Déçu par une fin ‘tirée par les cheveux' qui m'a laissé un goût amer de roman de gare. Et ce, malgré les quelques remarques justes qui parsèment l'ouvrage, ainsi qu'un français souvent choisi.
De plus, l'auteur qui a fait des études de droit, est familier avec certains arcanes de ce domaine. Et en fait profiter son lecteur.
On imagine mal aujourd'hui, un héritier floué d'une belle succession, y renoncer définitivement en raison d'une aventure sans avenir. Fortune, qui, il est vrai dans notre régime politique actuel n'aurait jamais vu le jour. L'Etat français s'accaparant la majeure partie des plus-values réalisées dans une vente immobilière après succession dans un délai de 20 ans. Sa mère étant décédée en 1901 et la vente du terrain avec très forte plus-value en 1918, Mlle Lauzès n'aurait eu que des miettes. Et l'investissement dans l'affaire qui l'a rendue riche devenu impossible. En outre, celle-ci n'ayant pas d'héritier direct, l'Etat français aurait encore confisqué après son décès la moitié de ses miettes…Ceci dit au passage, seul, un régime communiste qui ne dit pas son nom peut bafouer autant le droit de propriété…
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