Nouvelles sous ecstasy

L'ecstasy, la drogue, le délire total.
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Il faut peut-être aussi lire ce livre drogué pour l'apprécier.
Premier livre que je lis de cet auteur.

Ce que j'ai aimé :
- le nombre de pages, au moins le supplice de lecture a été de courte durée.

Ce que j'ai moins aimé :
- le livre en entier. Une accumulation de scènes obscènes, sans grands intérêts.

Les différentes nouvelles nous permettent peut-être d'entrevoir les effets de la drogue et les choses qu'elle fait faire.

Passons, il n'y a rien a voir !!

C'est un livre très court (et heureusement parce que je pense que je n'en aurais pas supporter plus…) On est d'accord que Frédéric Beigbederer a toujours été un peu déjanté mais là…. On est au top du top. Je me demande même si ce n'est pas lui qui était sous ecstasy pour écrire ces nouvelles !
Ça se lit facilement, on ne se prend pas la tête, on ne cherche pas à comprendre quoique ce soit… On en retire juste qu'effectivement, la drogue peut vous changer un homme (ou une femme, de ce coté là pas de différence) et surtout faire commettre des actes irréparables.
Je ne suis pas convaincue du but de ce livre, je cherche encore. Pas un coup de coeur, pas un rejet complet non plus, je reste dubitative…

Je me suis d abord dit que je n arriverai pas à le terminer et puis j ai adopté un autre angle de lecture. je me suis dit que j allais le lire pour l expérience, sans ressentiment, sans préjugé ni jugement négatif. et la j ai pris les histoires comme elles venaient, comme les récits de personnage, de tranches de vies étranges, loin de ma vision de la vie et de mes valeurs, dépassant mes limites et parfois très dérangeantes mais pas dénué d'intérêt.

J'ai ADORÉ! Première fois que je lis du Beigbeder et je ne suis pas déçu! Même s'il n'était pas à 100% à son affaire bien évidemment. J'ai pu lire des critiques très dures lui reprochant d'être vulgaire pour être vulgaire, d'être cru pour être cru. Je ne suis pas du tout d'accord avec ça! On passe de la forte oppression, au rire, à l'excitation tout en passant par la peur. Il faut l'avouer, ces nouvelles sont plus que réalistes quand le lecteur a pu consommer la petite pilule festive.

Frédéric Beigbeder me semble avoir des thèmes de prédilection qu'il ne peut que exploiter, tournant souvent en rond dans ses livres, mais il se trouve qu'ici une touche de fraîcheur bienvenue débarque pour ma plus grande joie.

Je crois que ce qui aide grandement à la lecture, c'est le format très court qui semble convenir à merveille à Beigbeder, alors que le format long peut vite devenir lassant avec lui. Ici, les nouvelles sont très courte, percutantes et pleines de ses habitudes. On y retrouve, pêle-mêle, l'humour douteux et bienvenu, la drogue et l'amour, le sexe omniprésent, les relations entre hommes et femmes. Et par-dessus le tout, un mal de vivre latent qui semble transpirer dans une nouvelle sur deux. C'est chronique chez cet écrivain.

De façon simple, j'ai beaucoup aimé ce recueil, de par la brièveté de son écriture et la force qui s'en dégage. C'est clair et concis, précis et drôle, comme je les aime. J'aurais presque voulu un peu plus de nouvelles, mais l'auteur s'est vraiment limité pour le coup et c'est tant pis pour nous. Mais je ne boude pas mon plaisir (juste les prix …), donc bon, ça passe.

Un livre qui semblerait me réconcilier un poil avec cet auteur, puisque j'ai beaucoup aimé et il me semble que l'auteur a bien réussi son coup cette fois. Simple et efficace, l'ensemble des nouvelles sont très bonnes et j'ai vraiment aimé ma lecture. Moins inoubliable que son « L'amour dure trois ans », il reste un bon petit livre pour se distraire une bonne demi-heure. Lecture conseillée.

sur toutes les nouvelles dans ce livre, une seule m'a marquée. pour ainsi dire, c'est divertissant évidemment mais assez vide, pas spécialement original ni... ni rien en fait.

Le titre est aussi artificiel que la drogue auquel il fait référence. Parce qu'il n'est pas question ici de moments-sonde à travers l'âme, la psyché, l'existence d'un homme par l'intermédiaire de l'ecstasy. Non, non. Ici on a des tribulations pathétiques et sordides, écrites de façon plutôt médiocre, sans vrai style, et qui n'apportent aucune "leçon", qui ne font réfléchir en rien. Pauvre homme occidental privilégié moderne. Beigbeder veut-il se croire le fils de Bukowski et de Rimbaud, ou de Houellebecq ? Il en est à mille lieues. A mille lieues de la truculence à mourir de rire de Hank, pas la fougue de Rimbaud, et ne me plonge pas dans une dépression immédiate comme le Houellebecq sait le fare... Non, ses souffrances et ses plaisirs sont comme la MDMA : artificiels. Beigbeder, ceci dit, a fait beaucoup mieux par ailleurs. Ne vous laissez pas berner par le titre vendeur.

Du trash, du drole, du contemporain.

C'est un recueil de nouvelles qu'on peu lire à la plage comme on le voit avec la couverture, mais au vu du titre on pourrait aussi le lire en boite.

Vous aimerez sans doute, mais le problème des nouvelles c'est qu'il y en a qui sont moins bien que d'autres difficile de dire que c'est un sans faute.

Lu sur les conseils d'une connaissance,
je n'ai malheureusement pas accroché...
Néanmoins l'humour à sa place dans ce livre.