RÉSUMÉ
Nombreux sont les généalogistes désemparés quand ils rencontrent, au cours de leurs recherches, des actes en latin : leur enthousiasme s’en trouve subitement refroidi, comme s’ils se heurtaient à un obstacle infranchissable. Il est vrai que, parfois, le découragement semble justifié quand on est confronté à une langue que l’on ne connaît pas ou que l’on n’a plus pratiquée depuis le lycée, à des écritures dont la lisibilité n’est pas toujours assurée.
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