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3,78

sur 162 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ayant récemment découvert cette auteure avec "le cercle des derniers libraires" et apprécier ma lecture j'ai continuer avec ce roman et j'ai beaucoup aimé cette histoire. Un cosy mystery dans le style d'Agatha Christie avec une enquêtrice surprenante et un suspens prenant avec une pointe d 'humour. L'intrigue très bien écrit et les personnages attachants font qu'il est impossible de lâcher le livre. Un excellent roman policier comme je les aime
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Le style est facile à lire, les personnages sympathiques et que ça se passe en Auvergne est bien agréable. le précédent roman que j'avais lu de cette auteure était une copie d'un Agatha Christie, là elle s'est inspirée d'un autre auteur ... le problème est quand on a lu les auteurs, le suspense est un peu moindre. L'héroïne est attachante et les autres personnages sont bien campés.
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Un bon Cosy Mystery régional.
Nina veut enquêter ! le père de ses enfants s'est suicidé après avoir été accusé de meurtre. le meurtre de la reine des parapluies de la région !
Et Josefa, sa tante va l'aider grâce à une infiltration dans la demeure familiale de la défunte.
C'est réjouissant, c'est hyper fluide et facile à lire. Ça fait sourire.
Les descriptions du début sont peut-être un peu longues mais n'entame pas le plaisir de la lecture.
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Un polar que l'on pourrait qualifier de classique, une enquête au petit goût d'Agatha Christie ( que j'aime tant ) où les déductions et la réflexion sont les principaux ingrédients de la réussite de l'enquêtrice amateur Joséfa.
Les personnages sont attachants, on se prend au jeu de les soupçonner à tour de rôle en espérant que nos chouchous ne soient pas coupables.
Une lecture très agréable qui m'a en plus donné envie de découvrir l'Ardèche.
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Les cosy mystery ne font pas partie de mes lectures habituelles, et pourtant pour cette dernière lecture de l'année 2021, je me suis laissé tenter par le parapluie de la discorde de Sylvie Baron. Ne versant pas dans ce genre littéraire, je ne connaissais pas cette autrice, mais je vais vous expliquer pourquoi je commence par celui-ci : tout simplement car l'histoire se déroule dans un coin de France que je connais bien, le Cantal. Et il faut avouer que c'est intéressant d'être capable de se représenter en détails les lieux où se passe l'histoire !

Nous allons suivre l'enquête de Joséfa et de Nina, sa nièce, qui se font embaucher comme domestiques dans la villa de la famille Vitarelle. Leur objectif ? Découvrir l'assassin de la cheffe de famille Hélène Vitarelle. Jusqu'à sa mort, cette dernière était à la tête de l'entreprise Vitarelle, fleuron de la production française de parapluies. Avec son caractère froid, manipulateur et autoritaire, elle régnait sans pitié sur son petit empire, menant à la baguette son mari et ses trois enfants. Nina va tout faire pour disculper son ex-amant et père de ses jumeaux, Jacques Naucelle, accusé du meurtre d'Hélène.

Sylvie Baron dresse ici les portraits de personnages touchants et justes. Nina est lumineuse et pleine de vie, ses dialogues avec le vieux jardinier de la villa m'ont attendri. L'évolution de l'état du petit-fils de la défunte, Frédéric, est bouleversante et décrite avec justesse. C'est drôle de voir des personnages totalement effacés du vivant de la tyranne reprendre vie après sa mort. A croire que le crime profite à toute la famille… D'autres personnages sont plus inégaux. Les enfants Vitarelle, pour commencer : j'ai bien aimé Hugo, repoussant au début mais qui saura devenir attachant (pour une raison que je ne vais pas spoiler ici), j'ai moins aimé Sophie qui est une caricature de sa mère, et enfin Laure est totalement inexistante du fait de sa maladie. le personnage principal, Joséfa, ne m'a pas totalement convaincu. Dès les premières pages, elle m'a fait penser à Joséphine Ange Gardien, et ce n'est pas un compliment (s'il faut le préciser). Elle brille dans le genre fouineuse et excelle à mettre son nez dans tout ce qui ne la regarde pas ; et, bien évidemment, elle distille sa morale et ses conseils à tout-va.

L'intrigue se révèle être assez classique et mêle histoires de famille, liaisons amoureuses et secrets industriels, rien que ça. Habitué aux polars noirs, thrillers, Thilliez & compagnie, l'enquête parait forcément un peu simple (-iste ?). Mais je pense que c'est inhérent au genre cosy mystery donc je ne serai pas trop critique à cet égard-là. On se croirait dans une enquête d'Agatha Christie, loin des scènes avec effusion de sang et violence à gogo. le duo d'enquêtrices va découvrir de nombreux secrets de famille, suspecter tour à tour les membres de la famille et faire la lumière sur ce(s) mort(s).

J'ai beaucoup aimé cette petite lecture rapide, légère et reposante. L'autrice a su retranscrire la beauté des paysages cantaliens et du village de Vic-sur-Cère. Nul doute que la prochaine fois où j'y serai, j'imaginerai la villa Médard en bord de Cère, derrière les terrains de tennis municipaux. Bien évidemment la famille Vitarelle sera là avec ses indémodables parapluies d'Aurillac. Par contre, pas sûr que les cosy mystery soient forcément mon genre de prédilection.
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Si vous êtes fans d'Agatha Christie, que vous ne ratez pas un épisode de Mimi Mathy, que vous adoré le Cantal, que vous aimez les histoires d'amour, alors vous serez pleinement satisfait avec le parapluie de la discorde!
J'ai passé un agréable moment avec Joséfa (un parfait mixe entre Miss Maple et Joséphine l'ange gardien), Nina et les Vitarelle!
J'avoue avoir eu un doute après la lecture du premier chapitre, je commençais à regretter ma lecture, je me disais "mince, je vais encore me farcir 300 pages avec cette Josefa qui a l'air d'un ennui… mais arrivé à la dernière page du roman, je me suis rendue compte que l'autrice avait réussi son coup, me tenir en haleine jusqu'au bout, et même regretter de quitter ces personnages auxquels je m'étais attaché. J'espère pouvoir les retrouver dans ses prochains romans tellement j'ai apprécié.
Alors certes, ce n'est pas le livre de l'année, tout comme certaines aventures de mon cher Hercule Poirot dont je ne relirai pas forcement une seconde fois les livres, il y a quelques facilités dans la trame de l'histoire, on peut même se douter un peu de la fin même s'il nous manque quelques éléments. Mais pour ma part, j'ai aimé et c'est tout ce qui compte!
Merci (encore une fois) à Babelio et à la maison d'Edition "Jai lu" pour cette chouette découverte!

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Dans cette histoire, on découvre (ou redécouvre, pour ceux qui connaissent d'autres romans de l'autrice, ce qui n'est pas mon cas) Joséfa, une femme attachée à son Cantal, à ses souvenirs et à sa famille, dont fait partie sa nièce Nina, une jeune femme passionnée et abimée par la vie, par ses amours. Quand elle arrive avec ses jumeaux chez sa tante, elle est anéantie par l'accusation portée contre le père des petits, un homme lâche et infidèle, mais qu'elle croit innocent.
Et voilà nos deux femmes embarquées dans une contre-enquête : elles se font embaucher par la famille Vitarelle et profitent de leurs entrées dans le manoir, puis dans l'usine pour trouver des indices innocentant Jacques.

Les deux femmes vont devoir apprivoiser ses enfants et son mari : Charles l'ornithologue convaincu qu'il est inutile et inconsistant ; Laure, l'épouse de Jacques, fragile et anéantie par les derniers événements ; Sophie, l'admiratrice inconditionnelle de sa défunte mère et Hugo, le fils prodigue. Avec eux évolue le petit Frédéric, le fils de Jacques et Laure, livré à lui-même, qui trouvera auprès de Joséfa une oreille attentive et une amitié sincère. de fait, très rapidement, l'humain se mêle à l'enquête policière et vient troubler les têtes et les coeurs.

J'ai bien aimé cette histoire. L'enquête connait de multiples rebondissements, de mensonges en adultères, de stratégies économiques en péchés d'orgueil, on ne s'ennuie pas avec les Vitarelle, la révélation rend hommage à la grande Agatha Christie. Les personnages sont attachants. J'ai moi-même eu une préférence pour Joséfa, Nina et Charles. le deuxième fil, celui de l'histoire d'amour est plus attendu, mais il édulcore un peu cette sombre histoire de famille.

Ce fut donc une lecture agréable et assez addictive, en cela, c'est un très bon roman policier, et je remercie les Editions J'ai lu de me l'avoir fait découvrir.

Lien : https://livresque78.com/2021..
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Après le lecture d'un premier roman de Sylvie Baron qui m'avait beaucoup plu, j'ai voulu continuer l'expérience et cette fois encore elle a été réussie. le milieu choisi par l'auteur pour cet opus est celui des fabricants de parapluie, je vous l'accorde, c'est moins attirant que celui des libraires, mais l'auteur a su, avec un brio certain, m'embarquer dans une enquête qui avait malgré tout son piquant. Nous pénétrons dans une grande famille bourgeoise du Cantal qui possède une usine de confection de parapluies. Branle-bas de combat, la matriarche qui menait son entreprise et sa famille d'une main de fer vient d'être retrouvée assassinée dans le grand parc de sa luxueuse maison. Pour une raison que vous découvrirez si vous ouvrez ce roman, voilà les deux héroïnes que nous allons suivre tout au long de l'histoire, Joséfa et Nina respectivement tante et nièce qui vont pénétrer l'intimité de cette grande famille, et mener leur propre enquête. Joséfa et Nina ont toutes deux des caractères bien trempés et chaleureux, les autres personnage sont admirablement campés. Tout est fait pour que le lecteur veuille à tout voir comment cet imbroglio va se terminer. Avec pour ne rien gâcher, de belles descriptions de notre beau Cantal. En clair j'ai encore passer un excellent moment avec ce roman de Sylvie Baron.
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un cozy mystery assez sympathique !
je découvre l'autrice, dont le style est assez agréable. les personnages sont intéressants, l'intrigue bien menée bien que pas forcément très originale.
La comparaison avec Miss Marple d'Agatha Christie est assez pertinente dans la construction et la résolution de l'énigme.
Peut-être aurais-je eu une autre appréhension de l'histoire si j'avais lu les tomes précédents, mais ils ne sont pas présents dans mes deux bibliothèques.
un moment agréable, donc !
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J'avais bien aimé le cercle des derniers libraires, et je reconnais bien ici le style de l'autrice.

J'apprécie que les romans de Sylvie Baron se situent en Auvergne, et ici, dans le Cantal, entre Vic sur Cère et Aurillac.

L'histoire tourne autour du savoir-faire local, la création et fabrication de parapluies.
Comme dans le cercle des derniers libraires avec les librairies, nous apprenons aussi beaucoup de choses sur cet artisanat qui se perd.

Une femme et sa nièce vont enquêter sur une mort et un suicide, et pour se faire, se font embaucher dans la famille qui a connu ces drames.

Il y a une histoire d'amour qui est prévisible dès le début, c'était cousu de fil blanc...
Et je n'aurais pas pensé à cette fin là, qui est peut-être peu crédible, mais cela ne m'a dérangé, pourquoi pas, après tout ? ;)

L'écriture est toujours fluide et douce, les personnages bien attachants pour la plupart, bref, j'ai passé un bon moment.
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