Venez passer la soirée de Noël, dans une grande tour, avec un patron japonais et une bande de terroristes qui s'invite à la fête. Toute ressemblance avec "Piège de cristal" est totalement revendiquée, à part que le héros ce n'est pas MacLane, c'est Sanchez, alors c'est plutôt l'anti-héros.
Toujours aussi crade et peu délicat, on passe un moment de Noël bien déjanté et amoral. C'est parti pour un conte de Noël.
C'est un roman court interlude entre deux autres romans.
Nota je n'ai toujours pas trouvé ce que son amoureuse peut lui trouver...
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Une sympathique petite nouvelle qui parodie les épisodes spéciaux Noël qui fleurissent dans les séries et dans les dessins animés.
J'ai apprécié, mais pas autant que les autres ouvrages disons... un peu plus sérieux. Je le trouve too much. L'absurdité de Sanchez est bonne, mais à petite dose.
Ses maladresses, ses propos sarcastiques et son intelligence limitée font toujours mouche, mais là, c'était trop. Son caractère est trop.
Heureusement, la nouvelle est courte et la plume et les idées de l'auteur restent excellentes. Cependant, si la nouvelle avait été plus longue, cet ouvrage aurait pu finir en abandon. (une première depuis ma reprise de la lecture.)
Cette débilité ambiante sympathique est un peu trop mise en avant depuis le Pape, le Kid et l'Iroquois et cette nouvelle. j'espère que ça ne va pas trop prendre le pas sur les suites.
Autre déception ? L'histoire. On nous vend un changement chez Sanchez… et une histoire où il serait le héros. Bah au final, pas tant que ça. Il se fait constamment aider, il s'attribue tous les mérites et le manque de karma en devient un peu triste. Même si c'est une volonté de l'auteur, qui insinue par le biais de Flake, qu'un retour de bâton sera possible à l'avenir
La morale est à l'image d'une des dernière phrase du livre : "...je n'ai strictement rien apprit."
Mention spéciale pour la fin et le fameux chauffeur de Taxi qui annonce du très très lourd.
En conclusion ? Un bon moment, sympathique, qui se lit relativement bien, malgré le caractère d'un Sanchez toujours plus insupportable et antipathique.
Malgré la critique assez négative, j'ai vraiment apprécié, mais j'aimais trop Sanchez dans les précédents ouvrages, et là, comme pour un bon plat dont on abuse, je suis repus de lui pour un moment. Et ça, ça me déçois.
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