Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, dans les veillées du Périgord où l'on se réunissait pour énoiser, pour trier le tabac ou égrener le maïs, on ne pouvait éviter d'évoquer les derniers exploits de l'ennemi numéro un. Il faut dire, les procès-verbaux de l'époque en font foi, que les troupeaux, surtout les brebis, étaient régulièrement attaqués, et que même parfois, dans des conditions exceptionnelles de famine ou de maladie, les humains, essentiellement les enfants,...
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