« Wonder Woman T.1 » de @brianazzarello et @cliffchiang chez @UrbanComics via @izneoBD
Notre héroïne est donc embarquée, dans ce tome 1, dans une mission de secours et de protection, suite à son intervention, qui sauva la vie d'une jeune femme en détresse, du nom de
Zola. Une chose en entraînant une autre, notre amazone se retrouve prise entre deux feux, la colère d'Héra, la femme de Zeus et les complots des autres dieux. Eh, oui,
Zola, notre bougresse, à fricoter un soir avec un homme de passage, qui s'est avéré être le père des dieux et l'époux de la plus jalouse et dangereuse des femmes. Chose qu'elle n'a apprise que bien plus tard, lorsqu'elle a vu un homme-oiseau se prendre une flèche, tirée par un Centaure, au milieu de son salon. Homme-oiseau qui s'est révélé être Hermes, le Dieu des messagers et des oiseaux (private joke). de fil en aiguille, notre petite troupe hétéroclite va être embarquée dans une aventure périlleuse et assez rocambolesque. de fuite en avant et de combats toujours plus violents, notre héroïne aura fort à faire pour défendre la pauvre et l'orphelin, mais également faire face à la révélation fracassante qui sera le leitmotiv de la série : ses origines.
Ayant déjà lu pas mal de chose de notre cher
Brian Azzarello, j'étais vraiment curieux et impatient de découvrir son travail sur Wonder Woman. En effet, on a l'habitude qu'il nous créé un univers sombre, glauque, chaotique, où tout espoir semble avoir disparu, mais on ne retrouve pas cette facette-ci de son travail ici et c'est donc un des points positifs de cet opus. Il créé donc un univers où Wonder Woman découvre la vérité sur sa création et les conséquences de cette découverte, pour elle et pour ceux qui l'accompagne. Il place donc notre héroïne dans une position difficile à tenir et qui sera le fil conducteur de toute l'histoire. Amenant son lot de rebondissements, plus savoureux les uns que les autres. On a donc une histoire bien construite, intéressante, novatrice et riche. de quoi faire passer un bon moment à tous les lecteurs, qui ouvriront cette série.
Cette impression de "douceur" est d'autant plus confirmée par l'univers graphique qui nous est servi ici par Cliff Chang. En effet, c'est un monde beaucoup plus coloré et vivant que ce qu'à l'habitude de créer, l'acolyte de toujours de
Brian Azzarello,
Lee Bermejo. Et c'est une très bonne chose, car cela permet de mettre en avant une émotion forte : l'espoir, car bien que Wonder Woman fasse face à des situations dangereuses et compliquées, il y aura toujours cette étincelle au bout du couloir, pour la faire avancer et se surpasser.
C'est donc un très bon premier tome et un très bon début de série que nous a concocté ici
Brian Azzarello. Passons donc au tome 2.
Note Tome 1 : 5/5.
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