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Françoise Brun (Traducteur)
EAN : 9782070419593
336 pages
Gallimard (07/05/2003)
3.74/5   328 notes
Résumé :
Vers le milieu du XIXe siècle, dans la petite ville imaginaire de Quinnipak, vit toute une communauté rassemblée autour de la très belle Jun Reihl, dont toute la ville admire les lèvres, et de son mari monsieur Reihl, directeur de la fabrique de verre.

A Quinnipak, chacun a son désir, sa "folie" secrète Pekish, l'extravagant inventeur de l' "humanophone" ;
- un orchestre où chacun ne chante qu'une seule note, toujours la même ;
- Pehnt... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
3,74

sur 328 notes
Ce roman je l'ai lu un peu comme ça :
"Des choses arrivent, qui sont comme des questions. Une minute se passe, ou bien des années, puis la vie répond."

Au fil des pages, des morceaux d'histoires, des personnages étranges qui vivent dans la petite ville de Quinnipak.
À Quinnipak on cherche des notes invisibles, chacun la sienne. On rêve de locomotive qui partirait quelque part, sans savoir trop où. On construit du verre, pour voir au travers, pour que le monde n'étouffe pas. Comme dans un monde imaginaire. Léger, en effleurant à peine la tristesse.

C'est étrange et beau toutes ces métaphores sur la vie. Les rails, le destin. La quête d'une note, d'une couleur. Le verre et la légèreté, la transparence, le regard posé à l'infini. La tristesse qui s'écoule et passe par dessus bord quand le verre est trop plein...

"Sans tristesse, cependant. Il faut se l'imaginer dit sans tristesse."

Et puis il y a les dernières pages où on trouvera peut-être une réponse. Et si on se pose encore trop de questions, ou si on ne veut pas que la réponse soit ainsi, alors il faudrait peut-être recommencer la lecture à la première page...

Encore un roman de Baricco qu'il faut lire en se laissant voyager.

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Un tableau brueghelien, avec un tas de petits personnages qui gravitent autour du directeur d'une fabrique de verre qui rêve de construire une voie ferrée, pour lequel il a déjà acquis une locomotive, qui trône dans sa propriété, sur les premiers mètres de voie. Premier roman de Baricco, pas le plus abouti, mais celui que je recommanderais pour découvrir la langue magique de cet auteur hors du commun.

Plusieurs fois, j'ai déjà chanté ici les louanges d'Alessandro Baricco. C'est un auteur que j'apprécie beaucoup pour le plaisir de lecture qu'il me procure mais aussi parce qu'il ne ressemble à aucun autre. Il est musicologue et il est remarquable par le rythme, ou plutôt les rythmes, qu'il parvient à imprimer à ses textes.

« Châteaux de la colère » est son premier roman. Je ne saurais mieux vous donner l'envie de le découvrir qu'en citant le premier paragraphe de la quatrième de couverture: Composé à la manière d'une fugue, servi par une écriture tout à tout lyrique, épique, dramatique ou burlesque, « Château de la colère » est un livre jubilatoire qui célèbre d'un même élan la beauté du monde, les prodiges de la technique, les pouvoirs de l'imaginaire et l'indéfectible espérance des hommes « toujours penchés sur le bord des choses, à chercher l'impossible ».

Peu importe ici l'intrigue. L'intérêt du livre réside principalement dans la langue. le rythme du texte m'a fait penser à un bal populaire lors d'une nuit d'été: chaque chapitre est comme un nouvel air entraînant sur lequel on se met à danser et que l'on termine essoufflé d'avoir tournoyé, mais heureux de s'être laissé entrainer dans la danse. Petite pause, et le chapitre suivant commence, on retourne en piste. Vous sentez ce que je veux dire ?

Certes, ce premier roman n'est pas le plus abouti. Il n'est par exemple pas à la hauteur de « Soie ». J'ai ressenti quelques longueurs dans les derniers chapitres (mais peut-être ne suis-je pas très objectif: j'ai par malchance terminé le texte dans des conditions de lecture pas très confortables). Néanmoins, parmi tous les livres d'Alessandro Baricco que j'ai lus jusqu'à présent, c'est dans celui-ci que j'ai trouvé le plus de variété dans le style et dans le rythme; on sent une passion qui, tout naturellement, produit des effets remarquables (un contraste total avec le côté « cérébral » ou « construit » que j'ai subi dans « Le club des miracles relatifs » de Nancy Huston dont j'ai récemment posté une critique).

Outre la langue, « Châteaux de la colère » m'a également procuré un fort agréable moment d'évasion en me plongeant dans un univers dont je dirais qu'il est à la limite entre conte et fantasy.

Bref, amis d'Alessandro Baricco, découvrez vite ce roman. Oubliez ses imperfections de premiers romans et laissez vous emporter par sa langue extraordinaire ! Et encore bravo à la fidèle traductrice, Françoise Brun.

PS: (1) Je suis preneur de vos impressions si jamais vous avez lu Alessandro Baricco en italien. (2) Je ne sais pas d'où vient le titre de ce livre…
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Les Châteaux de la colère est le troisième roman de Baricco que je lis. le plus étrange. le plus déstabilisant. Trois livres, trois styles. Et je me dis, "wouaw, quel auteur".

Cela dit, j'ai le sentiment confus que je n'ai pas tout compris. Y avait-il quelque chose à comprendre, d'ailleurs? Je n'en sais rien. le dernier chapitre éclaire bien des choses. Et j'ai même eu la sensation qu'il aurait fallu que je reprenne la lecture depuis le début, afin de tout recoller.

L'auteur nous promène dans une grande allégorie fantasmagorique, dans un paysage poétique et surréaliste, décalé mais envoûtant, au rythme lent des existence atypiques qui s'écoulent. On suit tour à tour plusieurs destins, tous plus ou moins tragiques, désoeuvrés ou passionnés.

Pour nous saisir et nous emmener, Baricco utilise tous les artifices de l'écriture. Lettres. Narrateur omniscient. Dialogues... Toutes les ficelles y passent et sont utilisées à bon escient. C'est un véritable atelier d'écriture qu'il nous donne.

Cela me donne encore davantage l'envie de découvrir le reste des oeuvres de l'auteur.
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Après Soie, voici le 2ême livre de Barricco que je lis. Ce roman m'a plu pour sa folle liberté et créativité, bien plus extravagant que Soie, mais une extravagance qui a un brin de sérieux adorable, comme le jeu d'un petit garçon concentré sur son monde imaginaire. D'ailleurs, le plaisir palpable que prend l'auteur à parler des trains, des inventions ou de toute autre chose sortie de son imagination , bref ce plaisir est définitivement celui d'un tit gars qui joue. L'imaginaire autour de la musique et du son m'a particulièrement séduite, l'humanophone est un concept délirant de chorale à ficelle (!!!) où chaque choriste joue une note et une seule = la sienne sur la commande d'une ficelle tirée sur son poignet :-))))
À mon tour de succomber à un brin d'excentricité et d'ajouter ici dans cette critique la vidéo de Bjork, a t elle lu Barricco ? qui m'est immédiatement revenue en mémoire à la lecture du passage sur l'humanophone = http://www.youtube.com/watch?v=igOWR_-BXJU, pour ceux qui veulent s'y risquer hihi !!!
PAr ailleurs, j'ai pu constater que le thème de la liberté dans le couple et l'amour inconditionnel , très présent dans Soie, est ici repris, sans forcément être le main topic de l'histoire, avec un immense et généreux talent par l'auteur, avec une grande liberté d'esprit et beaucoup beaucoup de délicatesse aussi...Laissez-vous envouter par les lèvres de la belle Jun, et la transparence du palais de verre ...Une lecture qui chatouille l'imaginaire tout en faisant réfléchir sur les relations humaines, le couple, le travail, la réalisation de soi.
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Cela fait une quinzaine d'années que j'ai acquis ce roman. Adolescente, j'avais adoré l'écriture musicale de Baricco. « Soie », « Océan mer », « Novecento », « Sans sang », « City », … autant de romans que j'avais dévorés. Lecture de midinette, sûrement.

Cela fait donc une quinzaine d'années que ce roman traine dans ma bibliothèque. Plusieurs fois j'ai entamé sa lecture. A chaque fois j'ai abandonné. Mais cette fois-ci j'ai tenu bon ! Car il faut bien l'avouer, il faut vraiment s'accrocher pour suivre Baricco dans ses délires. Et au final, je l'avoue, je n'ai absolument rien compris à ce roman. Mais y a-t-il vraiment quelque chose à comprendre ?
J'espérais qu'à la fin tout s'éclaire mais non. Il y a bien, dans les toutes dernières pages, une tentative d'explication, mais franchement après cette lecture harassante j'étais trop lasse pour fournir un effort supplémentaire.

Alors, oui, certes, l'écriture est originale, on peut même dire expérimentale par endroit. Et on peut déceler çà et là quelques passages comiques, à la façon des burlesques du cinéma muet des années 30.

Mais ici point de personnage principal, point d'intrigue. Des noms de personnage biscornus, des noms de lieux saugrenus, des dialogues embrouillés. Et au beau milieu du livre, des pages presque blanches, sans que je comprenne la signification d'un tel graphisme, de tels silences. Des passages qui se répètent et s'amplifient à chaque passe, comme des boules de neige. Et puis de longues digressions absurdes, ou d'autres énigmatiques ou que l'on devine philosophiques …

Tout ça pourquoi ? Pour en arriver où ? Mystère pour moi …

Voilà un livre que je m'en vais de ce pas abandonner sans aucun remords dans la boite à livres du quartier …
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Citations et extraits (55) Voir plus Ajouter une citation
— dans ces moments-là on dirait que les coups de cloche découpent la nuit en quartiers, c'est le temps qui devient une lame ultrafine et qui sectionne l'éternité — la chirurgie des heures, chaque minute une blessure, une blessure pour sauver sa peau — on est là cramponnés au temps, voilà la vérité, parce que le temps fait le compte de toutes nos tentations d'être, minute par minute — compter c'est sauver sa peau, voilà la vérité, ce qui légitime en fait toutes les horloges, la douceur déchirante de tous les coups frappés par n'importe quelle cloche — on s'accroche au temps pour qu'il y ait un ordre dans l'électrisante défaite quotidienne, un avant et un après chaque choc — on s'y accroche avec une peur féroce, et déterminée, avec une méticulosité hystérique et une force inhumaine.
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Dans les trains, pour sauver leur peau, pour arrêter la rotation perverse de ce monde qui les martelait là-bas de l’autre côté de la vitre, et pour esquiver la peur, et pour ne pas se laisser engloutir par le vertige de la vitesse qui forcément cognait sans cesse dans leur cerveau autant que sur la forme de ce monde frôlant l’autre côté de la vitre sous des apparences jamais vues jusque-là, surprenantes sans doute, mais impossibles, parce que s’abandonner à elles un seul instant relançait instantanément la course de la peur, et donc cette épaisse et profonde angoisse qui au moment de se cristalliser en pensée se révélait de toute façon n’être rien d’autre que la sourde pensée de la mort- dans les trains, pour sauver leur peau, ils prirent l’habitude de s’en remettre à un geste méticuleux, un exercice d’ailleurs conseillé par les médecins eux-mêmes et d’illustres savants, une stratégie minuscule de défense, évidente mais géniale, un petit geste exact, et splendide.

Dans les trains, pour échapper à ça, ils lisaient.

Le baume parfait. L’exactitude fixe de l’écriture comme suture d’une terreur. L’œil qui trouve dans les infimes virages dictés par les lignes une échappatoire nette à ce flux indistinct d’images que la fenêtre impose. On vendait, dans les gares, des lampes exprès pour ça, des lampes de lecture. Elles se tenaient d’une main, elles dessinaient un cône intime de lumière à fixer sur la page ouverte. Il faut imaginer ça. Un train lancé dans une course furieuse sur deux lames de fer, et dans ce train un petit coin d’immobilité magique minutieusement découpé par le compas d’une petite flamme. La vitesse du train et la fixité du livre éclairé. L’éternellement changeante multiformité du monde tout autour, et le microcosme pétrifié d’un œil qui lit. Comme un noyau de silence au cœur d’une détonation. Si l’histoire n’était pas vraie, si ce n’était pas la vraie histoire, on pourrait se dire : c’est juste une jolie métaphore exacte. Au sens où peut-être, toujours, et pour tout le monde, lire ce n’est jamais que fixer un point pour ne pas se laisser séduire, et détruire, par la fuite incontrôlable du monde. On ne lirait pas, rien, si ce n’était par peur. Ou pour renvoyer à plus tard la tentation d’un désir destructeur auquel, on le sait, on ne saura pas résister. On lit pour ne pas lever les yeux vers la fenêtre, voilà la vérité. Un livre ouvert c’est toujours la présence assurée d’un lâche - les yeux cloués sur ces lignes pour ne pas se laisser voler le regard par la brûlure du monde – les mots qui l’un après l’autre poussent le fracas du monde vers un sourd entonnoir par où il s’écoulera dans ces petites formes de verre qu’on appelle des livres – le moyen le plus raffiné de battre en retraite, voilà la vérité. Une obscénité. Et cependant : la plus douce. C’est ça le plus important, et il faudra toujours le rappeler, et le transmettre, de proche en proche, de malade à malade, comme un secret, comme le secret, que jamais il ne s’évapore dans la renonciation de quiconque ou la force de quiconque, que toujours il survive dans la mémoire d’au moins une âme exténuée, et y résonne comme un verdict capable de faire taire qui que ce soit : lire est une obscénité bien douce. Qui peut comprendre quelque chose à la douceur s’il n’a jamais penché sa vie, sa vie tout entière, sur la première ligne de la première page d’un livre ? Non, l’unique, la plus douce protection contre toutes les peurs c’est celle-là – un livre qui commence.
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Il faut imaginer ça. Un train lancé dans une course furieuse sur deux lames de fer, et dans ce train un petit coin d'immobilité magique minutieusement découpé par le compas d'une petite flamme. La vitesse du train et la fixité du livre éclairé. L'éternellement changeante multiformité du monde tout autour, et le microcosme pétrifié d'un oeil qui lit. Comme un noyau de silence au coeur d'une détonation. Si l'histoire n'était pas vraie, si ce n'était pas la vraie histoire, on pourrait se dire: c'est juste une jolie métaphore exacte. Au sens où peut-être, toujours, et pour tout le monde, lire ce n'est jamais que fixer un point pour ne pas se laisser séduire, et détruire, par la fuite incontrôlable du monde.
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Et ils s'en vont, Pekisch et Pehnt, Pehnt et Pekisch, ils s'en reviennent le long du tube, l'un à gauche l'autre à droite, lentement, scrutant chaque pouce du tube, pliés en deux, à chercher toute cette voix perdue, et si quelqu'un de loin les voyait il pourrait se demander ce que diable ils peuvent bien faire ces deux-là, au milieu de la campagne, les yeux fixés sur le sol, un pas après l'autre, comme des insectes, et pourtant ce sont des hommes, qui sait ce qu'ils ont perdu de si important pour ramper comme ça au milieu de la campagne, qui sait s'ils le retrouveront jamais, ce serait bien s'ils le retrouvaient, qu'au moins une fois, au moins une fois de temps en temps, dans ce monde archimaudit, quelqu'un qui cherche quelque chose ait la chance de le retrouver, comme ça, simplement, et dise je l'ai retrouvé, avec un tout petit sourire, je l'avais perdu et je l'ai retrouvé - ça n'est pas si compliqué, le bonheur à côté ça ne serait rien.
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Il y a la lumière tout autour, la lumière du soir. Le soleil te prend sur le côté, quand c'est comme ça, c'est une manière plus douce, les ombres se couchent démesurément, c'est une manière qui a en elle quelque chose d'affectueux — ce qui explique peut-être comment il se fait qu'en général il est plus facile de se croire bon, le soir — alors qu'à midi, au contraire, on pourrait presque assassiner ou pire ; avoir l'idée d'assassiner ; ou pire : s'apercevoir qu'on serait capable d'avoir l'idée d'assassiner. Ou pire : se faire assassiner.
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Videos de Alessandro Baricco (75) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alessandro Baricco
« […] Jour après jour, Saba - de son vrai nom Umberto Poli (1883-1957) - compose le “livre d'heures“ d'un poète en situation de frontière, il scrute cette âme et ce coeurs singuliers qui, par leur tendresse autant que leur perversité, par la profondeur de leur angoisse, estiment pouvoir parler une langue exemplaire. […] […] Au secret du coeur, dans une nuit pétrie d'angoisse mais consolée par la valeur que le poète attribue à son tourment, cette poésie est une étreinte : à fleur de peau, de voix, une fois encore sentir la présence de l'autre, porteur d'une joie qu'on n'espérait plus. […] Jamais Saba n'avait été aussi proche de son modèle de toujours, Leopardi (1798-1837) ; jamais poèmes n'avaient avoué semblable dette à l'égard de l'Infini. le Triestin rejoint l'auteur des Canti dans une sorte d'intime immensité. […] […] Comme le souligne Elsa Morante (1912-1985), Saba est plutôt l'un des rares poètes qui, au prix d'une tension infinie, ait élevé la complexité du destin moderne à hauteur d'un chant limpide. Mais limpidité n'est pas édulcoration, et permet au lecteur de percevoir deux immensités : le dédale poétique, l'infinie compassion. » (Bernard Simeone, L'étreinte.)
« […] La première édition du Canzoniere, qui regroupe tous ses poèmes, est fort mal accueillie par la critique en 1921. […] Le Canzoniere est un des premiers livres que publie Einaudi après la guerre […] L'important prix Vareggio de poésie, obtenu en 1946, la haute reconnaissance du prix Etna-Taormina ou du prix de l'Accademia dei Lincei, ne peuvent toutefois tirer le poète d'une profonde solitude, à la fois voulue et subie : il songe au suicide, s'adonne à la drogue. En 1953, il commence la rédaction d'Ernesto, son unique roman, qui ne paraîtra, inachevé, qu'en 1975. […] »
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Référence bibliographique : Umberto Saba, du Canzoniere, choix traduit par Philippe et Bernard Simeone, Paris, Orphée/La Différence, 1992.
Image d'illustration : https://itinerari.comune.trieste.it/en/the-trieste-of-umberto-saba/
Bande sonore originale : Maarten Schellekens - Hesitation Hesitation by Maarten Schellekens is licensed under a Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.
Site : https://freemusicarchive.org/music/maarten-schellekens/soft-piano-and-guitar/hesitation/
#UmbertoSaba #Canzoniere #PoésieItalienne
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