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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le commissaire Dupin s'apprête à siroter son premier café du matin. La journée s'annonce chaude et ensoleillée par ce début de mois de juillet breton et il savoure le charme de Concarneau quand le téléphone interrompt sa bonne humeur : un meurtre. Un crime façon jeu de Cluedo, si l'on remplace le manoir Tudor par le grand hôtel-restaurant de Pont-Aven, le Central. Jean-Louis Pennec, le directeur, a été tué avec un couteau dans la salle à manger. Mais qui a pu désirer la mort de ce vénérable nonagénaire ?

On ferme le restaurant, on surveille les entrées, on interroge le personnel, la famille, les amis, on nous fournit quelques considérations sur l'indéniable beauté de la région, l'imminence de l'arrivée des touristes, l'histoire de ce village des peintres, où séjourna le célèbre Gauguin. le mystère reste entier, d'autant que le vieil homme, bien qu'encore très actif, n'en avait plus pour longtemps…Au moment où l'on s'endort presque dans la torpeur de cette affaire trop calme, changement de décors. La tempête se lève, des bourrasques balaient la cote et un deuxième cadavre est retrouvé au pied d'une falaise…

Dupin a son idée, flaire une piste, s'intéresse à l'art, la peinture particulièrement, les tableaux accrochés dans la salle à manger de l'hôte pour être précis. Avec l'aide d'une jeune experte en histoire de l'art Marie Morgane Cassel, il dénoue les fils d'une affaire finalement pas si compliquée…presque trop simple. On s'est laissé charmer par l'ambiance, même si l'on n'est pas convaincu par le scénario, et bien obligé d'admettre que la cupidité humaine n'a pas de limites…Une bouffée de grand large par ces temps confinés.
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De passage dans cette région magnifique, j'ai été attirée par le titre de ce livre et, le temps d'un petit séjour, l'ai lu avec plaisir.
Le commissaire Dupin, parisien arrivé dans la commune de Pont Aven est confronté à l'assassinat du propriétaire d'un hôtel renommé. C'est l'été, et il faut faire vite car les touristes affluent et on ne peut fermer l'établissement bien longtemps.
De soupçons en évidences, le commissaire Dupin va résoudre l'énigme en quatre jours!
L'intrigue est prenante, les personnages bien campés, et l'écriture agréable. de plus le lecteur visite la région de Pont Aven avec plaisir.
Eviter de lire la quatrième de couverture qui à mon avis en dit trop long...
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On sent beaucoup d'amour de la part de l'auteur pour la Bretagne, en effet, Jean-Luc Bannalec n'est autre qu'un auteur et éditeur allemand du nom de Jörge Bong, adopté par le Finistère sud où il trouvé une seconde patrie, ses descriptions m'ont plutôt ravie car le sujet est particulièrement bien travaillé.
On fait la connaissance du commissaire Georges Dupin, débarqué de Paris depuis deux ans, et qui a fait du café l'Amiral à Concarneau, son QG. Non seulement il y dîne, y prend son café le matin, mais il y réfléchit car il n'y est pas dérangé. L'efficace Nolwenn, sa secrétaire au commissariat, s'occupe pour lui de toute la logistique, de gérer les appels, etc... Ses deux acolytes, les inspecteurs le Ber et Labat, nous sont très vite présentés. Je parle de présentations, car c'est la première enquête du commissaire Dupin, première enquête qui ne sera pas la dernière lue pour moi, car j'ai beaucoup apprécié le suspense de ce roman.
Le propriétaire du Central, un célèbre restaurant de Pont Aven, est assassiné, l'affaire semble assez obscure à résoudre. Mais Dupin, policier minutieux, qui aime s'enfermer sur les lieux des crimes, va trouver le lien, le facteur déclenchant vers la résolution du meurtre.

Je dois avouer qu'arrivée à la page 173, je commençais à douter du plaisir à lire cette enquête... Elle piétinait, malgré une bonne construction, le rythme était lent... Et tout d'un coup, l'intrigue s'est densifiée, l'action s'est intensifiée de manière fulgurante, jusqu'à un suspense qui m'a tenue en haleine jusqu'à la fin. C'est une enquête un petit peu "à la Maigret", mais je suis ravie de ma lecture.

Je n'avais pas lu la 4e de couverture, car elles en dévoilent toujours trop sur la tendance du roman, et grand bien m'en a pris, même si je peux dire dans cette chronique que l'enquête s'aventure sur plusieurs époques. Ce polar sent bon les embruns bretons et le beurre salé, de plus, la plume est sympathique et poétique, même si elle ne fait pas abstraction de quelques clichés sur les Bretons...
Lien : https://lecturesdartlubie.bl..
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Le commissaire Dupin, quadragénaire un peu aigri, mais avec un bon fond, doit se rendre d'urgence à Pont-Aven. Nous sommes au début juillet et un célèbre hôtelier local a été poignardé sans témoin dans le bar de son établissement renommé.

Commence alors une course contre la montre pour essayer de trouver l'assassin avant que ce fait divers ne perturbe complètement la saison touristique si vitale pour l'économie de « la cité des peintres ». Car, comme nous l'apprend Dupin, ce charmant lieu de villégiature a accueilli depuis le milieu du XIXe siècle des peintres américains qui ont à leur tour fait venir des collègues de toute l'Europe occidentale y compris Gauguin...

Bannalec, alias Jörg Bong, décrit à merveille le microcosme de la bourgeoisie locale, ses lubies et ses inévitables faiblesses. Il tisse une trame composite au sein de laquelle il est très difficile de se faire une idée de l'assassin avant de feuilleter les dernières pages. Les fausses pistes se multiplient à l'infini et chaque figure gravitant autour de l'hôtelier défunt semble avoir un mobile potentiel.

Ce polar a été vendu en Allemagne à un million d'exemplaires et on comprend assez vite pourquoi. le rythme est rapide et ne faiblit jamais. Aucune longueur inutile, du suspens (mais aucune violence) et des personnages flegmatiques aux rôles assez complexes ; on se croirait parfois dans une fiction d'Agatha Christie.

Alors, même si on n'arrive pas à lâcher cette fiction avant d'en connaître l'épilogue, il lui manque un soupçon d'émotion. Je veux dire par là que j'ai rarement tressailli ou ri durant ma lecture. le scénario est certes propre, réaliste et bien structuré : ça ronronne élégamment comme un moteur de BMW, mais on cherchera en vain ce petit plus, cette humanité qui aurait pu en faire un récit d'exception. Dommage.

Simple hypothèse, mais on a l'impression que Bong s'est tellement occupé de tirer avec méthode tous les fils de l'intrigue, qu'il en a quelque peu oublié de donner un peu de folie à ses personnages, ce supplément d'âme qu'on aurait souhaité y trouver. Au final, un bon polar qui se contente d'être... un bon polar ! alors même que le canevas et le décor pittoresque (sans être kitsch) semblaient ouvrir des perspectives océaniques !
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Précision liminaire qui concerne un point qui n'a sûrement pas échappé à votre sagacité, je fais mention plus haut d'un livre écrit par Jean-Luc Bannalec et traduit (brillamment) par Amélie de Maupeou ; en fait A. de Maupeou traduit de l'allemand au français, car JL Bannalec est le pseudonyme d'un écrivain allemand qui vit trois mois de l'année dans le Finistère sud ; ce premier tome -car d'autres enquêtes de G. Dupin suivront- fut une vraie réussite en terme de vente en Allemagne et débarque donc chez nous.
Soyons francs, soyons fous, je divulgue tout de suite mon avis général, un peu comme si je donnais le nom du coupable dès les premières pages : c'est un bon roman policier qui laisse le goût d'un revenez-y pas désagréable du tout ; la deuxième aventure a déjà été lue par nos amis allemands, j'aimerais bien qu'Amélie de Maupeou la traduise rapidement pour retrouver Georges Dupin et la Bretagne telle qu'il la décrit.
Plusieurs bons points dans ce roman policier, le premier étant qu'il n'y a point de sang partout, on est dans des meurtres "à l'ancienne", l'auteur nous épargnant les descriptions minutieuses des cadavres, les odeurs, et tout ce que l'on peut lire dans certains livres du genre.
Le deuxième, sur la même ligne nous présente un commissaire qui prend son temps, qui a besoin de prendre du recul, seul pour réfléchir, à l'instar d'un Maigret -il a d'ailleurs le prénom du créateur du célèbre commissaire du 36 quai des orfèvres. Il pose des questions, consigne tout sur des petits cahiers Clairefontaine, les relit, y trouve -ou pas-le détail qui fait basculer l'enquête. Il y a aussi du Colombo en lui, avec cette manière de poser des questions parfois sans rapport direct avec l'affaire, mais qui s'avèrent primordiales, du Wallander aussi à creuser toutes les pistes -à faire creuser plutôt par le Ber et Labat ses collaborateurs ainsi que Nolwenn la secrétaire ultra-efficace (pléonasme ?)- à garder pour lui des informations, des intuitions qui deviendront des certitudes. Car dans ses moments de réflexion, Dupin se repasse tout le film de l'enquête en cours cherchant le détail qu'il n'a pas encore vu jusqu'à ce que ce fameux détail le mène vers la solution, évidente et même simple, presque trop, néanmoins bien dissimulée jusqu'au bout par JL Bannalec.
Le troisième est la description du pays par un oeil extérieur, celui d'un exilé qui se met à adorer son lieu de "punition" ou celui de JL Bannalec, auteur allemand donc, qui s'émerveillent à raison devant la beauté des sites, des lieux typiques, de la gastronomie locale et pour G. Dupin, qui tombe sous le charme des Bretonnes (pour JL Bannalec, je ne m'avance pas, je ne voudrais pas faire de peine à "Frau Bannalec"), au moins deux, Camille de Denis, la notaire et Marie Morgane Cassel, experte en art, spécialiste de l'école de Pont-Aven.

Les Bretons vont adorer ce roman qui décrit superbement la région et les autres vont avoir très envie de venir la découvrir. Quant à moi, né en Ille-et-Vilaine, élevé à Nantes, et habitant désormais au sud-est de cette ville, presque en bordure de la Vendée, suis-je Breton ? L'éternel débat relancé. En fait, je suis entre les deux, j'ai beaucoup aimé ce roman pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, et notamment pour la visite guidée de Concarneau et Pont-Aven et les environs et j'ai très envie de retourner voir tous ces coins que j'ai déjà vus et revus et que je trouve particulièrement accueillants.
Lien : http://lyvres.over-blog.com
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Je remercie vivement les éditions Presses de la Cité ainsi que Babelio pour m'avoir fait découvrir ce bon roman policier, j'ai passé un super moment de lecture.

L'immersion est totale, on est coeur de la Bretagne, de Concarneau, de Pont-Aven ; d'où l'impression d'avoir sous les yeux un guide, mais les descriptions, soignées et fournies, permet au lecteur de bien s'imaginer les lieux, leur histoire et le cadre dans lequel s'articule l'enquête. Les informations données sont riches et détaillées et j'ai adoré en apprendre plus, ça donne au récit un côté plus véridique non négligeable, surtout pour un roman policier.

Le style de l'auteur est très fluide, même si j'admets avoir mis un peu de temps à entrer pleinement dans l'intrigue. le premier jour (le premier chapitre) est long, il met tous les éléments en place et il faut être très concentré pour ne pas se sentir perdu. Néanmoins, la plume de l'auteur est sympathique à suivre, elle rend humain les personnages, l'enquête s'avère passionnante et les lieux charmants.

Très vite, parce que l'on veut toujours en savoir plus ou que l'on souhaite découvrir l'élément qui va tout faire basculer – nous permettant de connaître l'identité du coupable, on se rend compte qu'on a très vite avancé dans le récit. C'est addictif. Nous ne sommes pas dans un thriller, mais bel et bien dans un policier, très proche d'ailleurs des ambiances que j'aime lire avec un bon Agatha Christie. Ici, on discute, on interroge, on fouille, on fouine, on se pose, on prend son temps, mais on est toujours tenu en haleine, je n'ai pas été déçue par le rythme ni par la qualité de l'intrigue.

L'enquête en elle-même se révèle captivante. L'auteur nous emmène très tôt dans le vif du sujet, on cherche avec le commissaire Dupin, on essaie de résoudre l'affaire. Toutefois, elle se complexifie chapitre après chapitre, avec l'arrivée d'un second meurtre, d'une affaire de succession, de tableau de Gauguin encore inconnu, d'une romance secrète. Bref, incapable de s'ennuyer, il existe toujours une piste suffisamment intéressante pour nous tenir éveiller. La liste des suspects est peut-être courte, mais j'ai été bien embêtée pour trouver THE coupable, dès que j'avais une idée, un petit couac se glissait et un autre prenait la place. Ce jeu de chaise musicale a duré très longtemps, la fin fut une demi-surprise, parce que j'avais quelques doutes sur la personne, mais j'ai quand même savouré les révélations finales.

L'histoire est simple, elle reprend le schéma classique d'un bon policier, cependant, les ingrédients sont là et ils fonctionnent à merveille, je me suis largement prise au jeu avec plaisir. Peut-être que pour certains, l'histoire sera trop simple, pour d'autres, lente, pour moi, c'est un subtil mélange de simplicité très agréable à suivre, où j'ai aimé prendre mon temps pour percevoir toutes les ficelles possibles. En tout cas, si le commissaire Dupin poursuit ses enquêtes, je serais très ravie de le découvrir devant de nouvelles affaires.

Parce que ce commissaire Dupin est très attachant. Grognon, lunatique, franc, intuitif, on aime son flair autant que sa manière de raccrocher au nez du préfet. Pas mondain, pragmatique et honnête, il est néanmoins simple et bienveillant, soucieux de trouver la solution. C'est un homme très intéressant à suivre. J'ai beaucoup aimé sa petite équipe, Labat et le Ber sont deux policiers qui exécutent les ordres de leur commissaire, tentant au passage de rafler ses dernières trouvailles, manque de chance, il est déjà parti. Leurs interventions sont toujours les bienvenues. Nolwenn est une secrétaire professionnelle, très efficace et adorable. Les autres protagonistes ont tous leurs qualités et leurs défauts, leur histoire nous est contée à travers le roman et ce serait cruel de ma part de vous priver de cette découverte. Disons, que nous rencontrons le fils de la victime et sa femme, des collègues et amis du défunt, comme un conservateur de musée local, le meilleur ami, le demi-frère. J'ai beaucoup aimé la manière dont tout se lie et se dénoue, les petits secrets, c'est très prenant à suivre.

En conclusion, c'est un bon roman policier autour de Pont-Aven et de son histoire. L'enquête est classique, mais elle pourra plaire aux amateurs et à ceux qui veulent débuter en policier. On est captivé par le meurtre et la manière dont il est résolu, grâce aux descriptions soignées et aux répliques bien construites. L'intrigue est bien menée, l'enquête sait captiver le lectorat par des rebondissements intéressants et des personnages passionnants. J'ai passé un très bon moment de lecture, l'ambiance me rappelle Agatha Christie par moment, tout en découverte, en détail et en discussions riches en dévoilement. Merci beaucoup aux éditions Presses de la Cité et à Babelio pour cet envoi.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..
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J'avais été étonné de voir cet auteur au nom français et que je ne connaissais pas au rayon polar d'une librairie en Allemagne.
Renseignement pris c'est un auteur allemand qui se cache sous ce pseudonyme.
Quant à ce livre, et plus largement à la série des enquêtes bretonnes du commissaire Dupin, on est dans une ambiance assez proche d'un cosy mystery selon moi. Une lecture sans débordement d'hémoglobine ou tension à couper couteau.
Et si ce court polar n'affiche pas de grandes prétentions, on se laisse aller agréablement dans l'univers, parfois un peu cliché, que nous propose l'auteur
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Le commissaire Dupin, parisien d'origine a été nommé à Concarneau depuis quelques années. Il a fini par apprécier le charme de la Bretagne. A Pont-Aven, Pierre-Louis Pennec, 91 ans, le patron de l'hôtel Central a été assassiné. Cet hôtel fut le lieu de rendez-vous d'artistes au début du 20ème siècle. L'hôtel doit donc être fermé alors que commence la saison estivale. Dupin est chargé de l'affaire, en remplacement de son collègue en vacances. Il prend ses quartier à l'hôtel Central et assisté du jeune le Ber et de sa secrétaire Nolwen, qui connaît bien la région et ses habitants, il va peu à peu démêler les fils d'une histoire où se tissent des liens familiaux compliqués et un réseau d'artistes. C'est aussi pour Dupin l'occasion de rencontrer une jeune historienne de l'art, Marie Morgane Cassel, qui va l'aider par ses connaissances mais aussi lui faire découvrir ce monde de la peinture.
L'intrigue policière est un peu lente à démarrer mais assez bien menée tout de même. Ce livre est aussi une espèce de guide de découverte de cette partie de la Bretagne. L'éditeur et critique littéraire allemand, Jörg Bong, qui en est l'auteur et se cache sous le pseudonyme de Jean-Luc Bannalec, est manifestement un amoureux de cette région.
Un agréable polar.
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♥♥♥♥ /5

Ce titre est mon tout premier avec le commissaire Dupin, mais ce ne sera pas le dernier. J'ai trouvé la mise en route du roman un peu poussive jusqu'à la page 100. Et puis un basculement dans l'enquête m'a rendue cette lecture vraiment intéressante.

J'ai moyennement accroché au nombre incalculable de détails sur la Bretagne. Étant adepte du commissaire Brunetti, j'ai bien conscience que la description de certaines régions fait le charme de la lecture et donne une meilleure compréhension des individus. Mais là, par moments, j'ai eu l'impression d'avoir ouvert une brochure de l'office de tourisme. C'est un peu trop.
Pour ce qui est du commissaire, son côté antipathique s'est atténué au fil des pages, j'en suis même venue à l'apprécier. Ainsi que certains membres de son entourage, à travers son prisme à lui finalement. Mais ce qui m'a vraiment plu dans ce polar, c'est l'enquête. La découpe des chapitres par journée est excellente et très immersive. On suit pas à pas. Quant à la résolution, c'était finement joué, le lecteur ayant été entrainé vers une autre issue possible.

En bref j'ai refermé ce policier avec la ferme intention de relire un ouvrage impliquant le Commissaire Dupin, et je le conseille vivement pour les amoureux du genre.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Le commissaire Dupin, mûté depuis quelques années en Bretagne, est confronté au meurtre de Pierre-Louis Pennec, un hôtelier réputé de la région.
Celui-ci consacrait toute sa vie à son hôtel autrefois fréquenté par Gauguin.
Il avait appris récemment que ses jours étaient comptés.
Pour quelle raison l'a-t-on alors tué?
Dupin doit mener rapidement cette enquête car cette histoire commence à faire beaucoup de bruit et il est mis sous pression.
Ce flic taiseux, work-addict, n'est pas vraiment attachant. Avec lui, peu d'humour, juste de l'efficacité mais l'intrigue est intéressante.
Pourtant, j'ai bien aimé cette histoire. Il manque juste un peu de vie, de sentiment ... tout ce qui fait qu'on peut s'attacher au personnage central d'un roman.



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