Le Pape, le Kid et l'Iroquois

Je ne sais pas qui tient la plume de cette série (déjà culte dixit l'éditeur) et en fait je m'en fous! Je croise les doigts pour qu'il n'y ait jamais de films, aucun écran ne pouvant rendre le mauvais gout esthétique de cette série. Et "Le Pape, le Kid et l'iroquois" est dans la lignée des autres titres d'Anonyme! Bref, ce n'est n'est pas de la grande littérature mais des rebondissements, Frankenstein, Mozart, Elvis, un Hell's angel, du bourbon, Grease et j'en passe, c'est "pop jouissif" et ça fait du bien!

Toute la fine équipe des romans précédents toujours aussi déjantée, beaucoup d'humour noir et de scatologie.
Réjouissant et défoulant !

Je viens de finir de le lire ,que dis-je de le dévorer!!Dans la lignée des 4 autres..Déjantés...J'adore!

Grande fan du livre sans nom et de ses personnages haut en couleur j'ai dévoré "le Pape, le Kid et l'Iroquois".
Ce dernier tome se rapproche beaucoup plus de "psycho killer" que des 4 premiers.
Cependant un joyeux mélange s'opère puisqu'une alliance Kid/Rodéo Rex/Elvis fait son apparition. Cette joyeuse bande rencontre donc Joey et Bébé avec encore un scénario improbable de méchant méchants poursuivi pas des méchants un peu moins méchant!
Hémoglobine, tueurs en série, rescapés d'une scabreuse opération militaire secrète, un produit révolutionnaire (qui au choix guérit le cancer de la peau ou rend un soldat résistant aux balles!) que tout le monde convoite... Tout cela est détonnant!
Pour les fans du Kid celui ci reste plutôt en retrait dans cet épisode, mais on en apprend plus sur Joey!
Passage éclair de notre couple préféré Kacy & Dante, dommage qu'on ne les voit pas un peu plus longuement!
Le bilan est très positif: j'attends le suivant avec impatience!

Déçue....
Grande fan du Bourbon Kid, je suis restée sur ma faim.
On retrouve quand même certains ingrédients incontournables de la saga : l'humour noir (bien que moins présent à mon goût), la violence, le suspense, quelques personnages mythiques, du fantastique...
Mais il y'a une sorte de lassitude.. On dirait que l'auteur est arrivé au bout de ses délires. de plus, grande déception pour moi, Sanchez n'est plus, et je pense que ce personnage manque cruellement.
Même le Bourbon Kid n'est plus ce qu'il était, d'ailleurs il n'est pas très présent dans l'histoire. le livre aurait du plutôt s'intituler "Frankenstein, l'Iroquois et Rodéo Rex".
Conclusion, la saga s'essouffle et c'est bien dommage car mon dieu, comme j'ai adoré le tome 2 ! On arrive à la fin d'une histoire, et je pense qu'il faudrait passer à autre chose.

Nous avions découvert les Bourbon Kid à Santa Mondega dans les deux premiers excellents Tomes d'Anonyme, le livre sans nom et L'oeil de la lune. Les aventures s'étaient ensuite poursuivies dans le cimetière du diable à Passadena, un peu moins convaincant. Et nous les avions quitté avec le livre de la mort, agrémenté de vampires qui mettaient fin à cette tétralogie. Nous avions ensuite rencontré L'iroquois dans Psycho Killer qui sévissait cette fois à B Movie Hell et au Minou Joyeux, un bordel géré par Silvio Mellencamp, un magnat du porno…

Dans ce dernier opus, il faut secouer les 5 précédents romans dans un shaker et nous nous retrouvons dans une foldingue aventure avec d'un côté le bourbon Kid accompagné d'Elvis et de Rodéo Rex, d'un autre Salomon Benett, Mozart, Frankenstein et le Docteur Jekyll, ainsi que les protagonistes de la mission Blackwash, Devon Pincent, Jack Munson et Alexis Calhoon et enfin et surtout, L'Iroquois.
Nous pourrions donc parler de ce roman comme une suite de tous les précédents…

Comme d'habitude quand on ouvre un livre d'Anonyme on entre dans une expédition totalement déjantée, entrecoupée d'un humour noir ou potache toujours bien servi… J'adore.

J'ai préféré les précédentes histoires du kid.

J'étais complètement excitée à l'idée de pouvoir enfin lire ce livre. En effet, j'ai lu le premier tome de la série, Le Livre sans nom, au mois d'avril, et les autres un peu plus récemment, et je suis devenue complètement accro, notamment après avoir lu Psycho Killer. Cet auteur est anonyme, et c'est bien dommage, car je me demande de quel esprit (tordu ?) de pareilles histoires peuvent sortir !

Si vous avez aimé le Bourbon Kid et Psycho Killer, vous ne pourrez être que ravi de découvrir Le Pape, le Kid et l'Iroquois. Comme l'annonce le titre, nous aurons droit à un fabuleux duo de tueurs en série, le Bourbon Kid et le tueur au masque d'Halloween, l'Iroquois (sans oublier des personnages comme Elvis, Rodeo Rex, Jasmine, Bébé... Bref, un pur moment de bonheur !)

Dans ce cinquième tome, les évènements se situent juste après Psycho Killer (qui est, je le rappelle, un livre indépendant de la série, la rencontre entre les deux ne se faisant que dans ce cinquième tome).

L'Iroquois a envoyé une lettre, et menace de tuer le Pape, en mission secrète aux États-Unis. Le Bourbon Kid, Elvis et Rodeo Rex sont alors mobilisés pour contrecarrer ses plans et l'empêcher de tuer le Pape...

Comme d'habitude, l'histoire est bourrée d'humour et de références (dès la deuxième page, il y a une référence à Stephen King et Breaking Bad, que demander de mieux ?), le tout sur une ambiance très rock'n'roll ou Grease, au choix. Je pense vraiment que je devrais m'armer de post-it pour ma prochaine lecture de cet auteur, car j'ai sans cesse envie de noter certains passages. J'ai souris et rigolé à de nombreuses reprises, m'amusant du côté complètement déjanté et fou de cette histoire. Et, à d'autres moments, j'étais horrifiée et écœurée de ce qui arrivait (je dois dire que Mozart m'a réellement traumatisée).

Ce livre, c'était le pied total. Une immersion dans un monde hors-du-commun, un moment de détente comme on en fait peut. Jamais aucun livre ne m'aura autant amusée, horrifiée et emballée à la fois. Vous ne trouverez pas ça ailleurs, alors je déclare aujourd'hui un amour inconditionnel pour le Bourbon Kid.
Lien : http://anais-lemillefeuilles..

Si l'identité de l'écrivain se faisant appelé Anonyme est inconnue, le Pape, le Kid et l'Iroquois, son roman qui vient de paraître, n'est pas le premier et ses héros sont déjà connus de ses lecteurs, puisque le Bourbon Kid apparait dans quatre précédents opus et l'Iroquois dans Psycho Killer (2013).
Rodeo Rex, Bourbon Kid et Elvis ont une mission, chopper l'Iroquois avant qu'il ne tue le pape en voyage secret aux Etats-Unis ! D'un côté, le Bourbon Kid, tenant du titre du tueur en série le plus impitoyable et le plus mystérieux que la terre n'ait jamais porté. de l'autre, avec plus d'une centaine de victimes à son actif, l'Iroquois, blouson de cuir rouge, masque d'Halloween surmonté d'une crête, challenger et sérieux prétendant au titre. Dans les coulisses, une organisation gouvernementale américaine top secrète spécialisée dans les opérations fantômes…
Voilà pour les grandes lignes et je n'en dirai pas plus, car le scénario est tellement abracadabrant et touffu en rebondissements, que ce serait peine perdue. Il s'agit du premier roman d'Anonyme que je lis et j'ai l'impression après un rapide survol sur Internet, qu'il fait l'objet d'un culte rendant fou de joie ses fans à chacune de ses livraisons. Ne me sentant pas concerné par cette idolâtrie, ni avant, ni après lecture, je vais essayer d'être plus objectif qu'eux.
Oui, je me suis bien amusé à lire ce bouquin farfelu. L'écriture est alerte, les chapitres extrêmement courts, donc le rythme est enlevé ; l'histoire est tellement extravagante qu'on se sent obligé de cravacher pour en voir le bout mais inutile de tenter de précéder l'écrivain pour deviner ce qui va se passer, c'est absolument impossible, le mot crédibilité lui étant inconnu. Chaque chapitre fournit un nouveau rebondissement totalement imprévisible, du coup le lecteur se met en position de lecture automatique et laisse courir. Pour autant, cette folie narrative n'est pas exempte d'une certaine logique interne et des faits, presqu'oubliés en cours de route, seront bouclés avant le mot fin.
Les personnages sont nombreux, on baigne dans un univers très américain, mariant les comics et leurs super héros, le cinéma de série Z comme ces films d'horreur gore pour adolescents boutonneux et le cinéma de Quentin Tarantino. Vous comprenez aisément qu'on soit alors devant un humour un peu spécial, du genre : « Il lui avait plus tard avoué que s'il avait emmené Arnold dans les toilettes pour le tuer, c'était parce qu'il ne voulait pas faire mauvaise impression lors de leur première rencontre », ou bien encore, « Pour expliquer ses bleus, elle dut inventer une histoire au sujet d'un gang de chèvres en colère qui l'aurait attaquée alors qu'elle faisait son footing. »
Des carnages, des tueries, de l'hémoglobine qui colle aux doigts, du sexe suggéré mais sans plus, de l'humour à chaque ligne, sauf et c'est là que lecteur objectif place un bémol à l'enthousiasme général, le bouquin est trop long. On finit par se lasser des « trucs » de l'écrivain, de son inventivité débridée tournant à la redite. Comme de plus, il s'agit de ces romans qui n'ont pas de fond ou de sujet de réflexion – même caché…
Alors, oui le roman est amusant, il est même bon, mais si vous sautez deux-cents pages en cours de lecture, personne n'en saura rien et vous ne perdrez rien à la compréhension générale.

Après un petit hors-série "Psycho killer" qui nous présentait Joey Conrad, on retrouve avec un certain plaisir le Bourbon Kid dans ce cinquième tome de la saga d'Anonyme. Avec l'Iroquois, Rodeo Rex et Elvis, le Bourbon Kid va former la bande des Dead Hunter.

De l'action, de l'humour noir, du sexe, du fun, du fantastique, du Frankenstein et même une Britney Spears vont s'en donner à coeur joie dans ce grand fourre-tout littéraire qui joue avec les codes des séries B du cinéma.

Il faut adhérer au délire et fort heureusement, c'est mon cas. Même en ayant déjà lu ses livres plusieurs fois, ça m'éclate toujours autant. Ca me fait marrer, ça se lit vite sans qu'on soit perdu même lorsqu'il y a des allers-retours dans le temps et j'en ai pour mon argent.

Maintenant, ce volet n'est pas parfait pour autant. Je lui trouve des longueurs, je regrette le côté fantastique un poil atténué (les vampires me manque !) et niveau ambiance, cet opus s'éloigne de l'atmosphère western qui me plaisait bien. de même, en se retrouvant au coeur de la bande des Dead Hunter, nos tueurs en séries de masse perdent un peu leurs côtés mystérieux.

On apprend à davantage les connaitre et même les apprécier malgré leurs défauts (ce sont des anti héros comme on les aime) mais c'était quand même plus fort quand on en savait un peu moins sur eux et sur ce qu'ils pouvaient penser.

Maintenant, ça reste quand même une lecture que je trouve extrêmement plaisante avec des punchlines excellentes. Quand on voit le matériau, je suis vraiment surpris qu'on ait pas encore essayé d'adapter ses livres en série télévisée ou en film tant les romans auraient leurs place dans ses univers en jouant avec les caricatures et les stéréotypes du genre.

C'est avec une nouvelle fois un grand sourire en tout cas que j'ai refermé mon livre "Le Pape, le Kid et l'Iroquois". A ce stade de la saga, c'est l'aventure que j'aime le moins mais je prends quand même mon pied et il me tarde maintenant d'enchaîner avec le sixième tome sobrement intitulé "Bourbon Kid". Une saga que j'ai découvert par hasard il y a quelques années de ça et que je n'arrive plus à lâcher maintenant.