dessous

Un joli roman d'amour plein de soleil du pétillant et de rigolade
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C'est un bon slow-burn comme on aime, avec beaucoup de scènes où la tension monte sans trop vite arriver à ce qu'on attend le plus donc c'est plutôt sympa. Cependant, les scènes +18 sont assez explicites et parfois un peu cringes, c'est pourquoi je retire une étoile. Malgré tout, j'ai passé un bon moment et la fin, bien que prévisible, est une très bonne fin !
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The Spanish Love deception est une romance estivale mais comme son nom l'indique, c'est une petite déception tout de même… Je l'ai lu car ce livre avait énormément fait parler de lui sur les réseaux sociaux et même partout et pourtant j'en suis déçue.
L'histoire prend beaucoup beaucoup beaucoup de temps à se lancer et quand c'est chose faite la moitié du livre est déjà bien entamée. L'histoire me paraissait un remake de Meilleurs Ennemis dans lequel, Joshua et Lucy se détestent et pourtant vont ensemble au mariage du frère de Joshua… Beaucoup de similitude quand même. Alors que l'original est super (si vous ne l'avez pas lu, lisez le), The Spanish Love Deception ne lui arrive pas à la cheville.
Lina est une espagnole soit disant courageuse, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et pourtant à chaque difficulté elle ne parvient jamais à garder le contrôle sur ses émotions et à recadrer la personne qui lui fait défaut. Son personnage est assez fluctuant, instable et on ne parvient pas à se retrouver en elle. On ne connaît rien de sa vie, de sa personnalité si ce n'est qu'attention : elle aime les patisseries (au point de dévaliser des patisseries entières), elle a un passé compliqué et c'est tout. le personnage masculin est tout aussi bien écrit. Aaron est écrit pour qu'il devienne un bookboyfriend mais justement, moi j'aurais plutôt tendance à le fuir. Il est dans le stéréotype de ce genre de romance : méchant avec l'héroïne jusqu'au voyage, il est secrètement amoureux d'elle depuis leur rencontre. Et puis il est toujours à demander à ce qu'on lui fasse confiance, toujours à demander plus, toujours à la surveiller. Et aussi… « Aaron est grand », « il est géant », « il a un torse énorme », « il prend toute la place ». Ça va 5 minutes mais 645 pages de « oh il m'excite », « oh il est grand », « oh il a des yeux bleus », « oh je suis obligée de lever la tête pour le regarder » c'est fatigant. Petit récapitulatif : Aaron est grand, a de gros muscles et a les yeux bleus. Les personnages secondaires sont assez stéréotypés eux aussi ! On a la meilleure amie sans passé commun, on a le mysogyne et harceleur sexuel, on a la famille stéréotypée et l'ex jaloux mais toxique.
L'histoire du mariage m'a laissée dubitative ! En effet, il n'y a aucune scène de retrouvailles avec ses parents, aucunes questions sur sa vie. Tout ne tourne qu'autour d'Aaron et c'est tout.
L'histoire en elle-même est donc du déjà vu, du fait et refait mais cette fois-ci avec des personnages auxquels on ne s'attache pas ! Les passages sont très long (souvent, la majeure partie du temps) je me suis retenue d'en sauter plusieurs et pourtant, maintenant je me dis que j'aurais dû.
Si je devais vous résumer cette histoire ce serait : une fille qui doit rentrer en Espagne pour le mariage de sa soeur mais elle veut pas rentrer seule (aka sans cavalier) car son ex qui l'a larguée sera là. du coup, son collègue aux gros muscles et aux yeux bleus (qu'elle ne supporte pas et qui ne l'aime pas) lui propose de l'accompagner. Mais elle veut pas (je vous passe 300 pages de vide à part qu'il a des muscles et les yeux bleus). Finalement ils vont en Espagne, il est la star du mariage, elle est heureuse parce que tout le monde croit à son mensonge. Il l'appelle bébé, lui embrasse l'épaule et la caresse (j'ai oublié, il aime les chiens, donc il caresse très bien et dans le sens du poil). Finalement, il lui annonce qu'il l'aime, ils couchent ensemble. Mais ils rentrent aux USA et finalement le misogyne dit quelque chose de méchant donc elle rompt pour finalement se remettre avec lui 3 jours plus tard parce que vous comprenez, ils s'aiment.
En bref, une romance qui ne m'a absolument pas convaincue. Si vous voulez le lire, je vous conseillerais plus le livre de Sally Thorne qui est le livre ayant inspiré son roman à Elena Armas.
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Avis : Cela faisait depuis sa sortie que ce premier roman d'Elenas Armas traînait dans ma PAL. Et c'est par ce temps d'automne glaciale que j'ai décidé d'aller chercher un peu de chaleur a New York et en Espagne avec «  The Spanish Love Deception «.

Pour un premier roman, que je l'ai écouté en audio (la voix de la narratrice est agréable, c'est un peu plus pour apprécier davantage l'histoire et les personnages) et lu quelques chapitres avec le livre, je dois admettre que j'ai beaucoup aimé suivre les aventures de Catalina et Aaron. Catalina, qui demande à son patron new yorkais, de jouer le rôle de son mec pour le mariage de sa soeur, en Espagne, c'était sympa. J'ai bien aimé la fin aussi. C'est chouette de les voir se mettre finalement ensemble après avoir joué la comédie pendant un long lapse de temps.

En conclusion, je recommande celui ci si vous voulez une lecture légère, un slow burn ou les deux protagonistes prennent leurs temps, si vous savez passez au dessus des quelques longueurs (il y en a un peu - chaque chapitre fait une vingtaine de pages) et si vous voulez un remède de guérison, anti-déprime, ce roman est parfait pour vous. En tout cas, moi, même dans les moments où j'ai été malade, il m'a clairement fait du bien. 👍
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