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sur 138 notes
"Toutes les familles possèdent, dit-on, d'épaisses strates de silence tendu, des souffrances engluées dans des secrets cachés bien au fond de belles armoires à linge. » (Philippe Claudel)
Ce n'est pas dans une armoire mais dans une boîte à cigares que le médecin allemand Robert Lubisch découvre à la mort de son père, l'homme d'affaires Friedhelm Lubisch, une carte d'immatriculation SS au nom d'un inconnu, Wilhem Peters, un laissez-passer, un certificat de libération d'un camp de prisonniers de guerre ainsi que la photo d'une belle inconnue. Pendant quelques mois Robert laisse sa découverte de côté mais ce petit grain de sable a priori insignifiant dans son existence bien réglée ne tarde pas à faire son effet. « L'idée que ce père si droit, si irréprochable, ait pu cacher un secret ne déplaisait pas à Robert. Peut-être allait-il enfin découvrir une faiblesse, une faille à ce modèle si parfait auquel il avait été confronté pendant tant d'années. Robert sourit. Quelle libération ce serait pour lui de pouvoir donner à ce père tout puissant une dimension plus humaine! Il avait envie de savoir. Rien que pour lui-même ».
Trois mois plus tard, Robert décide de se rendre dans la petite ville de Kranenburg où le portrait de l'inconnue a été réalisé, retrouve le nom de la femme et la maison où elle résidait pendant la guerre. En confiant la nature de sa quête à la nouvelle locataire du lieu, une journaliste tenace du nom de Rita Albers, Lubisch ne se doute pas qu'il a ouvert la boite de Pandore et que son secret ne lui appartient plus. La journaliste cherche, interroge et le drame arrive."Secret de deux, secret de Dieu . Secret de trois, secret de tous. » En voulant tuer le Père, c'est tout un village qu'il a réveillé.
Les secrets de famille en temps de guerre sont pain bénit pour les romanciers, et on les adore dans Purge de Sofi Oksanen ou Flétrissure de Nele Neuhaus. Rompre le silence commence d'une manière relativement abrupte et quelque peu déconcertante, mais trouve rapidement son rythme de croisière, de l'enquête journalistique et policière aux incursions dans les années 30 et 40. Mechtild Borrmann dresse le portrait saisissant d'une petite ville allemande où la montée du nazisme puis la guerre exacerbent les sentiments et les passions. Avec elle, point de révélations tonitruantes, de manichéisme facile et de suspens haletant. L'intrigue chemine lentement mais sûrement à l'image de ses protagonistes qui tâtonnent et s'obstinent. Le vrai héros de Rompre le silence est finalement le secret qui comme un virus, passe de métabolisme en métabolisme, grandit, et devient incontrôlable. On le pressent dès le début du roman, Robert Lubisch ne peut faire marche arrière quand le doute est semé. On aurait bien envie de lui dire pour le réconforter cette phrase tirée des Pensées de Blaise Pascal "Console toi. Tu ne me chercherais pas si tu ne m'avais trouvé. »
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Une enquête relayée par une journaliste, menée à la suite d'un décés ,par hasard ou par simple curiosité ?, une carte d'identité SS trouvée dans une boîte à cigares en bois sombre délicatement veiné, au nom d'un inconnu, et surtout la photo d'une très belle femme !
Quel est le rapport avec le père de Robert Lubisch, décédé en 1997, un industriel qui a fait fortune dans les années d'après guerre ?

Nous voici plongés entre passé et présent, au coeur des années 40 , parmi un groupe d'amis que le nazisme et la guerre vont séparer.
Nous remontons le temps , dans l'angoisse de ces années - là et la découverte d'une vie inconnue à Robert Lubisch.....
Surtout pour lui, l'envie de comprendre et de cerner ce père : "Peut--être allait-il enfin découvrir une faiblesse, une faille à ce modèle si parfait, auquel il avait été confronté pendant tant d'années?"

Ce roman carrefour où se croisent petite et grande histoire : peurs, jalousies, choix d'appartenance ou non au régime totalitaire de cette Allemagne, amours interdites , compromissions, vies sociales altérées , soif de vengeance, trahisons, besoin de fuir, très lourd secret familial,, recherche du pouvoir ,difficulté d'assumer le passé......

Oú est le bien et le mal ?
L'acceptable et l'humain au coeur de l'Allemagne de ce temps -là .......n'en disons pas plus !
Une histoire trouble sans clichés, simple et efficace , sans pathos , ni leçons qui nous renseigne au plus près sur les dégâts , l'influence du national socialisme sur un groupe de jeunes adultes dans la tourmente de l'histoire .
Une enquête sobre et émouvante,
Une quête de vérité et de libération passionnantes à dominante historique , un secret familial, un ouvrage plus documentaire qu'une enquête policière!
Remarquable !

Mais ce n'est que mon avis
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Un livre sur le secret, le droit qu'a une personne de laisser sa vie derrière elle pour se reconstruire et reconstruire autre chose, sans penser chaque jour à ce qui est advenu, ce qui a été perdu, à tous ces êtres qu'on ne reverra plus et à ceux qu'on voudrait enterrer. Un livre sur la mémoire, sur la recherche de la vérité, un fils qui finalement, une fois la machine enclenchée, se retrouvera plus loin qu'il ne l'aurait voulu.
Les traumatisme des guerres même pour ceux qui ne sont pas au front, la méfiance qui s'installe, les amitiés qui se brisent et qui changeront à jamais de nature, autant de thèmes présent dans ce roman. C'est un bon livre qui se suit sans déplaisir, le problème est que j'avais deviné le principal ressort de l'histoire dès les premiers chapitres, ce qui a un peu gâché mon plaisir.
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Au décès de son père en 1997, Robert Lubisch découvre dans la maison familiale une carte de SS au nom d'un inconnu et la photo d'une femme qui n'est pas sa mère. Son père avait-il une amante ? Pourquoi gardait-il cette carte nazie ?
Son père, originaire de Silésie, parlait guère de la période de la guerre. D'ailleurs, Robert Lubisch n'avait jamais eu trop de discussion sur quelque sujet que ce soit avec ce père qui voulait par dessus tout qu'il lui succède à la tête de la prospère société de BTP familiale. Mais Robert ne l'a jamais envisagé, et il est devenu médecin.
Il décide cependant de mener sa petite enquête dans la ville proche du Rhin où, selon le cachet du photographe, le cliché de la femme a été pris.

Le début du livre est un peu décevant pour un Mechtild Borrman (auteure des excellents le violoniste, L'envers de l'espoir, Sous les décombres...). Comme souvent, l'auteure mélange une enquête de nos jours à un récit du passé, lui permettant de faire revivre une époque. Ici, c'est la vie tranquille d'une petite ville du Rhin inférieur qui se trouve bouleversée par l'arrivée de la seconde guerre mondiale. Le contexte de secret familial lié à cette période ne fait aucun doute dès le début du livre, mais le lecteur se perd un peu lorsqu'il s'agit d'aller dans le détail des personnages. Six jeunes gens se fréquentent, s'aiment, d'un amour parfois non partagé. Leur groupe éclate : certains sont appelés au service militaire, d'autres à des travaux des champs obligatoires, certains font des études à la grande ville, d'autres enfin subissent l'exclusion, car leur famille ne soutient pas le régime.
La tension monte doucement. Durant environ deux tiers du livre, l'intrigue avance au rythme des mois qui passent, en 1939, 1940, 1941, avec les dénonciations, arrestations et tortures qui accompagnent le durcissement de la guerre.
Puis, suite à un meurtre, Robert Lubisch va se rapprocher d'une vérité complexe, pas aussi évidente qu'on pourrait l'imaginer. Les pages finales sont prenantes et inattendues.
Rompre le silence est le premier roman de Mechtild Borrman à avoir été traduit en français en 2013. Même si ce livre a reçu en Allemagne le Deutscher Krimipreis en 2012 (prix du meilleur roman policier), il reste bien moins prenant que les livres suivants. Borrman a un vrai talent pour mêler la petite histoire et la grande, et une vraie sensibilité dans la présentation de ces personnages. C'est sur ce dernier point que j'ai trouvé ce roman plus faible que ceux qui suivront.
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Il ne fait pas toujours bon de déterrer le passé, c'est ce que constate le personnage principal de ce bon roman. En effet, après la mort de son père, Robert Lubisch trouve la photo d'une femme dans les affaires de celui-ci, ainsi qu'une carte ensanglantée au nom de Wilhelm Peters. Les relations père/fils ont toujours été compliquées, est-ce pour mieux connaître ce père autoritaire que Robert décide de partir à la recherche de l'identité de la femme inconnue ?

Sa décision va l'amener à faire connaissance avec une journaliste qui va s'intéresser au passé de cette femme mystérieuse, une enquête fatale pour elle car elle est assassinée. Tout ce que sait Robert c'est que cette femme s'appelle Therese Pohl et qu'elle est toujours en vie. Robert décide de la rencontrer pour comprendre le lien entre elle et son père.

Nous avons à la fois un roman policier, un roman choral car l'intrigue est racontée par plusieurs personnes dont Robert et Therese et un roman qui plonge dans le passé sanglant de l'Allemagne pendant la Seconde guerre mondiale. J'ai surtout été intéressée par l'histoire de Therese car elle permet d'évoquer la vie de quelques jeunes allemands entre 1939 -1945. Autour de Therese on trouve des ami(e)s qui vont faire des choix plus ou moins tragiques pendant cette période et le poids de ces actes est encore perceptible dans leur vie. Un bon roman que je vous conseille.
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Quand Robert vide la maison familiale au décès de son père, un riche industriel allemand, et trouve une photographie d'une jolie jeune femme inconnue, il décide sur un coup de tête de chercher à en savoir plus. Mais ce retour dans le passé de son père aura des conséquences inattendues et surtout fera resurgir les secrets enfouis de la seconde guerre mondiale.

Après Sous les décombresMechtild Borrmann faisait déjà revivre sous nos yeux l'atmosphère de la fin de la 2nde guerre mondiale en Allemagne et que j'avais beaucoup apprécié, j'avais envie de découvrir les autres romans de l'auteur. Malheureusement je n'ai pas retrouvé dans Rompre le silence la qualité de l'intrigue et la reconstitution minutieuse de l'atmosphère des années 40 que j'avais adoré dans son autre roman.
Ici l'intrigue semble très vite cousue de fil blanc, en parallèle de l'histoire contemporaine, on se plonge dans la vie d'un groupe de jeunes du même village dans les années 30, vie dont on sait déjà qu'elle va être bouleversée par l'idéologie nazie et la guerre qui arrive. Les personnages sont plus des archétypes que de vrais êtres de chair et de sang, on devine très vite ce qui va arriver à chacun d'eux et le tout est mêlé à un semblant de romance très prévisible aussi avec des triangles amoureux qui se résolvent dans la haine et la dénonciation. Je n'ai pas appris grand chose de nouveau sur cette époque, j'ai trouvé que l'atmosphère et le contexte de guerre étaient très survolés servant plus de prétexte à l'intrigue que de réel témoignage historique.
La partie contemporaine tourne beaucoup autour d'une enquête policière sur le meurtre d'une journaliste mêlée à cette affaire, sans grand intérêt pour le lecteur et je me suis un peu perdue entre les différents policiers, leurs rivalités, les interrogatoires et contre-enquêtes qui n'apportent pas grand chose de plus à l'histoire.

C'est une lecture qui n'est pas déplaisante, le style de l'auteur est efficace et on a envie de connaître la solution de l'énigme mais j'ai trouvé que ce roman manquait vraiment de profondeur et de souffle, il sera sans doute vite oublié.
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En 1997, suite au décès de son père, Robert Lubisch veut tirer un trait sur son passé familial, hanté par la figure de ce père - riche industriel qui a fait fortune dans les années d'après-guerre - qu'il n'a jamais pu aimer. En faisant le ménage dans les papiers de son père, il découvre la photographie d'une très belle femme et une carte d'identité SS au nom d'un inconnu. Il se rend alors compte qu'il n'a jamais vraiment connu son père et décide d'enquêter sur son passé. Il ne sait pas encore qu'il va mettre le doigt sur des secrets dotés d'une charge explosive redoutable…

« Rompre le silence » est le premier roman traduit en français de l'allemande Mechtild Borrmann. Il a reçu le prix du meilleur roman policier en 2012.
Au départ, l'intrigue semble de facture classique : des secrets de famille que la mort du dernier parent va inciter le fils à élucider. le rythme est lent et l'on peut penser au départ, à l'instar de Robert Lubisch, que l'enquête conduira à une impasse. Il n'en est rien. Car l'auteure prend le temps de tisser la trame d'une intrigue dont la puissance va se révéler peu à peu, tandis que les divers protagonistes prennent forme et chair.

La plume de l'auteure est surprenante : ses phrases sont empreintes d'une forme de douceur, de tendresse nimbées d'une nostalgie tenace, comme un temps gris qui persiste mais ne laisse échapper aucune averse. Deux périodes se confrontent, celle du présent de la quête De Robert et celle du passé – les temps troubles de la seconde guerre mondiale dans un coin d'Allemagne. On y découvre de jeunes adultes dont la candeur va être entachée par la guerre, les choix qu'elle va imposer, le national-socialisme en toile de fond.

La rondeur des mots, la poésie douce et triste qui en émanent, contrastent avec la violence de certains événements surgis du passé. Ce passé dont les secrets sont d'autant plus difficiles à percer que la chape de silence dans laquelle on les a ensevelis s'est solidifiée avec le temps.
Alors, lentement, se met en place une mécanique implacable, celle par laquelle Robert va rompre le silence, au risque de vaciller - avec le lecteur - sur des bases qu'il croyait acquises…

Le revirement final est impressionnant, aussi habile qu'inattendu, donnant un tout autre tour à l'histoire. « Rompre le silence » est un polar extraordinairement attachant sur l'amour, la jeunesse et la culpabilité.
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Une intrigue policière sur fond de seconde guerre mondiale, des allers-retours entre présent et passé, un secret de famille, il faut reconnaitre que tous ces ingrédients finissent par être tellement exploités en littérature qu'ils n'offrent plus guère matière à s'étonner. Ou qu'il faut un réel talent pour renouveler le genre.

Rompre le silence a quand même ceci de particulier que le cheminement de l'intrigue est réellement alambiqué, la faute sans doute à la galerie de personnages (qui sont d'ailleurs épinglés en début de livre au cas où la mémoire nous ferait défaut !) , nécessitant par là un effort de concentration laborieux, et la clé même de celle-ci qui est par contre prévisible dès les premières pages...
De ce point de vue je n'ai donc pas éprouvé grand plaisir à cette lecture.

J'ai par contre aimé l'écriture à la fois fluide et travaillée ainsi qu'émaillée ci et là de quelques jolies réflexions.

Une histoire en demi-teinte donc, qui à l'image des photos sépias de la couverture du livre, se brouillera rapidement dans les brumes de ma mémoire.
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Vider la maison familiale après le décès du Père, c'est, pour Robert Lubisch, ressentir la nécessité de remonter le temps et s'enfouir dans l'angoisse, la peur de la découverte d'une vie qui lui était inconnue. L'envie de comprendre, de cerner ce père avec lequel il a quelques contentieux n'est pour lui déplaire. *"Peut-être allait-il enfin découvrir une faiblesse, une faille à ce modèle si parfait auquel il avait été confronté pendant tant d'années." *
Par hasard, il a trouvé, dans les papiers de ce père, riche industriel s'étant bâti une fortune dans l'industrie d'après-guerre, une carte d'identité SS au nom d'un inconnu et la photographie d'une très belle femme qui n'est pas sa mère. Pourquoi? Son père, cet homme parfait, lisse et bienfaiteur honorable avait-il un passé, une part d'ombre à cacher?

Et Mechtild BORREMANN de nous embarquer dans une enquête ouverte par le fils, relayée par une journaliste et finalement menée par le Brigadier-chef de police Karl van den Boom. Ce Karl en est sûr, dans la vie, il faut se hâter lentement. L'efficience réside dans la capacité à placer le temps et les faits en pause pour écouter ce qu'ils ont à dire plutôt que de fournir des réponses précipitées à des questions non encore formulées. Toute une philosophie, un art de vivre!

Sous la belle plume de Mechtild BORREMANN à qui on doit aussi 'Le Violoniste' et sans précipitation, on suit ce récit, plus une quête de vérité et de libération qu'une enquête policière.
Les personnages, Thérèse, Wilhelm, Leonard, Jacob et les autres ont tous la vingtaine au début de la seconde guerre. Ils ont la fougue, la richesse et la faiblesse de ces jeunes croyant l'amitié durable, prêts à se jurer fidélité et n'imaginant pas combien les peurs, la jalousie, l'amour ou la recherche de pouvoir vont les désunir dans ce temps de choix d'appartenance - ou non - au régime totalitaire de cette Allemagne nazie partant en guerre.

Bien de sujets sont ici abordés comme des faits de vie, des existences qui s'enferment ou se libèrent dans le quotidien non banal de l'époque. Ce roman devient un carrefour où se croisent les petites histoires dans la grande Histoire, les vies sociales tricotées et détricotées par les idées politiquement correctes qui évoluent selon les phases du conflit, les amours admises ou non, les adhésions aux insignes du pouvoir et les compromissions qui en découlent, la résistance et le devoir de désobéissance à l'Ordre, les trahisons, la délation, la soif de vengeance, le besoin de fuir et la difficulté d'assumer le passé et de le maintenir sous le boisseau.

Loin du suspense d'un thriller, l'auteure Mechtild BORREMANN nous plonge au coeur d'une humanité rurale en guerre. Où est le bien? le mal? le juste, l'acceptable, l'Humain?

Ce sera au lecteur de s'en faire une idée et, peut-être, comme le brigadier-chef Karl, de trouver en lui la sagesse de 'pauser' le temps et les faits pour en comprendre les dynamiques avant de juger.
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1997. En vidant la maison de son père récemment décédé, Robert Lubisch trouve parmi les papiers une carte didentité SS au nom dun inconnu, ainsi que la photographie dune très belle femme. Lhistoire de son père semble bien plus trouble quil ne le pensait...

1er prix du meilleur thriller de l'année 2012 en Allemagne Un histoire mêlant habilement passé (une histoire d'amitié secouée par la période nazie en Allemagne) et présent (enquête sur l'histoire d'un père décédé, notable d'une ville allemande). « Ce que nous appelons toujours "le destin", n'est pas quelque chose qui arrive comme ça d'en haut, comme on le croirait, mais ce sont bien les mille petites décisions que nous prenons tous les jours et avec lesquelles nous allons dans une direction bien déterminée. »
Lien : https://collectifpolar.com/
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