Arcadie

Impossible d'aller au bout... j'essaie de m'accrocher, Mais décidément ça ne passe pas ! J'arrete à la page 200...

Ce livre ressemble à certains films hollywoodiens : la bande annonce est géniale, elle vend un chef-d'oeuvre, puis vous vous enquillez 2h de film en vous demandant si vous ne vous êtes pas trompé de salle de cinéma.

Le résumé paraissait excellent, les quelques critiques lues, dithyrambiques, et même le début donnait envie de plonger dans le monde de la secte dans laquelle grandit Farah. Et puis...Et puis, au bout de quelques chapitres, la question se pose : me suis-je trompée de livre ? Est-ce que quelqu'un se moque de moi? Et même, l'autrice a-t-elle des difficultés personnelles dans sa vie pour avoir envie d'imposer ça au lecteur ?

Le récit m'est devenue tellement étranger que je ne peux même pas vous dire si il est bien écrit, il est, et c'est déjà trop. Vous partiez pour lire la vie de Farah, et son émancipation possible de la secte ? Vous tombez dans le récit de difficulté sur le genre stéréotypée à tout va, sur de la pédophilie fantasmée, sur des viols non remis en question, et sur des détails que personne n'a envie de lire si c'est sans but dans le récit.

Et si ce n'était que ça. Mais ça m'a tellement mise en colère pour celles et ceux qui ont vécu les sectes, pour celles et ceux qui se posent des questions sur leur genre, pour celles et ceux qui même se posent des questions sur leur attribution sexuelles, sur leur attirance pour l'un ou l'autre sexe ? Pourquoi donner du grain à moudre aux préjugés et au stéréotype ?

Je n'ai pas compris, je ne comprends pas le but de ce roman, et je n'arrive même pas à comprendre à qui est destiné ce livre. En tout cas, pas à moi, pas à nous qui n'avons pas besoin de se vautrer dans cette fange.

Critique très courte: je n'ai pas aimé l'écriture, et c'est un des très rares livres (Moins de 10!) que je ne peux pas finir de lire...Du coup, cela ne me donne pas envie de lire les autres livres sélectionnés par France Inter cette année!!!!!! J'ai lu jusqu'à 233 tout de même avant de me dire que lire sans plaisir, à mon âge, sans obligation quelconque, c'était ridicule. Bye Farah!

C'est l'un des romans de la rentrée littéraire que je voulais absolument lire.

Chose faite !

Malheureusement, ce fut une déception pour ma part.

Dans ce roman, l'auteure aborde la question de la recherche de l'identité sexuelle.
Sujet étonnant et intéressant, je me suis plongée dans cette histoire, m' attendant à être émue par ce thème délicat.
Ce fut plutôt la surprise !

Je m'explique :
L'intrigue se passe dans une secte, le lecteur suit le parcours de Farah, une adolescente intersexuée, évoluant dans une communauté où prime le libre amour.
Aïe....Je poursuis :
Dans ce roman, cette jeune fille(15 ans) découvre l'amour, le désir, le plaisir tout en cherchant son identité morale, physique et sexuelle. Qui est-elle vraiment ?

Ce fut pour moi, une lecture vraiment dérangeante. Beaucoup de scènes m'ont paru trash et glauques qui n'étaient nullement nécessaires.
J'ai terminé ce roman, cherchant désespérément l'intérêt et le sens que cela pouvait apporter aux lecteurs ?
Je n'ai pas trouvé...

Un roman qui n'est pas fait pour moi. 😩
Pour des lecteurs avertis.

Lien : https://leslecturesdeclaudia..

Beaucoup de lieux communs sur la vie communautaire version Paris Match, l'arche de Noé
de notre époque avec beaucoup de bons sentiments et vrais fausses excuses, communauté de paumés qui se laissent vivre, pas créative pour deux sous sauf au moment ou il faut aller à la pêche aux vieux pleins de fric.
Visions extrêmement navrantes, faut -il le lire au deuxième degrés ? j'ai abandonné au moment de la mise en scène du viol d'une gamine de quinze ans par un pédo criminel de 35 ans son ainé, normal vous dira la voie off du livre, cette enfant était consentante !!
Comprenne qui pourra, Matzneff n'est pas le seul.

Livre très bien écrit, riche en vocabulaire et pourtant facile à lire. C'est assez rare. Cela justifie peut-être un prix Fémina. Par contre, que ce livre soit proposé en pré-sélection pour le prix Folio des lycéens chez Gallimard alors qu'il renferme des scènes pornographiques et de pédophilie, potentiellement lues par des lycéens de seconde donc de 14 ou 15 ans, cela me choque ! juste inadmissible pour moi. Globalement, je reste sur un goût très amer après cette lecture qui rassemble presque à chaque page un florilège de mots orduriers à connotation sexuelle, de grossièretés. J'imagine une jeune lectrice de 14 ans lire la scène de la première visite chez le gynéco. Elle ne voudra plus jamais se faire suivre ! Autre point qui me déplait : on y aborde des sujets intéressants mais justement : trop de sujets et surtout l'auteur surfe sur la vague de ce qui fait polémique actuellement : le genre, les migrants, les communautés écolo etc... Elle écrit tellement bien qu'elle aurait pu faire un chef-d'oeuvre en se limitant à un seul de ces sujets et en l'exploitant à fond. le but est donc de faire parler de soi, de son éditeur, de son livre et de vendre ou de vraiment traiter un sujet ? A moins que choquer ne soit l'ultime stratégie aujourd'hui pour vendre. J'ai encore envie de vomir et j'ai été 2 jours sans manger à l'idée que des mineurs non avertis et non accompagnés lisent cette chose qui pour moi, devrait être accessibles aux majeurs ou tout au moins aux plus de 16 ans. (majorité sexuelle).

Une grosse déception pour ce livre.
J'avais beaucoup aimé La Treizième heure, roman choral qui présentait une galerie de personnages loufoques, originaux mais qui étaient attachants.

Ici, j'ai trouvé que même si le personnage de Farah est commun avec la Treizième heure, le traitement était très différent. J'ai été mal à l'aise par cette tension sexuelle très présente dans le roman pour une adolescente de 15 ans donc... par un homme de 50 ans. Tout le monde a l'air d'avoir une envie de coucher avec le personnage principal, en partie parce que ce serait exotique ? Une expérience ? J'ai trouvé ça bizarre. . Tout le monde est étrange, décalé, et j'ai été rebutée par la façon de traiter les thèmes secte, sexe, intersexuation, et le pire, c'était l'immigration/ l'exil, qui semble juste un prétexte qui arrive quelques pages puis disparaît, contrairement à ce qu'annonce la quatrième de couverture .

Bref, très déçue par ce roman, pour lequel j'avais beaucoup d'attentes (probablement trop). J'espère que le prochain roman de l'autrice me plaira davantage.

J'ai un peu parlé de la Treizième Heure dans l'épisode 22 de la Croqueuse de livres, disponible sur toutes les plateformes de podcast.


Lien : https://redcircle.com/shows/..

J'ai préféré "il y a des hommes qui se perdront toujours" du même auteur sous le nom de Rebecca Lighieri. Je trouve celui ci un peu "englué" dans le sperme et la question de l'intersexue un peu perdu dans la narration. Sur le même thème j'ai préféré Middlesex de Eugenides, ou la narration m'a sembler plus sensible et subtile.

Ce livre m'a beaucoup choqué.
il présente d'une façon qui se veut positive et légère la liaison d'une jeune fille intersexe de 15 ans avec son mentor de 50 ans, Arcadie, sorte de gourou de la communauté libertaire où vit sa famille dysfonctionnelle.
Quant à sa vision de l'amour libre, elle laisse vraiment à désirer:
ceux qui refusent des avances à un/une autre membre de la communauté sont couverts de désapprobation, les parents font l'amour devant leurs enfants (le consentement est censé concerner les spectateurs aussi).
Il est possible d'être dans des relations non-monogames sans être dans ce genre de mécanismes toxiques, mais l'autrice n'a pas l'air d'être au courant.
Je ne comprends pas ce qu'elle cherche à faire passer comme message.
Sa représentation des personnes LGBTI m'a dérangée aussi. La jeune fille intersexe est fétichisée pour son androgynie, son ami gay lui envoie tout le temps des photos de son zob, sa petite amie lesbienne butch est violente et jalouse...
Bref on accumule les clichés sous couvert d'ouverture d'esprit.
je déconseille fortement ce livre.