Avouer qu'on s'est trompé, c'est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit.
On ne résiste jamais complètement à un préjugé qu'on perd beaucoup de temps à attaquer.
Il suffit que nous parlions d'un objet pour nous croire objectifs.
Le feu et la chaleur fournissent des moyens d’explication dans les domaines les plus variés parce qu’ils sont pour nous l’occasion de souvenirs impérissables, d’expériences personnelles simples et décisives. Le feu est ainsi un phénomène privilégié qui peut tout expliquer. Si tout ce qui change lentement s’explique par la vie, tout ce qui change vite s’explique par le feu. Le feu est l’ultra-vivant. Le feu est intime et il est universel. Il vit dans notre coeur. Il vit dans le ciel. Il monte des profondeurs de la substance et s’offre comme un amour.
Aussi haut qu'on puisse remonter, la valeur gastronomique prime la valeur alimentaire et c'est dans la joie et non pas dans la peine que l'homme a trouvé son esprit. La conquête du superflu donne une excitation spirituelle plus grande que la conquête du nécessaire.
L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin.
De toute évidence, l’alcool est un facteur de langage. Il enrichit le vocabulaire et libère la syntaxe.
Ce que nous croyons nos pensées fondamentales sur le monde sont souvent des confidences sur la jeunesse de notre esprit.
Le feu est l'ultra-vivant. Le feu est intime et universel. Il vit dans notre cœur. il vit dans le ciel. Il monte des profondeurs de la substance et s'offre comme un amour.
La conquête du superflu donne une excitation spirituelle plus grande que la conquête du nécessaire.
D’un détail irrégulier, l’inconscient prend prétexte pour faire une généralité adverse : une physique de l’inconscient est toujours une physique de l’exception.