Malavita encore

Poursuivez l'histoire
Beaucoup de plaisir à retrouver cette famille. L'histoire est par contre beaucoup plus longue à venir. Heureusement la seconde moitié du roman nous redonne les mêmes sensations que "malavita".
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J'ai eu un grand plaisir à retrouver la famille de mafieux en repentir.

Sans apporter un réel point final, ce deuxième tome nous montre le développement de cette famille atypique et un aperçu de ce que sera leur avenir.

Se focalisant, un à un, sur chacun des personnages, on découvre leurs différentes aspirations et la vision qu'ils ont de leur vie et de l'avenir qu'il désir.

J'ai trouvé ce deuxième tome plus plat que le premier, la mise en place est assez longue et j'avoue que j'espérais un peu plus "d'explosivité".

Cependant, j'ai beaucoup apprécié le fait chacun des membres de la famille prenne une certaine indépendance en découvrant ce qu'ils veulent faire dans la vie, c'est une belle évolution où l'ombre de la Mafia, qui cherche toujours à les descendre, reste une menace réelle mais qui ne les empêche pas de vivre leur vie.

La fameuse famille de mafioso repentis se trouve cette fois cachée dans la Drôme. A peine reposée de ses précédentes (et rocambolesques) aventures, les Manzoni dixit Blake dixit Wayne se préparent à de nouveaux bouleversements...

Fred, sous la risée de ses proches, s'acharne à trouver l'inspiration pour écrire un troisième roman, et se plonge avec nostalgie dans ses souvenirs d'ancien Capo. Quant à Maggie, elle se lance dans la petite restauration à Paris, mais c'est sans compter sur les embûches du géant de la pizza d'à côté. Tiraillée entre son besoin d'indépendance et le désir d'une protection maintes fois donnée par son mari, Maggie voit ses relations avec Fred prendre un jour nouveau... Et les enfants, devenus grands, partent en quête d'identité entre leurs premiers amours et un modèle de clan difficile à éviter.

J'ai ouvert la première page de ce roman, et ne l'ai plus lâché. Je ne m'attendais pas à découvrir un jour une suite de Malavita, mais là, j'en réclame encore ! Ce second tome poursuit superbement le premier : il approfondit les personnages complexes et attachants, tout en évitant de répéter un enchaînement d'évènements semblables au premier. Quant à la fin, elle peut devenir une belle chute comme présager d'un troisième tome...

Benacquista prouve à nouveau son grand talent de conteur, et nous livre une histoire drôle, émouvante et passionnante. Sa plume simple et son originalité persistent à me faire craquer !

Céline

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La famille Manzoni fait partie d'un programme de protection de témoins, du fait du passé de mafieux de Fred, le père. On les retrouve quelques années plus tard et chaque membre de la famille tente de vivre normalement : la mère ouvre une petite échoppe de plats siciliens à Paris, les enfants Belle et Warren vivent leur adolescence et ont des fiancés. Quand à Fred, abandonné par sa famille, il vit dans un pavillon provençal, au voisinage de l'agent du gouvernement qui le surveille, et attend le week-end, quand tout le monde se retrouve.
Suite directe de « Malavita », « Malavita encore » est un roman plutôt sympathique et plaisant. Cependant, il est dommage que l'humour grinçant qui faisait le charme de Malavita soit un peu en retrait : les enfants, à force d'aspirer désespérément à une vie normale ont fini par devenir aussi équilibrés que peuvent l'être des adolescents de leur âge et leurs histoires manquent cruellement de fantaisie ; les ennuis de Maggie, la mère, confrontée à une multinationale de la pizza, sont plus intéressants, mais trop sérieux. le personnage de Fred, le père, est donc le ressort comique du roman. Sa découverte de la grande littérature par la lecture de « Moby Dick » et sa prétention à écrire ses t fait sourire est assez amusant. Idem quand l'agent de la CIA se fait passer pour Fred lors d'un dîner organisé pour présenter la petite amie du fiston.
Bref, un roman agréable qui déçoit par rapport au premier tome du fait de l'absence du cynisme et de l'humour noir moins présents.

Alors que le sujet central est très sérieux (la mafia) ce livre est est drôle et ça fait du bien. J'en ai profité pour consulter la définition : Cosa Nostra (Ce qui est à nous , Notre Chose) est le nom de la mafia sicilienne. Elle est aussi surnommée «La Piovra» pour ses réseaux tentaculaires et pour sa capacité à renouveler ses réseaux comme la pieuvre lorsqu'elle perd un de ses tentacules. Les membres de la Cosa nostra sont appelés «mafieux» ou «mafistes» en français et «Mafioso» au singulier et « mafiosi » au pluriel en italien, le terme de «mafia» désignant originellement la Cosa Nostra jusqu'à ce qu'on apprenne son nom véritable, lequel aurait commencé à être utilisé après la Seconde Guerre mondiale.

Malavita encore est la suite de Malavita. On y retrouve les personnages du premier roman à savoir la famille Blake protégée par le FBI. Blake père est en réalité un ex-mafieux qui a décidé de témoigner contre la mafia aux Etats-Unis. Maintenant obligé d'être surveillé à vie par le FBI et son fameux programme de protection des témoins.

La famille Blake est maintenant quelque part dans une petite ville de province du sud, où ils coulent des jours paisibles ... ou presque. La famille est en réalité prête à éclater entre Belle qui est partie de la maison, le fils qui va s'installer avec sa future femme, la femme qui décide de monter un commerce de lasagne à Paris. le vieux mafieux se retrouve plus que seul dans sa maison isolée de tous. Pour couronner le tout son viel ennemi, le responsable du FBI Thomas Quintilliani vient régulièrement lui remuer le couteau dans la plaie ...

Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est la découverte de la lecture par ce vieux mafieux qui même s'il écrit des romans (très mauvais en fait) n'a jamais lu un livre de sa vie. Aussi le changement qui s'opère en lui est de taille alors qu'il lit son premier roman et plus il s'immege dans ce monde nouveau, plus le monde extérieur se transforme autour de lui. Si j'ai bien aimé le lire, je n'ai pourtant pas autant aimé que le premier que je trouvais plus incisif et plus cynique. Malgré tout, vous serez heureux de découvrir ce qui arrive aux personnages et vous serez certainement entrainé jusqu'au bout sans vous en rendre compte. Un bon roman que je conseille donc plus particulièrement aux amateurs de cet auteur.
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Dans ce roman, on retrouve les mêmes personnages que dans le roman précédant, "Malavita" : la famille de Giovanni Manzoni, mafieux repenti bénéficiant de la protection des témoins du FBI pour avoir "balancé" les chefs de la Mafia. Ils vivent dorénavant en France sous le nom de Wayne (après avoir été les Blake dans "Malavita"). Au passage, on peut très bien lire ce roman sans avoir lu le premier car il y a de nombreux rappels des faits et les deux intrigues sont indépendantes.

Fred, le père, est un mauvais écrivain qui se sert de son expérience de mafieux pour écrire. Maggie, la mère, a monté une petite entreprise de restauration indépendante juste en face d'un géant de la pizza. le fils, Warren, cherche à couper tous liens avec la vie d'avant et veut devenir menuisier et se marier pour vivre une vie simple et Belle, la fille, aussi belle que son prénom le sous-entend, vit une histoire d'amour avec un jeune homme qui a du mal à être dans la réalité et qui est persuadé qu'elle est trop bien pour lui. Il y a aussi l'agent chargé de surveiller les moindres instants de la vie de Fred et Tom Quintiliani, le responsable du FBI qui a orchestré leur protection.

Mais avec l'historique de cette famille, rien ne se déroule comme cela devrait... En bien ou en mal, ils sont tous rattrapés d'une manière ou d'une autre par leur passé lié à la Mafia et cela influence forcément leurs vies...

Ce fut une lecture agréable, facile et plutôt légère mais je ne pense pas que j'en garderai un souvenir inoubliable. Je crois que j'avais préféré "Malavita" mais je dois avouer que je ne m'en souviens pas beaucoup non plus... à part les passages que j'ai lu en lectures théâtralisées... Mais c'est pour moi une bonne lecture de vacances. On sent qu'il pourrait y avoir un troisière tome à suivre...Peut-être que je me laisserai tenter...


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Cette deuxième histoire mettant en scène la famille Manzonni n'a rien d'exceptionnelle, ce n'est pas le récit du siècle avec l'intrigue incroyablement surprenante, mais c'est un roman qui fait sourire, écrit avec et humour, avec juste ce qu'il faut de violence pour avoir l'impression que l'on se retrouve dans un remake du Parrain, sans pour autant que l'on se retrouve dans un roman noir complet... Un mélange savoureux qui démontre le talent d'écrivain de Tonino Benacquista !
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Un deuxième tome de Malavita comme agréable passe-temps. Une lecture qui détend, même si le récit est moins vif, plus lent et surtout à l'humour moins cynique, ce qui est assez dommage. J'avais beaucoup apprécié ce trait dans le premier roman
Les personnages sont attachants, l'histoire mirobolante, mais il n'y a plus vraiment d'effet de surprise.

Petite déception.

J'avais beaucoup aimé le roman Malavita et j'ai donc poursuivi avec ce roman-ci : On retrouve la famille Blake, une famille de mafieux, qui bénéficie de la protection des témoins du FBI, pour avoir trahi et aidé à l'arrestation de nombreux criminels. Toute la famille est installée en France.

J'ai aimé retrouver cette famille et le ton décalé et humoristique de Tonino Benaquista mais très rapidement, j'ai trouvé que l'intrigue patinait... et sentait le réchauffé...Hormis quelques scènes qui m'ont fait sourire, je me suis ennuyée et j'ai peiné à le terminer. Ce deuxième opus ne m'a pas du tout convaincue.