Perfect World, tome 7

La mangaka traite une fois de plus avec empathie et discernement du handicap physique et plus particulièrement dans la société japonaise. On y voit les difficultés rencontrés au quotidien pour une personne en fauteuil roulant mais aussi lors d'évènement aussi catastrophique qu'un tremblement de terre (ce qui est assez fréquent dans ce pays).
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Cette série me plaît toujours autant !
Un séisme a eu lieu et Ayukawa s'est retrouvé coincé chez lui. Cela va permettre à nos deux héros de se rapprocher à nouveau l'un de l'autre. Ça me fait mal au coeur pour le pauvre Koré-éda mais je serais vraiment contente si Kawana et Ayukawa se remettaient ensemble. Cependant, j'espère que ça ne fera pas que ça (rupture, retrouvaille, rupture, ...), s'ils se remettent ensemble, j'espère qu'ils affronteront avec un peu plus de courage les difficultés qui se mettront en travers de leur chemin.
Je suis très impatiente de lire la suite, surtout avec cette fin !

Vu la fin du tome précédent, je suis contente d'avoir pu enchaîner directement avec celui-ci ! Nous retrouvons nos personnages juste après le violent séisme qui a touché la région de Matsumoto. Kawana et Ayukawa s'y trouvaient chacun de leur côté pour le projet de construction de la maison de Kaede et Keigo.

Kawana va beaucoup s'inquiéter n'ayant pas de nouvelles de son ami. Elle va donc décider de partir à sa recherche pour s'assurer qu'il ne lui est rien arrivé.

Ce tome est plutôt intéressant puisqu'on voit les répercussions de la catastrophe sur la population en général et plus particulièrement sur le petit groupe de personnes que l'on suit !

Comme à son habitude, Rie Aruga nous laisse sur un suspense. Je n'ai pas encore trouvé la date de parution du tome 8 mais j'espère qu'il ne tardera pas trop !!! ♥
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La force de ce manga ce sont ses personnages mais aussi son thème, l'handicap, que l'auteure confronte au quotidien, au regard des autres, à la vie tout simplement. C'est toujours avec finesse et beaucoup de sensibilité que Rie Aruga nous livre sa vision de l'handicap. Ayukawa m'a beaucoup touchée d'ailleurs, il a évolué dans sa manière de voir sa vie et sa situation. Il a mûri.

Une très bonne suite. Un manga toujours aussi émouvant et des une histoire qui sait se réinventer à chaque tome.
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Je ne voulais pas m'atteler à critiquer chaque tome, donc j'ai pensé commenter mon préféré ! J'ai vraiment apprécié ma lecture. Depuis le début, ce manga me surprend positivement. Rie Aruga aborde l'handicap d'Ayukawa de manière simple, sans tabou. Je ne connais pas ce sujet de près donc je ne peux pas dire si elle le fait de manière juste et objective, mais en tout cas elle sait nous faire souffrir, rire, aimer avec lui. On apprend des termes médicaux, on comprend les risques et les difficultés souvent invisibles des personnes porteuses d'handicap. Kawana ne joue pas avec mes nerfs, ce qui est assez rare dans les shojo, où les personnages principaux féminin ont tendance à collectionner les clichés...
On suit l'évolution de la jeune femme qui devient forte pour assumer son amour. Je suis très contente que l'autrice démocratise ce type de romance, même si - c'est dans la phrase - c'est romancé et je ne doute pas que c'est très différent des réalités multiples.

Ce tome 7 est excellent, rythmé par de nombreux retournements de situations, il m'a touché par la situation d'Ayukawa lors du séisme, de la solidarité entre les habitants et de la détermination de Kawana.
Bref ça reste innocent,presque naïf, mais ça fait du bien !!

Un tome qui rend compte des relations complexes dans un couple, des compromis à faire. Réaliste et sensible.

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Dans ce septième tome, nous voyons comment les personnages font face à la catastrophe lancée dans le tome précédent, et comment ils s'en remettent. Difficile d'en dire plus, mais j'ai vraiment trouvé touchants les passages entre Ayukawa et Tsugumi. Malgré les hauts et les bas, même si la jeune femme est sensible, peu débrouillarde, on voit à quel point elle aime Ayukawa et pense à son bien-être et à sa sécurité.