Le cri

Un thriller sur fond de psychiatrie, de complot international et de coopération entre flic et journaliste.
Difficile de faire une critique sur un livre qu'on a absolument détesté... Que lui reprocher ? Un style d'une platitude navrante, une intrigue indigente, des poncifs navrants, des moments romantiques mièvres gênants. A partir de la moitié du livre, j'ai lu les pages en diagonale pour connaître le fin mot de l'affaire, mais même ce dernier ne m'a pas convaincue. Rendez-vous raté, à oublier.

Le cri... de déception.
Un début pourtant prometteur dans une ambiance polar nordique qui vire malheureusement au blockbuster hollywoodien.
Tout y est ! Un gentil couple de héros (qui ont chacun beaucoup souffert), des méchants (vraiment méchants), un complot historique, la CIA avec des américains et des russes évidemment, un secret de famille, des voyages, de l'aventure, de la science, de l'action, de la facilité (mais que pour les gentils, hein), de la religion, de la violence, de la romance, ... Liste non exhaustive.
C'est too much.
Quant au style d'écriture, disons seulement qu'il n'aide pas.

Le cri de désespoir que j'ai poussé lorsque je suis arrivé au bout de ce pavé long comme un dimanche de Toussaint.
que dire sans dévoiler "l'intrigue" mais au fait est ce une intrigue de courir le monde à la recherche du méchant avec une enquêtrice qui est en mal d'enfant alors que le reporter en a hérité un à la mort de son frère et de sa belle soeur. mais je vous donne pas la fin :-)
ils courent le monde pire que james bond mais sans les images.
les seuls points positifs c'est que ce couple n'a pas d'attente pour prendre l'avion.
sinon tout est téléphoné ...
Une purge que je vous déconseille

Damned ! Une fois de plus, je me suis fait avoir comme un bleu !

Une couverture intrigante, un titre à la Munch plutôt bien trouvé, un pitch tentant, bien qu'un peu too much... j'aurais du me méfier...

Car, passé une ouverture franchement plutôt réussie dans les confins du nord de l'Europe, où Nicolas Beuglet démontre de réelles dispositions pour la rédaction des scènes d'action, ce thriller bascule en deux temps vers le grand n'importe quoi.

Premier temps : rupture de rythme à la limite du compréhensible vers la page 150. On quitte la Norvège pour plonger... en France.

Et déjà, se profile à l'horizon une quantité de scènes invraisemblables assez fabuleuse.

L'héroïne, Sarah, norvégienne, qui débarque en France comme en terrain conquis pour poursuivre son enquête sans la moindre accréditation, c'est une grosse blague. Mais bon...

Deuxième temps : quelques chapitres plus loin, l'histoire part complètement en vrille, l'auteur parvenant à croiser en même temps les rebondissements invraisemblables (ah, les secrets de la famille de Christopher, il faut le lire pour (ne pas) le croire !) et des scènes d'une violence à la fois gratuite et complaisante à vous mettre la nausée au bord des lèvres.

Lire la suite sur le site le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..

Très très TRÈS mauvais
L'intrigue est passable mais le style est nullissime. Que de clichés de phrases et de dialogues totalement artificiels pour décrire les personnages. Une absence de crédibilité totale. Et une mysoginie sans nom. Voir le drame de l'inspectrice qui est d'une bêtise et d'une banalité. Mon dieu. Passez votre chemin

Mais que suis-je allé faire dans cette galère ? J'aurai du m'en douter en lisant le résumé : hôpital psychiatrique, une troublante inspectrice, des signes mystérieux, la CIA, des laboratoires ultrasecrets… tous les éléments étaient réunis pour un bon pavé indigeste et ennuyeux ! Dans ce roman bourré de clichés, rien n'a trouvé grâce à mes yeux : ni l'histoire sans intérêt, ni les personnages sans caractère, ni l'écriture sans attrait. J'ai eu la même impression que lors de ma lecture d'un roman de Chattam l'année dernière : que l'auteur avait fait sa petite liste des trucs qui marchent et écrit son roman en mettant un peu de tout.
J'étais pourtant plutôt bien disposée en commençant ma lecture mais ça n'a pas duré. Au bout d'une centaine de page j'ai commencé à lire en diagonale, puis fait des bonds de plus en plus longs en ne lisant que des phrases de plus en plus courtes, pour finalement sauter à la fin. Même comme ça j'ai tout compris !
Bref, à oublier au plus vite et la suite à zapper !
Lien : http://tantquilyauradeslivre..

J'ai commencé à lire ce roman et l'ai très vite abandonné : une écriture plate, un style « sur-écrit » qui enchaîne les clichés désolants, et des fautes de français. On dirait une rédaction d'élève appliqué d'école primaire. Je n'ai pas même pris le temps d'entrer dans l'histoire, le support était trop moche. Pitoyable.

Ce polar avait à priori tout pour me plaire : une ambiance glauque dans un asile psychiatrique, une enquêtrice renfermée, énergique, et le paysage norvégien pour toile de fond. Ces éléments laissaient présumer un bon thriller, mais on se retrouve somme toute avec un roman d'aventures tiré par les cheveux et peu crédible, qui mêle meurtres, complots, secrets de famille, religion, en passant par la CIA, la guerre froide, et un soupçon de romance. Trop de péripéties et de coups de théâtre pour une histoire sans grand intérêt, et des personnages sans saveur. Les deux cents premières pages sont assez accrocheuses, mais ensuite tout devient rapidement rasoir. C'est trop détaillé, ça traîne en longueur. J'ai fini par lire en diagonale ce roman policier qui ne me restera pas longtemps en mémoire.

J'avais beaucoup entendu parler de ce bouquin et plutôt en bien. je me suis donc laissée tenter avec enthousiasme.
Je l'ai "lu" en audio.
j'ai été tres rapidement déçue par le lecteur qui en fait trop. du coup, j'ai subi la lecture dès le début, notant toute les lourdeurs de style.
ce roman est "trop". Trop de rebondissements, trop d'emphase, trop de tout... et je ne dis rien sur les passages concernant l'histoire sentimentale entre Sarah et Oliver. ils sont ridicules.
bref, je ne peux pas vous recommander ce bouquin.

Trompé par le nombre d'exemplaires vendus et les critiques dithyrambiques, j'ai voulu lire le premier roman de Nicolas Beuglet. Aïe aïe, j'aurais mieux fait de m'abstenir.
C'est d'abord franchement mal écrit avec, parfois. de façon surprenante, des mots utilisés à mauvais escient, comme si l'auteur n'en connaissait pas vraiment le sens. Exemple : Elle jeta une oeillade dans la pièce (au lieu de jeta un coup d'oeil). Ceci arrive à plusieurs reprises, si bien qu'on se prend à penser que Nicolas Beuglet devrait prendre quelques cours de français. On se demande aussi si les correcteurs des éditions XO ont fait leur travail.
L'action démarre par un double plagia. D'abord le coup de l'hôpital psychiatrique avec un patient psychopathe particulièrement dangereux (déjà fait par Bernard Minier dans glacé), ensuite l'hôpital est situé en Norvège comme pour rappeler les thrillers nordiques qui sont à la mode en ce moment (on joue sur les réflexes pavloviens du lecteur) et rappeler aussi la neige et le froid de l'hôpital de Minier situé dans les Pyrénées.
Malgré tout, le début est encore le meilleur, car la suite va de mal en pis. Les bagarres incessantes sont du niveau d'une BD ou d'un mauvais film des années soixante (pif et paf à poings nus, grand coups de lattes, étranglement, coups de pieds, coups de boule dans le pif, croc en jambe, et boum et boum, et on recommence) où les héros se relèvent toujours comme s'il ne leur était rien arrivé.
On ajoute une petite histoire d'amour entre le héros et l'héroïne pour les midinettes qui liraient le bouquin, puis une bonne dose de situations idiotes et absurdes, bourrés d'invraisemblances, avec un soupçon de guerre froide (les méchants russes) et, pour ceux qui aiment le surnaturel, on enroule le tout autour d'un thème central ridicule (la recherche de l'âme).
Et ça fait un best seller à 100 000 lecteurs.
Ahurissant.
Bravo la promotion. Peut être l'auteur a-t-il été aidé par le fait qu'il a côtoyé le milieu médiatique parisien pendant des années, ce qui fait qu'il a beaucoup d'amis qui ont écrit moult articles de complaisance ? Dur à dire, mais il faut bien trouver une raison à un tel succès pour une telle médiocrité.
Passez votre chemin, prenez un bon Fred Vargas, un bon Lemaitre, un bon Boileau-Narcejac, un bon Japrisot, un bon ce que vous voulez, mais pas Beuglet.