Si vous connaissez mon compte instagram, vous savez à quel point, j'adore cette saga de manga qui m'a touché dès le premier tome.
Etant handicapée et utilisant régulièrement un fauteuil roulant pour me déplacer, forcément, j'ai un regard critique sur tout ce qui aborde ce type de handicap. Et là j ai envie de dire merci à
Rie Aruga pour le réalisme de ce manga ainsi que remercier @akatamanga qui publi de nombreux mangas concernant différents handicap. Merci de ne plus faire du handicap un tabou !
Pour revenir à ce tome, on aborde le thème de l'handiparentalité. Un thème difficile à aborder, dans notre société, on a tendance à se dire qu'une personne en situation de handicap ne peut pas être un parent comme les autres. Je vous avoue que c'est une question qui me taraude souvent: pourrais-je être mère, serais je à la hauteur pour élever un jour un enfant ?
Ce tome m'a particulière touché notamment sur une scène que je ne vous spoilerai pas. J'ai aimé comment la mangaka a abordé les questions et préjugés autour de l'handiparentalité.
J'ai aussi aimé avoir des nouvelles d'un personnage secondaire, avec l'introduction d'un nouveau type de handicap.
La note de la mangaka à la fin du tome est très belle, très touchante, elle explique ces choix dans l'évolution de l'histoire mais aussi comment l'épidémie de Covid a pu l'interperler sur la conditions des personnes en situation de handicap.
J'ai forcément hate de connaitre la suite des aventures d'Itsuki et Kawana dans le douxième et dernier tome de la saga mais en même temps, j'ai déjà un pincement au coeur de les quitter.