- Non. Ce n'est pas de ta faute.
- Tes parents et toi, vous avez deux façons différentes de voir les choses. Ils auraient dû comprendre et accepter ta façon d'être...
- Parce que tu es toi, et que tu n'es pas eux.
- Nous ne devons pas être empêchés d'être nous-même.
- Certains parents le réalisent, d'autres pas.
Cette histoire nous raconte autre chose. Elle montre que certaines personnes pourtant très aimantes empêchet leurs enfants de s'élever. (P.21)
Les responsabilités vont des parents vers les enfants ! Et jamais l’inverse ! C’est comme l’eau d’une rivière : elle ne remonte pas.
Certaines personnes pourtant très aimantes empêchent leurs enfants de s’élever.
Une année, ce n'est pas 365 jours. Une année, c'est 365 possibilités.
- Ce que tu as vécu n'est ni juste, ni normal. Et donc, tu le portes encore.
- Ce n'est pas de ta faute.
- Non, ce n'est pas de ta faute.
- Tes parents et toi, vous avez deux façons différentes de voir les choses. Ils auraient dû comprendre et accepter ta façon d'être...
- Parce que tu es toi, et que tu n'es pas eux.
- Nous ne devons pas être empêchés d'être nous-même.
- Certains parents le réalisent, d'autres pas.
Finalement, en grandissant, l'enfant que nous étions et qui reste présent en nous apprend à camoufler ses cicatrices comme il le peut...
Ce qu'on attend n'existe pas.
N'a jamais existé.
N'existera jamais.
Mais la dépression revient toujours au moindre doute, stress ou angoisse...
Elle n'est jamais très loin. Comme une goutte d'encre noire, au-dessus d'un verre d'eau, qui peut tomber à tout moment...
- Ta sœur est heureuse dans sa vie ?
- Je ne crois pas. On ne sacrifie pas impunément sa personnalité pour satisfaire les désirs des autres.