Né d'aucune femme

28. Né d'aucune femme - Franck bouysse - un curé reçoit une étrange visite. Il est invité à récupérer des carnets cachés sous les jupes d'une morte à l'asile. Dans ces carnets, il découvre l'histoire de Rose. Ayant été vendue par son père, celle-ci vivra l'horreur.

Lecture pas évidente. Pas tant à cause du sujet que du style. Dans les pages du journal de rose, la ponctuation est difficile à suivre, les conversations sont mal indiquées. J'ai aussi trouvé que très souvent, l'auteur se perd dans des phrases tarabiscotées. Trop d'enrobage, c'est comme pas assez. Je n'ai pas tellement apprécié.

Pardon, mais je ne comprends pas l'engouement qu'a suscité ce livre. Dès le départ, j'ai eu du mal à plonger dans cet univers sombre et triste. Et c'est une surenchère, page après page, d'évènements sordides et traumatisants. Pauvre Rose, quelle vie de merde ! J'ai eu du mal à aller jusqu'au bout, et à comprendre où voulait en venir l'auteur. Même l'écriture, vantée par beaucoup, ne m'a pas séduite.

Hé bien je n'ai pas aimé du tout, j'ai eu du mal à finir. Je m'abstiens de résumer, d'autres l'ont très bien fait. C'est à la fois glauque, horrible, et très "écrit". Viols (qu'on attend depuis le début : le lecteur est mis en position de voyeur). Torture. Meurtre. Coïncidences miraculeuses (les deux Rose; les retrouvailles papa/fiston)
Des procédés pénibles : les allers-retours entre les différentes consciences narratives ; le début qu'on ne comprend qu'à la fin ; la narratrice illettrée du début qui écrit super bien (à force de lire le journal en cachette : mais bien sûr !). Ça m'a mise très mal à l'aise.
Et j'ai haï la photo de couverture (la femme demi nue fort apprêtée qui tient un bébé grassouillet). Et détesté le titre.

Une écriture agréable qui malheureusement ne compense pas une histoire prévisible, des personnages caricaturaux et sans dimensions, et par des dialogues risibles. Ce roman manque énormément de subtilité et de finesse. Une déception.

Eh ben non ! Pour rien : ni l'histoire, ni le cadre, ni le rythme, ni le style ou alors je n'ai strictement rien compris.
Je n'ai adhéré à rien ; il fut question de ce roman lors d'un atelier d'ecriture auquel je participe. Les commentaires dithyrambiques m'ont incitée a connaître plus avant le sujet.
Las ! Cela m'a laissé un goût bizarre et des regrets.
Même la quatrième de couverture vous demande de fuir ... tant pis !

Déception...

C'est l'histoire d'une pauvre paysanne qui vit dans une famille pauvre et qui va être vendue par son père à un méchant ogre, entouré d'une meute de chiens et ayant pour mère une vilaine sorcière. Elle fera le ménage et sera violentée. le pauvre frère cadet, également maltraité, ne pourra donc pas lui venir en aide...

J'ai trouvé ce roman bourré de clichés racoleurs et de stéréotypes...
Le style m'a paru, au début, verbeux et alambiqué. Trop de voix dont cette pauvre Rose qui écrit comme elle parle...

Une histoire prévisible et convenue...

Pourtant un livre qui a trouvé son public vu la quantité de prix... Mais pas moi ! Ce n'est ,bien sûr, que mon avis....

Compte tenu des nombreuses critiques favorables, j'avais hâte de lire ce livre et… déception. L'histoire est malsaine à souhait, sans aucun intérêt, et le style pèche par excès. Trop de fioriture tue la fioriture. J'ai détesté cette lecture. Texte sans intérêt et mal écrit.

Je n'ai pas du tout aimé ce livre qui est d'une dureté ahurissante. Je ne comprends pas où il y a de la beauté ou de l'émotion. C'est juste un roman d'horreur et du sadisme.
Je ne comprends pas du tout les critiques qui sont affichées au dos du livre. Bref je comprends qu'on puisse apprécier l'oeuvre mais ne peux comprendre qu'on omette l'horreur relatée dans ce roman.

A plus de la moitié du livre, j'abandonne... Trop de violence physique, mais psychique que l'on ressent des personnages que sont le maître et la vieille. Et on y ajoute aussi le médecin. En cours de route... de l'espoir, je n'en perçoit pas. On le sait, Rose termine sa vie dans un hôpital psychiatrique et y décède seule. Alors pourquoi continuer à lire juste pour se sentir mal. Je l'ai débuté à reculon et je le laisse sans regret.