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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Après avoir dû quitter Versailles, Paris et carrément la France en trombe,( Cf épisode précédent, le moine et le singe-roi ) le chevalier de Volnay et le moine hérétique se retrouvent à Venise.
J'ai retrouvé avec plaisir le duo des enquêteurs que forment ces deux personnages. Leurs dialogues sont toujours plaisants à suivre, surtout avec frère Guillaume et son esprit pétulant. Et il faut dire que contrairement à son dernier passage dans cette ville, cette fois ci, il va se trouver particulièrement en verve. La jeune Violetta, qui avait déjà fait des apparitions dans deux épisodes précédents est elle aussi de la partie, cherchant à trouver sa place au coeur de ces deux hommes…
A peine arrivés, les deux hommes vont être mis au courant des rumeurs qui circulent : Venise semble être devenue un nouveau terrain de chasse pour les vampires… Et leur sagacité et sens du rationnel ne sera pas de trop pour démêler la clef du mystère qui semble s'épaissir au fur et à mesure de leur enquête…
J'avoue que mon intérêt pour cette histoire a été mis à mal plusieurs fois….Déjà le sujet : j'ai horreur des histoires de vampires – réels, supposés ou non- et j'ai trouvé que l'intrigue était oubliée au dépend de tout ce qui gravitait autour des personnages centraux. Oserais-je le dire ? Bon, je l'avoue, je me suis ennuyée par moments….
La description de Venise et de l'ambiance qui y règne en période de Carnaval est fort bien faite et l'on ne peut que saluer le talent de l'auteur, Olivier Brade-Cabuçon….
Je vais m'attaquer assez vite au prochain tome, qui j'espère, me permettra de me remettre de ce sentiment mitigé que m'a laissé cette lecture….


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Le carnaval des vampires est la 7ème enquête du commissaire aux morts étranges. Cela fait donc un petit moment que je côtoie le moine (Guillaume) et son fils (Volnay, le commissaire aux morts étranges). Si Olivier Barde Cabuçon a su faire évoluer ses personnages principaux de manière remarquable et distiller leurs secrets avec parcimonie j'avoue ne pas les avoir vraiment reconnu dans cet opus.
Le moine est comme toujours amoureux de l'Amour et des femmes là dessus rien d'étonnant mais il semble de nouveau obnubilé par son âge ce qui fait écho à son état d'esprit dans Humeur noire à Venise. C'est un peu redondant mais surtout cela lui fait perdre en force de caractère, il ne faudrait pas que ça dure. Il n'y aurait pas péril en la demeure si le Chevalier de Volnay était resté lui même mais voilà que lui aussi s'y met. Durant toute son enquête il n'aura de cesse de se poser des questions sur son rapport aux femmes et à l'amour. Là, c'est déjà plus agaçant. Une petite amourette par ci par là ne me dérange pas tant que l'enquête reste au premier plan mais là la tendance s'inverse et mon intérêt retombe. Beaucoup de blabla et peu d'action.

L'enquête justement, et bien elle démarre lentement, traîne en longueur et s'enlise dans les états d'âmes du père et du fils. Les longues descriptions de Venise d'abord plaisantes me sont vites apparues comme ennuyeuses car trop récurrentes. La ville de Venise comme allégorie de la femme c'est joli mais à force de le répéter ça perd de son charme. La répétition, c'est là le problème. Les nombreuses et répétitives descriptions de Venise, de l'inquisiteur, de Flavia de Dame Corvinus,... STOP ! La répétition est l'ennemie de la subtilité. Et puis surtout les descriptions en long en large et en travers de Violetta, son charmant petit menton, sa chevelure, ses yeux...pfff... le personnage en est devenu agaçant. Dans cet opus c'est un personnage central mais elle a été beaucoup trop mise en avant sans que cela ne serve réellement l'histoire. Et encore des répétions quand à tout bout de champs on dit et redit que le moine est le père adoptif de Violetta et que à maintes reprises cette demoiselle fait tout pour être rassurée quant aux sentiments qui les unissent, elle,le moine et Volnay. Tout cela a donné un coté mièvre à l'histoire qu'il n'y a absolument pas dans les autres enquêtes. C'est d'autant plus dérangeant que cela impacte le charisme du commissaire aux morts étranges et change l'image que le lecteur (du moins moi) se fait du personnage.

A contrario, comme d'habitude au niveau historique et culture générale c'est très intéressant. Mais dans l'ensemble j'ai eu beaucoup de mal à suivre le fil de l'enquête, parasitée par les sentiments de chacun. de plus la chute m'a semblée un peu légère et un peu fade. Beaucoup moins structurée que d'habitude et un peu tirée par les cheveux. Me voilà déçue par le dénouement en prime, je proteste !
C'est de votre faute aussi Monsieur Barde Cabuçon, vous m'avez habitué à du haut niveau.
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Un roman qui me promettait beaucoup d'évasion : une ville emblématique, une ambiance étrange…
Au final j'ai surtout éprouvé beaucoup d'ennui.
La faute à la narration qui, si la plume est fluide avec un soupçon d'humour, est surtout très centrée sur la connivence qui existe entre les deux personnages principaux et leurs aventures passées, relatées dans les six romans précédents et dont j'ignorais l'existence avant cette lecture.
Pas facile donc de prendre le train en route et de faire connaissance avec le Chevalier de Volnay, commissaire aux morts étranges et son père, un moine défroqué.
L'auteur nous embarque fin du 18ème siècle dans une Venise en émoi avec la préparation d'un célèbre carnaval alors que des meurtres étranges surgissent à tout-va. le mot vampire circule sur toutes les lèvres, mettant en péril le carnaval et la présence de riches touristes européens.
J'ai aimé les dialogues entre les 2 personnages principaux, leur gouaille et leur humour mais beaucoup moins certaines situations dont ils se sortaient facilement. L'auteur aime les pirouettes.
Cette lecture ne m'a vraiment envie de découvrir plus en amont le couple Chevalier – Moine et je ne retenterai pas l'aventure.
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"Le Carnaval des Vampires" est le premier roman d'Olivier Barde-Cabuçon que je lis et je dois dire qu'il me laisse autant agréablement surprise que sur ma faim.

Ce dernier narre la suite des aventures du moine Guillaume, et de son fils le chevalier de Volnay, dans une Venise du 18ème siècle indépendante et fière de son savoir-faire architecturale et artisanale. Alors qu'ils se retrouvent pour une affaire familiale, une série d'assassinats et de phénomènes étranges incitent nos deux héros à investiguer dans cette ville qu'ils ne connaissent que trop bien et au travers de laquelle ils vont devoir déterrer de vieux souvenirs.

Avouons-le, j'ai eu un plaisir non feint à découvrir la plume de cet auteur Lyonnais. Il nous fait partager avec une fluidité quasi parfaite sa passion pour l'histoire et l'art qu'il retransmet par le biais d'explications simples mais non moins précises. N'ayant jamais visité Venise, je me suis imaginée traverser la ville en gondole, flâner dans les rues pleine de badauds, visiter les magasins artisanaux ou encore humer le parfum délicat des jardins environnants. Olivier Barde possède ce don d'emporter son lecteur dans des songes lointains dont on espère presque jamais se réveiller.... "Presque", car malheureusement l'histoire est venue noircir le tableau lumineux qui se profilait. le fond de l'aventure est somme toute classique : une histoire de vampires à une époque où le progrès est aussi paradoxalement recherché qu'évité (voire puni). Les personnages sont intéressants et donnent une note épicée au récit mais l'ensemble traîne beaucoup trop en longueur. Une fois les quelques trois cents pages atteintes (le roman en fait quatre-cent-quatre-vingt-quatre), j'ai réellement commencé à vouloir en finir avec ce roman qui me gardait éveillée par la qualité de ses descriptions historiques. Pas assez de dynamisme et trop de passivité qui ont rendu "Le Carnaval des Vampires" un roman à mon goût inachevé.

Je garde cependant en mémoire le style de l'auteur que je ne manquerai pas de suivre par le biais d'autres oeuvres que j'espère plus abouties.
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Olivier Barde-Cabuçon nous conduit une nouvelle fois à Venise, ce qui n'est pas désagréable mais je n'ai pas été convaincu par l'intrigue. Evidemment, s'agissant d'une série, je commence à me lasser de la recette.
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Hâte d'être arrivée à la dernière page ... une histoire, certes, mais je n'ai pas réussi à m'accrocher.
J'ai voulu finir ce roman car l'écriture est très agréable à lire mais quel ennui.
Néanmoins, j'ai attribué trois étoiles car on ne peut qualifier de "nul" ce roman.
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Bien compliqué et bien alambiqué pour un final bien banal. Je suis de plus en plus déçue par l'auteur. Les premiers opus étaient beaucoup plus prenants. Je verrai le prochain puisqu'il celui ci appelle une suite.
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