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Citations sur La grange de Rochebrune (11)

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- Tu me prêteras tes livres? osa demander Valentine.
Décidément, Félix était un sage ! Elle ne l'en admirait que plus. Il se pencha vers elle.
- Un à la fois. Parce que, tu sais, un livre, çà se savoure, çà se lit et se relit et, à chaque lecture, tu ressens les choses différemment.
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N'était-ce pas le but recherché par l'occupant ?
Transformer la vie quotidienne en une succession de contraintes et de frustrations afin d'empêcher les Français de penser à autre chose ?
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La guerre les avait tous profondément marqués, de même que le climat de vengeance et d’épuration régnant dès 1945. Il fallait rattraper les années perdues, vivre, vite, pour oublier la torture, les convois de déportés, les trahisons, la faim et la peur.
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Antonia avait conscience du fossé qui les séparait. Elle avait souvent limité les effusions avec sa fille durant son enfance, de crainte de lui communiquer sa maladie. Ensuite, il avait été trop tard... Valentine s'était rapprochée de son père et Antonia avait de nouveau eu l'impression d'être une "pièce rapportée". Comme si Aglaé exerçait encore son emprise sur la grange....
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Elle avait peur, soudain, pour son fils. Elle ne voulait pas lui imposer une quelconque obligation vis-à-vis de la ferme familiale.
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Était-ce cela l’amour ? Cette impression d’être écartelée entre espoir et désespoir, angoisse et élan ? Ce sentiment de mourir à petit feu en l’attendant ?Elle souffrait tant, parfois, qu’elle aurait souhaité ne l’avoir jamais rencontré.
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Il avait cru mourir à deux reprises depuis le début de l’hiver, s’était relevé chaque fois, sauvé par d’incroyables coups de chance. Il en était devenu superstitieux, s’attachant à certains rituels.
Il avait travaillé sur différents chantiers, aussi bien à la carrière qu’aux wagonnets, se demandant comment ses camarades et lui parvenaient à survivre.
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La maladie d’Antonia avait jeté une ombre sur leur famille.
« Peut-être bien que nous n’avons pas de chance », avait marmonné son père, un soir, en passant la main sur sa mâchoire. Il s’était aussitôt repris : « Ne nous plaignons pas. Nous avons la Grange et du travail plus qu’il n’en faut ».
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Les enfants étaient sensibles à la musique des troupeaux. C’était comme une mer de moutons qui traversait la grand-rue, le berger en tête, suivi d’un ou deux ânes puis des brebis. Les chiens les encadraient, veillant à ce qu’aucune bête ne s’écarte du chemin.
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Quand Pierre reviendrait, l’aimerait-il toujours autant, elle, Antonia, la femme qu’il avait prise avec seulement son linge sur le dos ?
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