Citations sur Si j'étais un rêve... (9)
Arrête de m'écrire. Je n'ai plus rien à te dire. Ton monde n'est pas le mien, tu vois je suis chat et toi, t'es chien.
Si j'étais un idéal, j'essaierais d'être inaccessible. Ce qui compte, c'est le voyage, après tout.
« Moi, ce qui me fout la trouille, c'est stagner. Être prisonnière d'un monde gris sans espoir de changer. Jamais. Et puis, les regards. Les regards qui t'effleurent sans te voir qui te jugent sans t'approcher qui te méprisent sans te parler. Les regards indifférents et les regards blessants, ceux que tu redoutes, ceux qui te font crever. Alors, tu te recroquevilles sur toi-même, tu te fais souris, tu t'aplatis pour que leurs yeux passent au-dessus de toi. »
Quels sont tes rêves, Lina? Quelles sont tes peurs ? Qu'est-ce qui te fait rire ? Pourquoi tu pleures ? Quelle musique tu écoutes ? Quels livres tu aimes ? Es-tu sucré ou salé, Facebook ou Twitter ?
Je trouvais tout ce dont j'avais besoin dans les romans que je lisais.
Et puis, tu sais, il y a les mots qui jaillissent. Les mots qui blessent, les mots qui crissent. Parfois, tu ne les entends pas, tu peux juste les deviner derrières les sourires peinés, les regards de pitié. [...] Mes mots ne sont pas assez puissants. Mes mots sont toujours prisonniers du même carcan de honte et de timidité.
Un ami, c'est celui qui vous laisse entièrement libre d'être vous-même [...] C'est ce que signifie l'amour véritable : permettre à l'autre d'être ce qu'il est vraiment
Jim Morrison
« Chaque fois que je contemple mon reflet, j'ai un moment d'arrêt. Parce que j'ai l'impression que ce n'est pas moi. Parce que QUI je suis n'est pas ce que je vois. Je m'avance, l'autre m'imite, esquisse comme moi un geste de fuite. Je me rapproche, je me raccroche à l'espoir stupide que je vis un cauchemar en étant lucide. Mais non, mon double c'est moi. »
« Moi, ce qui me fout la trouille, c'est stagner. Être prisonnière d'un monde gris sans espoir de changer. Jamais. Et puis, les regards. Les regards qui t'effleurent sans te voir qui te jugent sans t'approcher qui te méprisent sans te parler. Les regards indifférents et les regards blessants, ceux que tu redoutes, ceux qui te font crever. Alors, tu te recroquevilles sur toi-même, tu te fais souris, tu t'aplatis pour que leurs yeux passent au-dessus de toi. »