Citations sur Et je danse, aussi (341)
Vos mensonges, sur votre âge, sur votre passé, n'en sont pas, pour moi. Ils sont des habits que vous avez endossés à l'instant pour les besoins de notre histoire. Vous avez remis les vôtres, à présent, mais c'est bien vous qui êtes dessous et vous êtes inchangée.
Vous en conclurez, à raison, que je me sens davantage à mon aise avec vous, qui êtes loin dans vos montagnes, et totalement dématérialisé. Aucun risque que vous puissiez me voir : je peux donc me montrer.
P 258 : "Je vous envoie quelques grains de sel d'Oléron, Pierre-Marie : de celui qu'on trouve au bord des marais, mais aussi au bord des paupières, certains soirs, quand la lumière du couchant enveloppe les choses d'une douceur insupportable".
Pierre-Marie Sotto : Lorsque je lis un roman, je déteste qu'aux deux tiers l'auteur commence à démêler le pourquoi du comment. Ça me donne l'impression que la récréation est finie, ou le voyage, qu'il a frappé dans ses mains et qu'il commence à nous expliquer au tableau noir les jeux auxquels nous avons joué et les paysages que nous avons vus. Et il en défait le charme.
Vos multiples épouses ne vous ont-elles jamais dit qu'il y a une énorme différence entre les personnages et les vrais gens ? Tant que vous êtes en train d'écrire, vous avez tous les pouvoirs , d'accord. Mais dans la réalité, vous n'en avez pas plus que n'importe qui. Alors n'essayez pas de me créer une vie de rêve avec l'héritier des ciments Lafarge...Et acceptez-moi comme je suis : grosse, pathétique peut-être , mais VIVANTE.
Et maintenant que vous ne voulez plus que j'ouvre l'enveloppe , c'est fou comme j'ai envie de le faire ! Je suis comme la jeune femme de la Barbe bleue avec dans sa main la clef du petit cabinet. Mais rassurez-vous, je ne l'ouvrirai pas sans votre autorisation. Trop peur des personnes mortes suspendues à des crochets de boucher.
Adeline, du noir, du noir ! Pas d'hésitations ! Mettez-le-moi dans le rouge, ce banquier ! Débitez-le ! Apurez son compte ! Mettez-lui la main à son gros paquet fiscal et faites gr
Là, ma chaudière a rendu bruyamment l'âme et je ne sais plus ce que je voulais écrire. ... grimper ses actions, peut-être ?
Mon ordinateur, qui s'en voudrait de commettre un acte irréparable, m'a demandé : Voulez-vous vraiment vider ce fichier de façon permanente ?Je l'ai remercié de ses scrupules et j'ai cliqué sur oui.
C'est elle qui m'a transmis ce goût pour ces étranges savoirs : l'astrologie, les cartes, les rêves. Elle disait que toutes les clés sont bonnes pour accéder à la douleur de l'autre, et l'aider à s'en sortir.
"Ce que tu as enterré dans ton jardin, ressortira dans celui de ton fils."