La Veuze s'écoule selon cette patience douloureuse qui conduit l'eau à l'insignifiance; parallèle à la voiture, et sa rivale le temps d'une émotion. Ce n'est qu'un ruisseau, en fait, guère plus, qui court d'un bout à l'autre de la plaine, - et résout en amont les énigmes qu'il pose en aval.