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3,26

sur 128 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Roman déjà repéré lors d'une précédente masse critique. Je remercie Babelio et les éditions Points de me permettre de le lire pour celle d'Octobre. Je ne connais pas du tout l'auteur mais le synopsis m'a très intrigué.

Les noms des villes françaises m'ont un peu dérouté, j'avais oublié que l'auteur était français. Je commence à avoir trop l'habitude des romans policiers américains. L'auteur est présenté comme un poète mais dans cette campagne où il a grossi les traits à l'extrême, je le dirais plutôt vulgaire, surtout dans les dialogues. En plus, je n'aime pas les résumés mensongers et ne dévoilant pas le style du roman, j'ai toujours l'impression de me faire avoir. le résumé ne reflète qu'une partie de l'histoire, mais pas le style. Ça fait moins vendeur pour certains… Niveau prénoms, il en existe des milliers mais il a quand même trouvé le moyen d'en créer des nouveaux (Zouave, Bouillane, …) et pas des plus sympas. Ça se lit plutôt vite mais il n'y a rien de transcendant dans cette histoire, les traits des personnages sont grossiers et grossis à fond. Comme si à la campagne, on était tous cons… J'ai essayé d'avancer dans l'histoire mais je n'accroche ni à celle-ci ni au style de l'auteur. Pourtant certains passages m'ont fait sourire à cause des jeux de mots mais ça s'arrête là… L'auteur change constamment de narrateurs et ne reste pas centré sur l'écrivain en manque d'inspiration. du coup, je trouve ses personnages brouillons et sans réels attraits, à part la réputation du village, à savoir que c'est dans la nature de ces habitants d'être des menteurs. J'ai lu une centaine de pages en peu de temps mais après avoir posé le livre, je ne me souvenais quasiment pas de l'histoire et je n'avais pas spécialement envie de le reprendre. J'ai tenté un peu plus mais j'ai vite jeté l'éponge. Je préfère repasser sur des auteurs dont j'apprécie le style et les personnages.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a donc été une déception et il a été abandonné à même pas 100p. C'est dommage car le résumé était vraiment intrigant mais trompeur pour ce qui est du style exact du roman. Il me fait donc penser à un roman de gare plutôt qu'à un roman policier actuel. Je vous conseille néanmoins de le lire pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, ça sera ma seule lecture de cet auteur, son style n'est vraiment pas pour moi.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Les braves gens, ou les bons romans "ne courent pas les rues", pour reprendre le titre de la grande Flannery O'Connor.
Exemple du genre je m'ennuie-je devrais-abandonner-pourquoi-ne-l'ai-je-pas-fait....
Comment, pas encore 250 caractères?! C'est encore 100 de trop
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J'ai découvert l'auteur avec Hôtel du grand cerf en 2017, qui m'avait enthousiasmé par l'originalité de son inspecteur, sa verve, le milieu dans lequel se déroulait le roman. J'avais donc investi dans 2 de ses romans et un recueil de nouvelles, parus en poche. Je m'étais très vite lassée et je n'ai pas réussi à les terminer.
Avec celui-ci j'ai vraiment été à la peine. Je résumerais par beaucoup de mots, peu de contenu.
L'intention de l'auteur est plus de présenter des personnages truculents au vocabulaire fleuri, que de dérouler un roman policier. L'intrigue pourrait se résumer en une demie page, tout ce qui est autour c'est-à-dire 279 pages, est là pour faire plaisir à l'écrivain et quelques inconditionnels.
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J'avais pris un certain plaisir avec un précédent ouvrage de Franz Bartelt : Hôtel du Grand Cerf.
C'est ici à nouveau le portrait d'un village perdu où débarque un écrivain raté à la recherche du passé trouble de son père.
On a droit à l'habituelle galerie de personnages invraisemblables parmi lesquels un détective délirant, des petites putes campagnardes, un maire (même pas à la Champignac), et d'autres mystérieux, jusqu'à des moines nazis.
Malheureusement, mal touillée, la mayonnaise ne prend pas.
Je n'ai qu'un mot pour qualifier le récit : inepte !
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