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sur 4394 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Eugénie Grandet ou la revanche des femmes sur le destin tout tracé qui était le leur dans les maisons bourgeoises du XIXieme siècle. Un beau roman féministe avant l'heure ?
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Je n'ai jamais été fan De Balzac et Eugénie Grandet est bien le seul roman que j'ai eu envie de relire. On n'échappe pas aux descriptions parfois interminables et répétitives, surtout au début. Néanmoins il faut reconnaître que celles-ci plantent parfaitement le décor morose (rue, maison) et le quotidien monotone dans lesquels vit la pourtant richissime famille sous la férule de l'avare et despotique Grandet. Celui-ci cache si bien son or que les femmes, qui n'ont aucune conscience de la valeur phénoménale de ses biens, acceptent sans broncher le rationnement en tout (nourriture, chauffage, éclairage...).

Mais deux familles ne sont pas dupes: celles du banquier (Grassins) et du notaire (Cruchot). Chacune y va de ses flatteries et pseudo dévouement afin de caser leur fiston avec Eugénie l'héritière. La ville de Saumur, que dis-je, tout l'Anjou et le Berry (nous sommes au pays des vignobles), se partagent entre les Grassinistes et les Cruchotins: qui remportera la main de la jeune femme? L'ingénue est parfaitement dupe de ces preuves d'amitié. Au milieu de tous ces ambitieux et ces cupides, elle offre l'image de la pureté et de l'innocence. A ses côtés, sa mère, femme soumise à "son seigneur et maître", et la Grande Nanon, servante redevable mais d'une grande force (physique et) morale. Toutes trois vont devenir très complices avec le temps, solidaires dans le malheur.

L'arrivée du cousin parisien vient révolutionner la maisonnée. Élégant et distingué, il éblouit la petite provinciale par ses tenues raffinées, ses bibelots luxueux, sa grâce délicate. Mais voilà: Charles est pauvre et ne présente donc aucun intérêt pour son oncle. C'est là que l'on découvre toute la puissance du bonhomme Grandet: celui qui passe pour un idiot ("sorti de Saumur, il n'aurait fait qu'une pauvre figure") est un réalité un habile manipulateur. Fin calculateur, maîtrisant placements et autres spéculations, c'est le roi des transactions. Si certains passages financiers sont obscurs, on comprend que Grandet est, à l'insu même de ses proches collaborateurs, un terrible homme d'affaires. Plus le roman avance, plus l'homme paraît abject: seul compte pour lui l'argent ("il domine les lois, la politique et les moeurs"), qui passe avant les siens ("J'aimais mon frère et je le prouverai bien si ça ne coûte pas").

D'abord admirable ("Elle s'initiait à sa destinée. Sentir, aimer, souffrir, se dévouer"), Eugénie finit par susciter la pitié tant son comportement est passif et résigné. le vent de rébellion initié par ses sentiments pour Charles tourne à l'abnégation chrétienne, d'ailleurs elle deviendra toujours plus dévote au fil de sa triste existence. Elle symbolise pour moi une âme pure souillée par "les corruptions du monde".
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● Avec "Eugénie Grandet", Balzac, nous livre, un coup de maître, s'il en est ! Ce roman, même s'il n'a pas la magie du "Père Goriot", ou des "Illusions perdues", est, tout de même, un sacré texte, comme on lit peu, malheureusement !
C'est un roman parfaitement construit, novateur ( pour l'époque ), qui emportent, de par, son souffle, extraordinaire, exceptionnel.
Balzac, y démontre son génie, et, avec quel éclat !
On peut très bien ne pas aimer ce roman, mais difficile de ne pas admettre, que c'est une oeuvre majeure de la littérature française, une oeuvre qui fait partie de celles qui marquent et qui ne laissent, pas indifférents.
Dans "Eugénie Grandet", Balzac, réussit, sans difficulté, à rendre l'histoire sublime, et, pourtant, à la base, elle avait tout, soit du plus mauvais des mélodrames moralistes, soit du conte sordide, sur les malheurs d'une jeune fille ; il la sublime, dans tous les sens, du terme.
Balzac, crée des personnages au caractère complexes, qui représentent divers facettes, de la nature humaine, et il le fait, avec force talent.
Son histoire, est narrée, de façon admirable et il est difficile de ne pas se laisser emporter, par cette histoire si belle, écrite avec une plume si fine, si précise, par un écrivain aux capacités aussi diversifiées, un écrivain aussi complet et aussi accompli.
Du grand Balzac !

● Il y a dans "Eugénie Grandet" tout ce qui permet de reconnaître un maître de la littérature : une chronologie parfaite ; une histoire complexe et maîtrisée ; un caractère dramatique époustouflant ; et des personnages haut en couleurs, à la psychologie complexe.
Même si ce n'est certes pas mon préféré De Balzac, je ne puis qu'admirer comment Balzac met en scène son roman, tous les ressorts narratifs qu'il met en place, sa manière d'utiliser le caractère de ses personnages, de façon à faire un récit puissant et riche en émotions.
C'est vraiment l'oeuvre d'un génie de la littérature, on le sent ; rien n'est laissé au hasard ; c'est comme un parfait mécanisme d'horlogerie.
Chaque personnage a une psychologie extrêmement travaillée et représente une position adoptée vis-à-vis de la société.
Rien est artificiel, tout semble naturel ; l'histoire va, tout simplement, naturellement…
Chaque description est parfaite, typiquement balzacienne : concise, d'une grande beauté esthétique, évoquant parfaitement le lieu dont elle parle.
On retrouve aussi dans Eugénie Grandet la thématique balzacienne de l'argent, ainsi que celle de la vertu impuissance face à la cruauté de la société.
Oeuvre riche, oeuvre puissante, oeuvre fine, oeuvre intelligente, "Eugénie Grandet" demeure une des meilleures preuves du génie balzacien.

● Je pourrais vous dire qu'il n'y a qu'un Balzac, qu'un seul artiste derrière tant d'oeuvres multiples, qu'il est toujours le même ; je pourrais également affirmer qu'il y a autant De Balzac qu'il y a d'oeuvres dans La Comédie Humaine. Dans aucun des deux cas, je ne contredirai ma pensée. Je ne sous-entends pas par-là qu'il es toujours pareil par certains côtés et différents par d'autres ; non, c'est plus difficile à exprimer ; ça tient du paradoxe ; mais toujours, quand je lis un Balzac, à chaque nouvelle phrase, à chaque nouveau mot, à chaque nouvelle lettre découverte, je retrouve Balzac, et, pourtant, au même instant, je le découvre tellement différent de ce que j'ai aperçu de cet immense figure de la littérature du XIXème siècle précédemment. Eugénie Grandet est sans doute l'une des oeuvres De Balzac qui m'ont le plus donné cette impression d'unicité dans le reste de l'oeuvre du Maître, et pourtant d'absence de ressemblance avec tant d'autres aspects que l'on retrouve dans ses autres oeuvres.
Dans Eugénie Grandet, comme dans ses autres oeuvres, c'est en grand artiste qu'Honoré de Balzac nous dépeint les tourments de sa jeune héroïne.
Je ne vois pas dans ce roman un seul passage, un seul aspect raté : le caractère des personnages est fin et nuancé, le style est travaillé pour sublimer l'histoire, l'histoire, elle, est belle dans sa tristesse, le grand Honoré nous livre un regard d'une rare intelligence sur la société de son temps.
Encore un très beau livre d'Honoré de Balzac.
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Dans la continuité de mon exploration "Qu'est-ce qui fait qu'un classique devient un classique ?", voici l'épisode Eugénie Grandet.
Dans ma lente exploration de la Comédie Humaine au fil des années, j'ai ces derniers temps plutôt lu les livres moins connus, souvent plus courts. j'y ai trouvé du bon et du moins bon. Il était temps de me confronter à un des livres stars et d'essayer de comprendre ce qui en avait fait la renommée.

Eugenie Grandet ne fait pas partie des pavés de l'oeuvre De Balzac (plus de 300 pages tout de même en poche), le critère qui ferait des oeuvres massives des meilleurs classiques ne fonctionne pas ici. Au contraire, cette brièveté toute relative contribue pour moi à la qualité de l'ouvrage. le livre est d'un seul tenant, sans parties ou chapitres pour en casser le rythme. Bien sûr, comme souvent dans les oeuvres du 19ème siècle, le début est une description détaillée du contexte géographique et des personnages principaux, au physique comme au moral. Mais les évènements s'enchainent ensuite et on ne lâche pas facilement cette succession d'évènements qui vont bouleverser des vies bien rangées et ordonnées.

Ce qui fait ensuite la spécificité de cet opus balzacien, c'est l'universalité du message, même si l'époque dépeinte a tout de même son importance (ne serait-ce que par la confrontation entre la bourgeoisie montante et la noblesse qui s'accroche à son prestige). L'auteur y oppose l'argent et ceux qui ne vivent que pour lui et la religion et ses adeptes. Si il semble dans un premier temps se positionner dans la simple condamnation des avares et dans la glorification de la foi et des vertus qu'elle défend, le cours de son récit finit presque par mettre les deux opposants dos à dos, en tout cas dans leur inaptitude commune à atteindre un bonheur réel. Entre l'argent et la religion, Balzac évoque aussi l'ambition, la recherche de la gloire, qui va souvent de pair avec le profit mais qui conçoit l'argent comme un moyen plus que comme un but définitif à atteindre.

Ce qui surprend aussi ici, c'est que les personnages semblent dans un premier temps assez caricaturaux. Là où Balzac dépeint d'habitude des figures complexes, remplis de paradoxes, les individus qui se croisent ici semblent plus dans un premier temps des symboles incarnés: L'Avarice par le Père Grandet, la Piété par Madame Grandet, l'Innocence par Eugénie, l'Ambition par Charles Grandet. Mais la confrontation de ces caractères symboliques finit par les faire bouger, les rendre moins granitiques et inamovibles. le tout est organisé magistralement par un auteur qui est le roi du théâtre romanesque.

Bref, un vrai bon tome qui mérite sa renommée, avec l'opposition Province-Paris, bourgeoisie-noblesse, maitres et serviteurs. Une Comédie humaine en miniature, qui reprend presque l'ensemble des thèmes de la saga balzacienne. Pas de recette toute faite pour obtenir un classique, mais quelques critères qui ne trompent pas et garantissent la qualité.

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Après Zola, me voilà plongée dans un Balzac. Peut-être n'aurais-je pas dû ... car je n'ai pas pu m'empêcher de comparer ces deux écritures au dépend De Balzac.
Mais le talent de l'auteur a su me faire dépasser cette comparaison et apprécier tout simplement ton propre style.

Cette figure du père avare, campagnard, avide d'argent est tellement travaillée et poussée à son paroxysme, qu'on es happée par cette histoire. Jusqu'où sera-t-il prêt à aller ?
notamment avec l'histoire des 100 sous de sa fille ...il ne plie que par crainte d'être "déshérité". le portrait tracé est vraiment répugnant.

Et de l'autre coté, nous avons la belle et ingénue Eugénie, dont le personnage prend en caractère, en détermination et même si dans ces temps-là, elle ne sera jamais maitre de son destin, elle arrive à vivre une vie comme elle l'entend.

Ce père Grandet restera longtemps grévé dans ma mémoire, surement plus qu'Eugénie.D'ailleurs, je n'ai cessé de me demander pourquoi intitluer ce roman Eugénie Grandet et non le père Grandet (trop redondant avec le père Gloriot ? mais je ne connais pas la hiérarchie des oeuvres)
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Un des personnages les plus émouvants de la Comédie Humaine , cette pauvre Eugénie , faites pour aimer et être aimée et qui se dessèche peu à peu d'abord sous la férule impitoyable de son père puis dans l'attente d'un prince Charmant minable . Cette vie minuscule broyée sous les contraintes de la société et la dureté impitoyable de la vie , combien y en eut-il ? Mais celle-là Balzac l'a amenée à la lumière qui lui fut refusée .

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J'avais déjà lu ce roman quand j'étais au collège sans doute, sans être particulièrement séduite. Mais cette année, j'ai décidé de me plonger enfin dans la Comédie Humaine, des nouvelles aux grands romans, et j'ai relu celui-ci.
Dans une ville provinciale, un Harpagon tyrannique dirige ses affaires pour entasser son or : il ne veut pas seulement s'enrichir, il veut jouir du métal brillant. Il règne par l'avarice, la peur et la colère sur sa femme, sa fille et sa servante, il règne sur la ville aussi qui devine l'état de ses affaires. Balzac précise d'ailleurs que "bonhomme" est un nom qui s'adresse à tout type d'homme d'un certain âge, sans connotation bienveillante. Quelques réactions permettent de l'humaniser néanmoins, sa tolérance envers Manon que tout le monde repousse pour sa laideur - liée à sa taille, une femme géante n'est pas appréciée au début du XIXème siècle. Grandet aime sa femme à sa façon, puisqu'elle lui obéit en tout. Et tel Harpagon, tel Danglars, tel Saccard et tous les pères égoïstes de la littérature, il ne voit en sa fille qu'un instrument de spéculation.
Et comme presque toujours chez Balzac, les histoires d'amour finissent mal. Pauvre Eugénie, Charles ne la méritait pas, elle si vertueuse, si passionnée, si aimante, lui si léger et inconséquent. Il se justifie d'ailleurs comme un mufle au nom de la différence d'âge - elle a un an de plus que lui, et à 30ans est déjà une vieille fille...
Un roman que j'ai bien fait de relire avec un regard plus exercé, plus habitué aussi à l'auteur.
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Eugénie Grandet, jeune femme de 23 ans, n'a ni une vie facile ni une jeunesse lumineuse.

Pourtant, avec un père riche à millions, rien de plus aisé à obtenir me direz-vous? oui mais non car quand votre paternel est un avare invétéré, un despote domestique, votre vie se réduit à une succession de jours tous plus ternes les uns que les autres.

Mais de cela, notre jeune héroïne n'en souffre pas.
Jusqu'à ce que le plus grand des malheurs frappe à sa porte en la personne de son cousin, Charles, jeune homme parisien, orphelin et ruiné suite à la faillite de son père.
Balzac nous offre un roman terrible sur l'amour de l'argent, la quête de la réussite et du prix de ces ambitions matérielles.

J'ai retrouvé dans ce récit, la fatalité du "Une vie" De Maupassant dans lequel une jeune fille naïve apprend l'hypocrisie de la société au prix de son innocence.

Avec une plume magnifique, malgré quelques longueurs, l'auteur dresse ici une galerie de portraits intéressés et cyniques.
Une dénonciation des travers d'une société où l'avoir, le paraître sont les clés de la réussite mais pas du bonheur.
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« Eugénie Grandet » fait partie des romans français du XIXe siècle inspirés par des faits divers.
Une jeune fille de province mène une vie modeste dans la maison de son père tyrannique et avare. Au décès de celui-ci, elle apprend qu'elle est l'héritière d'une grande fortune. Malheureusement, l'homme qu'elle aime se marie avec une personne riche car il croit qu'Eugénie est pauvre…

Le roman présente un intérêt historique et sociologique. L'action se déroule au début de la Restauration française, période où s'intensifie le développement de l'industrie et l'enrichissement de la bourgeoisie qui devient la classe dominante. Balzac devient l'observateur de la société en imaginant des personnages qui paraissent réels.

Félix Grandet vit à Saumur dans une maison froide et triste, son avarice est maladive. Sa femme et sa fille Eugénie subissent au quotidien sa cupidité ; Eugénie, devenue riche, montrera un réel désintérêt pour l'argent. Le cousin, Charles Grandet va trahir son amour pour de l'argent. Les deux familles de notables qui gravitent autour des Grandet ne sont motivées que par l'appât du gain et méprisent en secret les Grandet. Tous évoluent autour de la thématique de l'argent, le rapport des personnages à l'argent forme le rouage principal du roman.

Le style emprunte beaucoup au théâtre. Le rythme est assez lent et on découvre progressivement le monde des Grandet, leurs habitudes, leurs fréquentations. Enfin, la dernière partie du roman est assez brève et énigmatique. Eugénie Grandet devenue très riche se renferme et choisit de vivre dans une certaine solitude trouvant sa consolation dans la charité et la consécration à son unique amour.
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La famille Grandet vit paisiblement et chichement à Saumur. Elle est pourtant très riche mais le père, homme tyrannique et terriblement avare, tient toute sa famille entre ses griffes et lui impose une vie très austère. Eugénie et sa mère n'osent pas tenir tête à cet homme cruel. Alors qu'Eugénie vieillit (elle a déjà 23 ans), plusieurs familles de Saumur espérent réussir un bon mariage, c'est le cas notamment des Cruchot et des Grassins qui souhaitent unir leur descendant à Eugénie. Mais le père Grandet est retors et n'a pas l'intention de laisser sa fille comme cela. Mais c'était sans compter sur l'arrivée de Charles, neveu de Grandet, dont le père vient de mourir en lui laissant une belle faillite sur les bras. Dans la douleur du deuil, Eugénie et son cousin vont se rapprocher.

Pour ce premier mois du challenge des Douze Thèmes (Alle you need is love), j'ai donc choisi de lire un classique avec Eugénie Grandet de Balzac. Je n'ai jamais lu De Balzac et je suis bien contente de l'avoir découvert avec Eugénie Grandet que j'ai vraiment apprécié.
Balzac dépeint avec justesse le milieu bourgeois de Province du 19ème siècle avec tous ses petits secrets et ses petites manigances. Il est terrible de se voir confronter à l'avarice et aux manipulations du père Grandet face à la bonté et à la générosité d'Eugénie. On ne peut s'empêcher, avec notre regard actuel, de vouloir secouer cette pauvre Eugénie qui n'ose pas (ou peu) tenir tête à son père au sujet de son prochain mariage ou sur la façon de tenir la maison d'une manière quasi monastique. Malgré tout, on ne peut s'empêcher de ressentir empathie et tristesse à son égard, son absence de calcul, le romantisme dont elle fait preuve - et qu'elle ose à peine espérer - face à son cousin, la rendent touchante.
Très mélancolique, Eugénie Grandet nous raconte le destin tragique de son héroïne éponympe à travers une oeuvre dont les descriptions psychologiques et sociales des personnages sont parfaitement abouties.
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