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3,79

sur 96 notes
Je tiens à remercier l'auteur Thierry Berlanda ainsi que sa Maison d'Editions "La Bourdonnaye" qui m'ont proposé de découvrir ce roman. C'est un thriller, genre que j'affectionne beaucoup, vous le savez déjà... Mais, quand il s'agit de morbide ou de personnalité trouble, je ne peux pas empêcher mon esprit de se mettre en alerte et mes sens en ébullition. Je suis tout de suite à la fois attirée et intriguée, et je veux en savoir plus...

Je dois bien avouer d'abord que l'auteur m'a surprise au premier abord. On commence un peu le récit à brûle-pourpoint et il m'a fallu quelques pages pour me familiariser avec son style. Pour ce qui est de l'intrigue, il n'est pas rare maintenant, qu'on fasse intervenir des personnes externes à la police pour leur venir en aide lors d'une enquête. Et je dois dire, ici fort heureusement parce que nos chers brigadiers n'ont pas inventé la poudre ! C'est donc Jeanne, une jeune femme qui se retrouve au centre de cette histoire, et qui bien malgré elle, va passer du rôle d'intervenante à traquée. Je me suis beaucoup inquiétée pour elle et bien sûr aussi pour ses proches. Par ailleurs, j'ai éprouvée une fascination étrange pour "le prince", qui on le sent derrière des actes tribaux et abominables cache le raffinement ou encore le goût du sacré. J'y ai vu aussi un complexe d'oedipe un peu monté à l'envers, un psychisme perturbant et perturbé qui ne fait que s'exprimer inlassablement.

C'est un livre passionnant où angoisse, frissons et adrénaline sont bien au rendez vous. Et même si j'ai eue un peu de mal au départ, il m'a été quasi impossible ensuite de le lâcher. Ce roman se refermera sur vous comme un piège redoutable et insidieux. Vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurai pas prévenu !
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J'ai hésité un bon moment avant d'accepter la chronique de ce roman car, je dois bien le reconnaître, les thrillers ne font pas partie de mes lectures favorites. Et puis, je me suis dit: “pourquoi pas?” et je me suis lancée.

Dire que je ne le regrette pas serait un mensonge car je crois que je ne dormirai plus aussi tranquillement....

Blague à part, j'ai été happée par ce roman. Dès le début, l'auteur nous plonge dans une ambiance morbide, sanglante et horrible. La façon de tuer, l'abomination du tueur - qui se fait appeler 'Le prince' surnom plus charmant que celui donné par la presse 'La machette' ce qui vous donne une idée de la manière dont les victimes, mères de famille ont été tuées (ou plutôt déchiquetées) sous les yeux de leurs enfants, alors que tout autre personne était froidement abattue d'une balle en plein tête - est sans nom. le fait que Jeanne, mère de famille ayant également un enfant de 7 ans ne fait que renforcer l'impression d'une catastrophe imminente pour la jeune femme.

La façon qu'a Thierry Belanda de distiller au compte goutte l'angoisse,le suspense et de faire monter peu à peu la peur est tout simplement horrible (dans le bon sens du terme). de plus, il nous fournit plusieurs coupables qui nous semblent à chaque fois le bon et je me suis retrouvée à penser à la lecture: “Mais oui, c'est lui, je le savais!!” mais qui se révèle à chaque fois le mauvais.
Si voulez découvrir la critique dans sa totalité, cliquez sur le lien!!
Lien : http://lesreinesdelanuit.blo..
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2014/61
L'insigne du boiteux de Thierry Berlanda

Quatrième de couverture:
Un assassin, qui se fait appeler le Prince, exécute des mères de famille sous les yeux horrifiés de leurs jeunes fils âgés de 7 ans. Opérant à l'arme blanche avec une rare sauvagerie, le meurtrier taille ses victimes en lanières. Telle est la punition qu'il inflige. Mais qui punit-il ? Et de quoi ? Pour répondre à ces deux questions fondamentales, le commandant Falier s'adjoint les services du professeur Bareuil, spécialiste des crimes rituels, « retraité » de la Sorbonne, et de Jeanne Lumet, qui fut sa plus brillante élève. Or la jeune femme est mère d'un petit garçon de 7 ans. Détail qui n'échappera sans doute pas au Prince...

Mon avis:
On peut dire que Thierry Berlanda a décidé de ne pas nous ménager car dès les premières pages nous sombrons dans l'horreur. Un tueur sévit et ses victimes ne sont pas belles à voir. le pire étant qu'il s'acharne sur la femme et ce devant son enfant après avoir généralement tué d'une balle le père.
Quel est ce fou qui terrorise?
L'inspecteur Falier en charge du dossier appelle à ses côtés Jeanne, spécialiste de l'orfèvrerie moyen-orientale au XIIIe siècle. Seul indice laissé par le tueur, un bijou qu'elle doit faire parler. Pour la situation elle retrouve aussi son mentor de l'université avec qui cela s'était mal terminé.

Entre le meurtre particulièrement sanglant et brutal et la relation plutôt malsaine qui persiste entre son mentor et Jeanne, les débuts sont prometteurs pour nous laisser un sentiment de moiteur froide dans le dos.
Ces deux personnages ont un passif et le professeur semble s'y rattacher pour régulièrement "piquer" Jeanne dans sa sensibilité.
Au fil des pages qui se déroulent devant vous, l'enquête semble avancer et reculer à la fois. Tout comme pour nos personnages, certains indices semblent apparaître pour mieux être laminés parfois juste après. Mon cerveau trépigne et surchauffe d'essayer de comprendre et trouver ou repérer une chose qui m'aiderait à prendre un peu d'avance. Mais non! Je reste comme eux, dans le flou artistique total.
De plus l'auteur sait faire entrer dans le jeu de nouveaux personnages pour nous perdre, nous envoyer sur d'autres pistes, bonnes ou mauvaises. A tort ou à raison notre coeur penche vers une idée et petit à petit notre raison s'enfonce dans ses réflexions et nous laisse exsangue d'idée.
Le Prince, tel qu'il se fait appeler est un personnage fascinant tant par l'image qu'il a de lui-même que celle qui apparaît au fil de l'eau dans l'esprit de nos personnages principaux.
Cette ambiguïté, ce don d'oubli de soi le rend d'autant plus dangereux car qui dit qu'il n'est pas votre voisin timide ou cette petite vieille assise à côté de vous dans le bus? Certain voit dans ses absences de la poésie, d'autres de la schizophrénie , rien, non rien ne semble le distinguer d'un autre. Et c'est ce qui fait que nous nous enfonçons toujours plus dans notre lecture.

Plus vous avancez dans votre lecture plus le doute vous assaille. J'y ai cru l'avoir démasqué et puis je doute, et un détail semble me le remettre en mémoire et le doute encore.
Un suspens qui vous tient en haleine, une plume qui vous lie au livre. C'est pour moi un pur bonheur que ce livre.

Lien : http://aelynah.skyrock.com/3..
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Encore un polar ésotérique sur le mode Da Vinci Code, se dit-on en lisant la 4e de couverture : des meurtres en série, un rituel aux accents métaphysiques, un assassin à la personnalité tourmentée, un joyau vieux de plusieurs siècles, qui nous plonge au coeur de la Perse médiévale... Eh bien non, contre toute attente, L'Insigne du Boiteux est à mille lieues de ces romans tapageurs aux effets grand-guignolesques : c'est un polar de facture classique, voire un peu rétro, ce qui constitue finalement une bouffée d'air frais au milieu de tous les thrillers contemporains adeptes des "cliffhangers" et autres techniques d'écriture à l'américaine .

L'intrigue est plutôt séduisante, avec quelques rebondissements bien amenés. L'auteur s'amuse à nous emmener d'une fausse piste à l'autre, en distillant savamment les informations et en nous amenant insensiblement à pencher pour une hypothèse... avant de la balayer d'un revers de main au gré d'une nouvelle révélation. le rythme, quant à lui, est plutôt soutenu et la lecture se fait sans déplaisir, d'autant que l'écriture de Thierry Berlanda (même émaillée de nombreuses coquilles !) est par moments assez savoureuse, notamment dans les dialogues des policiers.

Toutefois, les personnages manquent de consistance : soit ils sont à peine ébauchés, comme Jeanne, qui manque singulièrement de relief et dont on sait trop peu de choses, soit ils versent dans la caricature, comme Falier, archétype du flic bourru, adepte des vieilles méthodes, à six mois de la retraite, dévoué corps et âme à son métier, mais qui se fait finalement dépasser par les plus jeunes à l'ambition dévorante. Seul le personnage de Bareuil, infirme manipulateur et érudit mégalomane, suscite vraiment l'intérêt et la curiosité du lecteur, même si son côté antipathique peut aussi rebuter et agacer par moments.

Mais le plus gros défaut du livre, ce sont sans nul doute les chapitres consacrés au Prince lui-même, à ses pensées et à ses délires. Bouffi d'orgueil et de suffisance, l'assassin s'exprime dans un langage obscur et précieux tout à fait exaspérant, et même si l'éclairage qu'apportent ces éléments sur l'histoire et les motivations du meurtrier peut être intéressant, il révèle surtout la faiblesse de l'intrigue, en définitive : malgré les tentatives de l'auteur pour nous abuser, elle manque sérieusement d'épaisseur.

Le dénouement, d'ailleurs, est expédié à la va-vite, et il met en lumière une énorme invraisemblance dans la construction de l'intrigue : comment les policiers, censés enquêter sur les meurtres depuis plusieurs semaines, sont-ils passés à côté d'un point commun évident entre les différentes victimes, qui leur aurait permis de mettre la main sur l'assassin bien plus vite ? Dommage, donc, que l'auteur joue au plus malin avec le lecteur : il a perdu.

En définitive, L'Insigne du Boiteux est un roman en demi-teinte, plutôt original et intéressant, mais qui souffre de trop de défauts formels pour susciter l'enthousiasme et laisser au lecteur un souvenir impérissable. le "Boiteux", finalement, c'est peut-être bien le livre lui-même...

Ouvrage reçu dans le cadre de l'opération Masse Critique. Merci à Babelio et aux éditions La Bourdonnaye.

Retrouvez cette critique et bien d'autres à l'adresse ci-dessous :
Lien : http://ars-legendi.over-blog..
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Mon avis :

De nos jours à Paris l'inspecteur Falier peine sur ce qui sera certainement la dernière affaire de sa carrière. Des crimes d'une rare violence et une « insigne » qui semble sortir d'une faille de l'histoire sont le points de départ d'une enquête coriace .

Jeanne Lumet se retrouve propulsée dans l'enquête appelée à la rescousse par Bareuil, un ancien professeur de fac antipathique qu'elle n'a pas quitté en très bon terme, un personnage trouble à souhait dont on n'aura de cesse de vouloir découvrir son histoire personnelle.

Le récit est au présent, un temps qui à mon avis est à double tranchant, dans ce style de roman, l'emploi de ce temps donne ici une certaine lourdeur à la lecture, un visuel un peu déséquilibré qui perd en intensité .

L'intrigue est assez fournie mais se perd dans le brouillard un peu trop souvent , des références au passé et au caractère de certains des personnages clés, personnages dont le lecteur ne saura pas tout hélas , libre à lui de se forger des réponses aux questions qui s'amoncèlent tout au long de la lecture.

Comme dans tout roman policier il y a des coups de théâtre mais sans grands effets, un peu trop convenus à mon goût et sans grande originalité. On est proche de la caricature par moment.

La fin manque de saveur et ne parvient pas à satisfaire l'envie d'étonnement que déclenche ce genre « policier ».

Bref, un roman qui ne me laissera pas de souvenirs tenaces.

Un énorme merci aux Editions Labourdonnaye et à Babelio pour ce partenariat
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Je me penche de plus en plus vers le thriller et je me rend compte que j'aime vraiment ça ! Encore une très belle lecture (parfaite pour Halloween d'ailleurs).

Résumé de l'histoire :
À quelques mois de la retraite le commandant Filier se retrouve à la tête d'une enquête assez horrible : celle d'un assassin qui, s'amuse à tuer les mères de famille sous le regard apeuré des enfants de 7 ans ( c'est horrible hein ) ?! S'en suit une enquête qui prend une tournure assez spéciale et bizarre et une course contre la montre. le temps presse, il faut absolument arrêter ce tueur !

Mon avis :
L'auteur a une plume vraiment spéciale qui m'a tout de suite conquise. Je me suis retrouvée dans une histoire vraiment horrible mais si prenante et captivante. le pire dans tout ça c'est que l'histoire nous offre AUCUN indice ! Genre j'étais pendue littéralement à l'histoire, je voulais à tout prix en savoir plus, je voulais savoir qui se cachait derrière les crimes, pourquoi cette personne faisait ça bref c'était vraiment prenant !

Je n'ai rien d'autre à dire que ça, toutes choses dites pourraient spoiler et je n'ai vraiment pas envie ! Lisez ce roman si vous aimez les thriller impossible à lâcher !!
Lien : https://www.youtube.com/chan..
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Avant de me plonger dans les deux premiers tome de la Trilogie des Cercles, j'ai préféré me mettre un peu plus à jour dans mes services presse et j'en avais encore un roman de Thierry Berlanda qui patientait bien sagement sur mes étagères : L'Insigne du Boiteux.

Même si on est sur un genre différent de Cerro Rico (ici, il s'agit d'un polar pur), j'ai été agréablement surprise de retrouver le même style d'écriture de l'auteur avec un vocabulaire riche et soigné.

Thierry Berlanda n'abuse pas de la violence et du sang comme on peut le retrouver dans d'autres romans. Il dissémine à chaque page juste ce qu'il faut pour comprendre la violence du crime, sans trop en faire, que l'on a affaire à un tueur sanguinaire mais dont le rituel et les motivations restent obscures.

Ajouter à cela deux professeurs de la Sorbonne avec un passé commun qui enrichit grandement les soupçons, l'angoisse et la tension au fil des pages.

A travers L'Insigne du Boiteux, Thierry Berlanda nous en apprend un peu plus sur la culture byzantine, sans pour autant jouer au professeur d'histoire ennuyeux. Comme pour les crimes, ses informations sont justes dosées, ni trop, ni trop peu.

L'Insigne du Boiteux est un polar des plus agréables à lire et l'auteur, Thierry Berlanda, est sans aucun doute une des plus belles découvertes littéraires que j'ai faite cette année.
Lien : https://desplumesetdeslivres..
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L'insigne du boiteux a été publié par les éditions de Borée en 2019. Thierry Berlanda développe dans ce roman son style vif, plein de panaches, dont les mots s'enchaînent à un rythme soutenu: "Au milieu de la nuit, alors qu'elle examine les reproductions des parures de la cour des rois afghans du XIIIe siècle, le téléphone vrombit entre les pièces de l'échiquier en palissandre doré où elle l'avait posé machinalement avant de se mettre au travail." (Page 76), utilisant un vocabulaire hybride, jouant avec bonheur avec les mots: "Après une courte déambulation, le Prince s'est immobilisé. En quelques minutes, il s'est transformé en une grosse gargouille qu'un architecte donnant dans le biomorphisme sardonique aurait accrochée au parapet du parking souterrain de la rue Boucher." (Page 11)
Humour: la petite touche de l'auteur, un humour parfois décalé, jamais méchant, juste pour détendre l'atmosphère et, de temps en temps, tirer de ses lecteurs un petit sourire, au plus fort de scènes d'action: "Arrive un grand et gros type, cheveu rare et gras. Il porte un imperméable doublé qui doit lui servir aussi de pyjama." (Pages 18-19)..."Dix minutes après, Falier et Simonet pilent devant l'immeuble de Jeanne. Une ambulance y est déjà stationnée. Les deux gras du bide se jettent dans l'escalier en soufflant comme des cachalots." (Page 120)..."Quand il entend se refermer la porte d'entrée sur Jeanne, il va à son piano et joue une musique proche du bruit que feraient des bonbonnes de verre tombant du deuxième étage." (Page 216)..."Eh oui. le vrai, l'intégral, le démoulé sans bavure du moule à cons. L'archétype. Je vous souhaite du plaisir." (Page 241).
Thierry Berlanda nous offre ici un roman policier nerveux, au rythme endiablé, qui nous plonge dans un suspense haletant à coups de scènes d'action bien ficelées, de personnages bien campées et d'une mise en scène soignée. A dévorer au coin du feu un dimanche pluvieux ou sur votre terrasse un jour de grand soleil, peu importe, mais à dévorer indéniablement!!
Lien : https://legereimaginarepereg..
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Une histoire originale et qui tient en haleine, de l'humour, un côté historique dans un pays étranger qui ajoute à l'intérêt du bouquin… Quelques scènes sanglantes qui ne sont pas trop de mon goût habituellement mais qui passent… A découvrir, vraiment.
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Jeanne, professeur d'histoire à la Sorbonne est aussi mère d'un garçon de 7 ans. Elle va se retrouver sur une scène de crime car le commandant Falier de la police criminelle le lui demandera.

A la demande de son ancien professeur, elle va se retrouver embarquée dans cette enquête des plus sombres... Sur les lieux du crime il y a un objet que seul le meurtrier a pu laissé...


Cet objet d'origine perse, oriente l'enquête vers une série de crimes rituels. le Prince ne s'attaque qu'aux mamans de garçons âgés de sept ans. le Prince met l'enfant sur un piédestal afin qu'il puisse voir les horreurs qui sont infligées à sa mère... Mais pourquoi s'attaque-t-il aux mères de famille ? Pourquoi leur fils doivent-ils être témoin de ce rituel macabre ? Jeanne ferait une cible idéale pour le Prince, est-elle en danger de mort ?


Je trouve que la psychologie des personnages est bien travaillée. En effet, Thierry a pris le temps de nous raconter leur histoire, leur vécu et pourquoi le Prince est devenu un serial killer. Je trouve que c'est très important de comprendre le pourquoi du comment. Je ne vous dirai pas que ce que fait le Prince n'est pas répréhensible, bien au contraire mais, on comprend mieux ses agissements.


Dès les premières lignes, je savais que j'allais passer un bon moment livresque et ça n'a pas loupé ! J'aime beaucoup le style, la plume de l'auteur ! C'est fluide, original, l'histoire est contée habilement ; de façon à ce qu'on ne s'ennuie pas une seule seconde et qu'on ait pas envie de lâcher son livre.


Je ne suis vraiment pas loin du coup de coeur mais le fait que le Prince s'en prenne aux mères de famille... Et bien, je me suis mise à la place de ces femmes et j'ai eu froid dans le dos, et ce, à chaque fois ! Ceci dit, j'attends la suite avec impatience et je vous recommande grandement la lecture de cet ouvrage ! Les amoureux de thriller, ne passez pas à côté de ce livre, ce serait une erreur !
Lien : http://leslecturesdeladiablo..
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