Cette histoire-là

Si tu aimes quelqu'un qui t'aime, ne démolis jamais ses rêves. Le plus grand, le plus absurde de ses rêves, c'est toi.

Ecrire, j'ai tant écrit. Mais écrire est une forme sophistiquée de silence.

Ainsi nous ne sommes que le méandre d'un fleuve, qui vient de loin et continuera avec nous. [...] Quelque fois nous ne faisons que finir le travail que d'autres ont laissé inachevé. Ou commencer un travail que d'autres finiront pour nous. Il parlait ainsi tout en continuant de marcher, bien qu'il eût déjà depuis quelque temps cessé de savoir où ils allaient.

Elle me dit : Si tu aimes quelqu'un qui t'aime, ne démolis jamais ses rêves.

Les morts meurent mais ils continuent à parler dans notre voix.

C'est la longue saison où l'on devient père et mère , et l'on met de l'ordre dans la vie, à travers le geste de la transmettre.
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Vous savez, les gens vivent pendant tellement d'années, mais en réalité ils ne sont vivants que quand ils arrivent à faire ce pourquoi ils sont nés. Avant et après, ils ne font qu'attendre et se souvenir. Mais ils ne sont pas tristes quand ils attendent ou qu'ils se souviennent. ils ont l'air tristes. Mais ils sont seulement un peu loin.

Faire attention à ne pas vivre complètement privé de toute douceur.

Tous les chemins sont circulaires et ils ne mènent pas quelque part mais à l'intérieur de soi …

Quelqu'un qui peut t'attendre, il t'aime.

On n'a pas idée du nombre de choses qui meurent, quand quelqu'un meurt.