Le cri

Malgré un style d'écriture agréable et rythmé, une intrigue assez atypique et des personnages intéressants, j'ai rencontré un vrai gros problème avec ce premier volet de la trilogie de Nicolas Beuglet, problème qui m'a accompagné tout au long livre, gâchant véritablement la lecture et la découverte de cet auteur que je ne connaissais pas. Je parle ici des coïncidences temporelles beaucoup trop lourdes, beaucoup trop fréquentes et pas assez crédibles. On a compris que l'objectif de l'auteur était de mettre en place une course contre la montre rythmée, haletante, sans pause possible mais ceci ne doit pas se faire au détriment de la vraisemblance du récit. Je m'attendais à un vrai bon thriller - et le livre démarre comme tel d'ailleurs - et je me retrouve au final avec un roman d'aventures rocambolesque, cousu au fil blanc, peu crédible dans lequel les deux protagonistes se retrouvent toujours au bon moment derrière une porte pour entendre une information capitale qui va leur permettre de poursuivre leur enquête, survivent à tous les assauts de tueurs professionnels et explosions des locaux dans lesquels ils se trouvent. On n'y croit pas !

Donc au final, une lecture des plus frustrantes que j'aurais surement abandonnée si j'avais été en format papier. Je voulais avec ce livre commencer une trilogie dont les deux derniers volets semblent être excellents au vu des critiques, mais je pense que je vais finalement m'arrêter là et laisser de côté le Complot et L'Ile du diable pour revenir sur du des lectures plus noires, plus crédibles
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J'avais beaucoup entendu parler de ce bouquin et plutôt en bien. je me suis donc laissée tenter avec enthousiasme.
Je l'ai "lu" en audio.
j'ai été tres rapidement déçue par le lecteur qui en fait trop. du coup, j'ai subi la lecture dès le début, notant toute les lourdeurs de style.
ce roman est "trop". Trop de rebondissements, trop d'emphase, trop de tout... et je ne dis rien sur les passages concernant l'histoire sentimentale entre Sarah et Oliver. ils sont ridicules.
bref, je ne peux pas vous recommander ce bouquin.

Le Cri - Nicolas Beuglet. Cela commence sur les chapeau de roues... comme un téléfilm sur M6 et sa continu encore et encore et encore et encore... Cela ne s'arrête jamais sauf que stop. La partie sur l'île (ceux qui auront lu comprendrons) est vraiment... pfffff. J'ai terminé avec peine le livre. de plus l'écriture n'a aucun style, l'héroïne me fait penser à l'inspectrice d'une série danoise. Je ne pense pas lire la suite...

Un polar qui se lit presque d'une traite mais presque plus pour connaître la fin que par vrai plaisir. Bcp d'incohérences temporelles ce qui est toujours assez lassant (qqun relit les manuscrits ???).

Mais que suis-je allé faire dans cette galère ? J'aurai du m'en douter en lisant le résumé : hôpital psychiatrique, une troublante inspectrice, des signes mystérieux, la CIA, des laboratoires ultrasecrets… tous les éléments étaient réunis pour un bon pavé indigeste et ennuyeux ! Dans ce roman bourré de clichés, rien n'a trouvé grâce à mes yeux : ni l'histoire sans intérêt, ni les personnages sans caractère, ni l'écriture sans attrait. J'ai eu la même impression que lors de ma lecture d'un roman de Chattam l'année dernière : que l'auteur avait fait sa petite liste des trucs qui marchent et écrit son roman en mettant un peu de tout.
J'étais pourtant plutôt bien disposée en commençant ma lecture mais ça n'a pas duré. Au bout d'une centaine de page j'ai commencé à lire en diagonale, puis fait des bonds de plus en plus longs en ne lisant que des phrases de plus en plus courtes, pour finalement sauter à la fin. Même comme ça j'ai tout compris !
Bref, à oublier au plus vite et la suite à zapper !
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Le cri... de déception.
Un début pourtant prometteur dans une ambiance polar nordique qui vire malheureusement au blockbuster hollywoodien.
Tout y est ! Un gentil couple de héros (qui ont chacun beaucoup souffert), des méchants (vraiment méchants), un complot historique, la CIA avec des américains et des russes évidemment, un secret de famille, des voyages, de l'aventure, de la science, de l'action, de la facilité (mais que pour les gentils, hein), de la religion, de la violence, de la romance, ... Liste non exhaustive.
C'est too much.
Quant au style d'écriture, disons seulement qu'il n'aide pas.

Hôpital psychiatrique de Gaustad, un suicide le patient 488 nomme ainsi à cause des cicatrices qu'ils portent sur le front, l'inspectrice Sarah Geringen pense que ce n'est pas un simple suicide ... Au début, tout va bien on se demande qui est le patient 488, pourquoi ce numéro, qu'elles significations ont ses cicatrices mise en place du personnage un peu longue puis rencontre de Christopher, son papa est mêlé à l'affaire sans qu'il le sache de fil en aiguille enlèvement de son neveu qu'il a pris sous son aile, course poursuite a n'en plus finir et théorie très étrange ...Simon enlevé par un mechant pas vraiment mechant chaque fois un petit coup de fil pour menacer et hop negociation et il recule l'heure de la mise à mort de Simon jusuq'a la fin du bouquin d'ailleurs , Christopher et Sarah s'en sortent a chaque fois sans trop d'egratignures devant de gros tueurs , les theories on passe du chercher la peur collective de l'etre humain à l'ame existe t'elle ? Tout ça pour ça ... En film d'action bien, en livre pas vraiment

Je vais finir par est ce que nous avons une âme ? Il y a t'il besoin de le prouver ? Pourquoi faire ? On y croit ou on n'y croit pas ...
Où finit-elle ? Et les croyances religieuses ont ils quelque chose à voir la dedans ? Je ne pense pas que si nous avons une ame elle est à voir avec nos religions ou celles que nous n'avons pas ... Où finit-elle si, c'est le cas ? Ça, chaque personne ou chaque auteur aura sa propre théorie ... Les croyances, l'imagination de chaque être humain servent aussi à ça à ce qui pourra arriver a notre ame si toutefois elle existe le pire, le meilleur ... Nicolas Beuglet lui a imaginé la sienne à vous de voir si vous adhérez ou pas ...

Damned ! Une fois de plus, je me suis fait avoir comme un bleu !

Une couverture intrigante, un titre à la Munch plutôt bien trouvé, un pitch tentant, bien qu'un peu too much... j'aurais du me méfier...

Car, passé une ouverture franchement plutôt réussie dans les confins du nord de l'Europe, où Nicolas Beuglet démontre de réelles dispositions pour la rédaction des scènes d'action, ce thriller bascule en deux temps vers le grand n'importe quoi.

Premier temps : rupture de rythme à la limite du compréhensible vers la page 150. On quitte la Norvège pour plonger... en France.

Et déjà, se profile à l'horizon une quantité de scènes invraisemblables assez fabuleuse.

L'héroïne, Sarah, norvégienne, qui débarque en France comme en terrain conquis pour poursuivre son enquête sans la moindre accréditation, c'est une grosse blague. Mais bon...

Deuxième temps : quelques chapitres plus loin, l'histoire part complètement en vrille, l'auteur parvenant à croiser en même temps les rebondissements invraisemblables (ah, les secrets de la famille de Christopher, il faut le lire pour (ne pas) le croire !) et des scènes d'une violence à la fois gratuite et complaisante à vous mettre la nausée au bord des lèvres.

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Roman efficace, sans plus, accrocheur au début, mais qui s'épuise rapidement à force de grosses ficelles et de clichés

Très très TRÈS mauvais
L'intrigue est passable mais le style est nullissime. Que de clichés de phrases et de dialogues totalement artificiels pour décrire les personnages. Une absence de crédibilité totale. Et une mysoginie sans nom. Voir le drame de l'inspectrice qui est d'une bêtise et d'une banalité. Mon dieu. Passez votre chemin