AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,75

sur 59 notes
5
13 avis
4
19 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une masse critique....
choisir un livre
Christian Blanchard,
Auteur rencontré dans un festival sympathique de polar "Mauves en noir".
Ces livres ....
"Les vieux sont chiants, mais moi aussi je vais devenir vieux"
Parfois drôle ...... 2 étoiles
"La mort des sens"
Polar breton, pas pire mais pas meilleur qu'un autre ... 3 étoiles
"Pulsions salines" livre reçu dans le cadre d'une masse critique
Un livre qui nous parle plus des tréfonds de l'âme humaine que des paysages ai je dit à l'époque ... 4 étoiles
Il n'y a pas vraiment à hésiter il faut tenter peut être un 5 étoiles ce coup ci !

Et puis dans les premières pages ....
Roman publié pour la première fois aux éditions du Palémon sous le titre "pulsions salines" (2014). Cette nouvelle édition a été revue et augmentée par l'auteur.
Grrrrr

Alors lecture parallèle .....
Dès les cents premières pages, l'augmentation me semble dérisoire et même mensongère... dans un cas on parle d'officier de la force publique .... dans l'autre d'OPJ..... juste un petit réajustement pour avoir l'air un peu plus moderne !
Et puis une centaine de pages plus loin .....
"En dehors des films de Marvel, les super héros n'existent pas".... pour "La mer qui prend l'homme" et "Les super héros n'existaient que dans les films de Marvel".... pour "Pulsions salines".
Un autre exemple "odeur pestilentielle dans la remise avant." pour l'un et "l'odeur dans la cale avant était pestilentielle." ... pour l'autre.
Que vous dire ....
Pas de cinquième étoile pour Christian Blanchard....
Je ne prendrais pas la peine de revoir et d'augmenter ma critique .....

Le 4 février 2015 :
"Masse critique
Editions du palémon
Une petite croix "j'aimerai écrire une critique de ce livre"
Bingo.... Ce sera "Pulsions Salines" de Christian Blanchard, auteur rencontré lors d'un festival de polar, deux titres connus, lectures plutôt agréables même si, pas d'euphorie à l'époque.
La surprise, c'est que là, c'est du très bon.
Sur fond de séquelles post traumatiques liées au conflit en Afghanistan, avec une petite ballade à l'île de Batz, petite île enchanteresse au large de la Bretagne ( souvenir, une promenade dans le jardin Georges Delaselle : des végétaux exotiques dans un climat plutôt hostile, curiosité ), avec une partie de pêche au large de l'Irlande et des Îles Féroé .... Il y a beaucoup de vent, de pluie, de roulis, du dépaysement dans l'air.... Et la partie de pêche bien particulière tournera à l'hécatombe !
Attention le texte nous fait plus découvrir les tréfonds de l'âme humaine que les paysages.
Pas vraiment pour notre plus grand plaisir, mais à notre plus grande surprise, l'intrigue est très bien amenée, les personnages malgré ou peut être grâce à leurs noirceurs sont plutôt attachants avec leurs bons côtés et par ailleurs, victimes des mauvais coups reçus par le sort !
Nous sommes tenus en haleine et tournons, tournons les pages jusqu'au dénouement final, et ce nom "Le Doux Frimaire" porté fièrement par un bois flotté pour un dernier sourire avant de refermer ce livre.
Merci à tous pour ce très bon moment !"

Alors merci à babelio et aux éditions Belfond ..... je n'ai pas le courage de revoir, de corriger ou d'augmenter ma critique .... j'ai juste l'impression de m'être fait avoir !
Commenter  J’apprécie          31
A nouveau, l'auteur nous emmène faire une plongée saisissante dans l'âme humaine, en traitant un sujet fort : le SPT (Stress Post Traumatique). Toute personne vivant une situation de stress importante (accident , attentat, guerre, …) peut développer un SPT.
Le cerveau atteint par des traumatismes psychiques va reproduire à l'identique des stimulis perçus lors de l'agression. Ces souvenirs constituent des flash-back qui provoquent des cris, des gestes de combat, un réveil en sueur, …

C'est très sombre, ça secoue, et ça, on le comprend dès le départ, dès le moment où on assiste à une opération hélitreuillée en vue du sauvetage d'un chalutier à la dérive, le Doux Frimaire, et à la découverte d'une femme complètement prostrée et terrorisée, de l'absence totale de tout autre membre d'équipage, et d'un véritable capharnaüm à bord : instruments de navigation détruits, commandes des moteurs fracassées, du sang partout …

En commençant pour ainsi dire par le final, Christian Blanchard tient le lecteur en haleine, car on imagine bien qu'on se dirige tout droit vers quelque chose de très moche.
S'ensuit alors un retour dans le passé, où l'on fait connaissance avec les principaux protagonistes : un sergent, un lieutenant, un infirmier et un aumônier, ayant tous participé au conflit afghan, des êtres devenus psychologiquement instables à cause des situations de stress qu'ils ont vécues.

Sous prétexte de réhabilitation, le lieutenant Emily Garcia les rassemble sur un chalutier, parmi un équipage aguerri à la pêche en haute mer. L'objectif est de leur en faire baver, leur faire mal, leur faire vivre les difficultés du métier de marin pêcheur. Ils doivent s'apercevoir que leur problème de stress devient alors secondaire.

L'auteur nous emmène tantôt dans ce conflit afghan, tantôt sur le chalutier, ballottés sur une mer déchaînée, où l'on ressent une violence qui ne demande qu'une étincelle pour exploser.

Seul petit bémol me concernant : les passages parfois sans transition d'un personnage à l'autre, ou d'un endroit à un autre, qui m'ont parfois déstabilisé.
Cela ne m'a pas empêché d'être emporté dans cet univers, embarqué à bord du chalutier, ou projeté durant la guerre en Afghanistan.

La mer qui prend l'homme est un roman qui nous plonge dans la noirceur la plus totale. C'est prenant, intense, angoissant et surtout cruellement et tristement crédible.
L'intrigue vous ronge comme nos héros, la folie l'emporte et le suspense est insoutenable jusqu'au bout.
Lien : https://bibli-oli.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          20
Ce thriller est plutôt efficace et se lit aisément. Il y a cependant un peu trop d'invraisemblances indispensables à la construction du récit, notamment à propos des patronymes des vengeurs et de leurs capacités à être au bon endroit (officier de gendarmerie à Rosscoff, lieutenante dans un programme de soins destinés aux anciens militaires d'Afghanistan, commandant d'un chalutier) au bon moment. Il est donc préférable de se laisser porter par l'action sans trop réfléchir. Dommage, l'auteur a su créer quelques personnages forts qui auraient ou être mieux utilisés dans un roman plus cohérent.
Commenter  J’apprécie          10
Un thriller vraiment très intéressant dans lequel on va suivre quatre anciens soldats complément détruits souffrant de stress post-traumatique et embarquant sur un navire pour tenter de guérir. Cependant, très vite, on comprend que ces anciens soldats sont tout sauf innocents et que le passé risque bien de refaire surface.

Le livre est partagé entre le présent à bord du navire mais aussi du passé flou des anciens militaires.

Il s'agit d'une enquête haletante, très bien faite dans laquelle personne ne semble réellement innocent mais où tout semble lié.

Un roman tre bien écrit dans lequel le stress post-traumatique est très bien décrit tout comme la vie des marins sur le bateau.
Commenter  J’apprécie          10
La mer n'est pas toujours clémente, mais l'homme l'est-il lui-même ? En tout cas, pas dans La Mer qui prend l'homme, le nouveau roman de Christian Blanchard. Ici, c'est la vengeance qui fait autorité. La loi du talion est le capitaine du navire et les hommes à bord devront redoubler d'efforts et faire leurs preuves afin d'y survivre. Tout de suite plongés au milieu d'un mystère à propos d'un bateau abandonné, on s'interroge, on s'effraie de la possible vérité. Pourquoi n'y a-t-il plus personne à bord ? Où sont passés les passagers ? Ce roman étonne par son atmosphère marin maîtrisé allié à celle sombre de la nature humaine. Et même si j'ai mis un peu de temps à réellement entrer dans l'histoire, je dois admettre que l'auteur s'en tire très bien.

Les personnages se dévoilent peu à peu avec chacun leur rage ou leurs peurs. Ils ne sont pas là pour émouvoir mais bien pour raconter leur propre histoire, leur propre colère. Ambigus pour la majorité, ils restent intrigants sans que l'on ait envie de s'en rapprocher de trop près et de s'y attacher. le contraste entre la terre bretonne et l'Afghanistan est saisissant et impactant. Deux terres diamétralement opposées qui vont servir aux hommes pour le même combat.

Le style abrupt de l'auteur, avec des phrases courtes pour d'autant plus impacter le ressenti du lecteur, est prenant et en adéquation avec l'ambiance du roman. J'ai eu personnellement quelquefois un peu de mal à rester attentive à toutes les péripéties au vu de l'écriture qui ne me convenait certainement pas. Mais, ce roman reste très bon et à découvrir pour ceux qui s'intéressent à ce genre de récits. Merci à NetGalley et la maison d'édition Belfond pour cette lecture.
Lien : https://entournantlespages.w..
Commenter  J’apprécie          10
Une femme est retrouvée, amnésique, apeurée dans un chalutier au large de Brest. Celui-ci est vide, sans marin et il y a du sang partout. Un véritable carnage dans certains lieux du navire, que s'est-il passé?

Une enquête est ouverte , on apprend que trois personnes ont rejoint l'équipage. Ces personnes sont trois ex-militaires rentrant d'Afghanistan,souffrant du Syndrome Post Traumatique. Les conditions de vie sur ce chalutier devraient venir à bout de leur traumatisme. Leurs démons sont toujours là, la force du mal est toujours présente. Pourra -t-on les guérir ?

C'est ce que va tenter le lieutenant Emily Garcia dans un programme secret de l'armée française. Tout ne se passera pas comme elle le souhaitait.
J 'ai aimé la sauvage Bretagne, décrite et en parallèle ce pays qu'est l'Afghanistan avec ses montagnes. L'auteur nous livre là un roman noir, sa plume est précise, percutante.

Information de l'éditeur: La mer qui prend l'homme a été publié pour la première fois aux éditions du Palémon sous le titre Pulsions salines (2014). Cette nouvelle édition a été revue et augmentée par l'auteur.
Merci à NetGalley et aux éditions Belfond pour ce partenariat.
Lien : https://livresdunjourblog.wo..
Commenter  J’apprécie          10
« C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme ». Ces paroles de Renaud nous rappellent que les éléments naturels, l'océan, la montagne, le désert sont et seront toujours plus puissants que l'Homme, et c'est tant mieux. Quand on les fréquente, ils nous changent à jamais et nous sommes marqués par leurs présences.
J'ai lu il y a quelques mois l'excellent roman de Christian Blanchard, Iboga, que j'avais chroniqué ici. Quand j'ai vu son nouveau polar sur NetGalley, j'ai sauté sur l'occasion et je remercie les éditions Belfond pour cette lecture.
J'avais beaucoup aimé Iboga, j'ai adoré La mer qui prend l'homme. Un roman noir, violent, poisseux où il n'y a pas de bons d'un côté et des méchants de l'autre et où le sang de la vengeance coule à flots.
Difficile pourtant de résumer ce livre sans en dévoiler toute l'intrigue.

Synopsis
Entre la guerre d'Afghanistan et l'atlantique nord, un page-turner qui vous plonge dans la tempête des âmes et une mer rouge sang. Au large des côtes du Finistère, un chalutier à la dérive est localisé. Lors de l'opération de sauvetage, une femme est retrouvée dans une remise, prostrée, terrorisée et amnésique. le reste de l'équipage a disparu. Parmi eux se trouvaient trois anciens militaires français.
Xavier Kerlic, Franck Lecostumer et Paul Brive avaient embarqué sur le Doux Frimaire à Concarneau, encadrés par le lieutenant Emily Garcia, des services sociaux de la Défense. Celle-ci devait expérimenter avec eux une méthode de lutte contre le stress post-traumatique en les insérant dans un groupe d'hommes soudés par de rudes conditions de travail - les marins du Doux Frimaire. " Je ne le sens pas, ce coup.
Qu'est-ce qu'on vient faire dans cette galère ? " avait lancé Franck en montant à bord, avant que le chalutier ne lève l'ancre en direction de la mer d'Irlande et ne disparaisse des radars...

Bretagne - île de Batz au large du Finistère.
Afghanistan - Kaboul la capitale.
Des marins, rudes et sobres, sur un chalutier de pêche au large de l'Atlantique du Nord-Ouest.
Des soldats français, choqués et traumatisés par une guerre dans un autre pays, au bout du monde.
Un lourd secret, sans doute puisé dans une affaire très réelle par l'auteur, qui lie tout ce petit monde et les amène aux portes de l'Enfer. Cet enfer c'est l'océan, la culpabilité, la folie surtout.
Les soldats sont atteints de SPT, stress post-traumatique. Ils ont chassé les talibans, ils ont été chassés par eux, blessés, ils sont morts dans le désert afghan. Quand ils rentrent au pays, c'est la folie qui les guette, qui est en eux. Peut-on les guérir et leur rendre une vie normale ?
C'est ce que tente le lieutenant Emily Garcia dans un programme secret de l'armée française, avec comme cobaye un quatuor de soldats liés à la vie à la mort depuis Kaboul.
Mais rien ne va se passer comme prévu, et tout va déraper, dans le sang, les larmes et la colère.

La vengeance comme cadeau empoisonné et comme évidence pour survivre. Faut-il se punir ou pardonner ? Même Paul Brive, l'aumônier de l'armée française ne sait plus trop à quel saint se vouer, d'autant plus que Dieu est muet dans la nuit afghane. le roman est un essai sur cette loi du Talion qui fait depuis des lustres le fond de commerce des relations humaines. Un livre sur ces conséquences non seulement sur celui ou celle qui doit être puni mais aussi et surtout sur ceux qui se vengent. On ne sort pas indemne de cette spirale et même si on croit aller mieux après, la vie n'est jamais la même… si on garde la vie.

Ce roman est très prenant. L'auteur maîtrise parfaitement les enchaînements de situations. Il alterne les scènes du présent en Bretagne ou sur le chalutier Doux Frimaire, avec les souvenirs du passé en Afghanistan. Les lieux et les personnages s'emboîtent petit à petit et on comprend alors l'étendue de la tragédie.
J'ai beaucoup aimé le contraste entre les deux espaces : la Bretagne venteuse et humide, l'île de Batz où chacun se connaît et la rudesse sèche et montagneuse de l'Afghanistan. On est plongé dans les tempêtes de l'Atlantique à nord du navire de pêche et dans la tête des combattants qui rentrent au pays.
J'ai aussi beaucoup aimé les personnages, dont aucun n'est innocent, même celle(s) que l'on croit les plus tendres et les plus fragiles. Les fous ne sont pas ceux que l'on pense. Les insensés sont ceux qui paraissent les plus logiques. La morale n'a rien à faire dans cette histoire, qui n'est pourtant pas loin du cynisme. Mais ne vivons-nous pas dans un monde où la mort frappe à la sortie d'un concert comme au fond d'une vallée de l'Hindou Kouch ?

Christian Blanchard n'en est pas à son premier roman, mais depuis Iboga qui l'a fait connaître au grand public, il affirme une plume et un style noir qui laisse peu de place aux bons sentiments et aux repentirs. C'est un style différent des maîtres du polar français, qui sont plus sanglants et plus pervers. Blanchard nous propose des plongées hyper réalistes dans le monde d'aujourd'hui et dans la psychologie quelque peu malade de nos contemporains.
Lien : https://wp.me/p4XEVi-D4
Commenter  J’apprécie          10
Son précédent livre, Iboga, fut un très gros coup de coeur. J'avais dévoré ce livre saisissant qui abordait, entre autres, la peine de mort.
Ce nouveau livre n'est pas entièrement nouveau. Il s'agit d'une réécriture d'un de ses anciens livres intitulés "Pulsions salines" parus chez Palémon en 2014.

Le premier chapitre nous plonge direct dans l'action. On sait déjà que les choses vont mal se finir.
Puis on fait successivement la rencontre des trois militaires.
Ces trois personnages sont très intéressants. Au début on voit bien le lien "d'amitié" qui les unit mais on sent assez vite qu'il y a autre chose sauf qu'il est impossible de savoir exactement ce que c'est avant que l'auteur nous le dise.
L'aumônier est le plus intéressant des trois. Comparé aux autres déjà il n'est pas atteint de SPT, cet élément nous fait déjà nous demander ce qu'il fait là. Sa manière de vivre sa religion m'a beaucoup plu. On le sent très ouvert d'esprit. Cependant on sent bien qu'il cache un lourd secret comme ses camarades.

La mise en place de l'action dans le bateau est très lente. À la vue du premier chapitre on pense assez vite savoir comment tout ceci va finir. La seule chose intéressante est de savoir pourquoi.
Malgré les retours en arrière dans le passé des trois militaires, j'ai eu du mal à voir où on allait précisément. Jusqu'à la moitié du livre, tout m'a paru très long avec un rythme très lent. Heureusement que l'écriture est plutôt fluide.
La persévérance a été récompensée quand on commence à entrevoir le secret que cache ces trois hommes mais ce qui nous pose encore question est la raison de leur présence sur ce bateau. En parallèle il y a une enquête sur le décès d'un autre de leur camarade. Et c'est là que l'on commence à comprendre certaines choses.
Plus la fin approche et les révélations sont nombreuses. Une fois faite, savoir comment chacun va terminer chacun des personnages est ce qui nous tient en haleine. Jusqu'à la dernière page l'auteur tient le rythme et nous surprend.

Dans ce livre il est très souvent question de choix et des conséquences qui en découlent. A plusieurs moments le cours de cette histoire aurait pu être radicalement différent. On peut juger les choix des personnages mais on peut aussi essayer de se mettre à leur place surtout à la place des militaires.
Cette partie là de l'histoire est très bien traités et est à mettre en parallèle de comment nos militaires vivent leur métier sur le terrain mais aussi de leur retour.

Même si le début m'a paru très long, ce livre est une belle surprise. Certaines d'actions auraient pu être mieux traitées mais dans l'ensemble on se laisse embarqué dans cette surprenante histoire.

Ce livre malheureusement n'égale pas le niveau du précédent selon moi. J'espère que l'auteur sera relever la barre pour le suivant car je sais qu'il est capable du meilleur.
Lien : https://leslecturesdamandine..
Commenter  J’apprécie          10
Je ne peux qu'être touchée par le thème de ce livre. le stress post-traumatique est quelquechose de violent, de sournois, de vicieux, de dangereux... Qui n'a pas eu dans son entourage quelqu'un de concerné ?Moi, en tout cas, j'ai connu une personne touchée par le SPT. Heureusement, les crised n'ont jamais été violentes mais elles étaient surprenantes.
Ce huît-clos sur ce chalutier est bourré d'adrénaline. Et si finalement les méchants n'étaient pas ceux que l'on croît ?
J'ai adoré le suspens. Je me suis faite surprendre par la révelation à la fin du chapitre 32. Cool !!!
Tout ce que j'aime se trouve dans ce livre.
2 livres de Christian Blanchard lus, 2 coups de coeur. Vivement le prochain.....
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (109) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2874 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}