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Citations sur Fahrenheit 451 (807)

Je ne parle pas des choses, avait dit Faber. je parle du sens des choses. Là, je sais que je suis vivant
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Le téléviseur est "réel". Il est là, il a de la dimension. Il vous dit
quoi penser, vous le hurle à la figure. Il doit avoir raison, tant il paraît avoir raison. Il vous précipite si vite vers ses propres conclusions que votre esprit
n'a pas le temps de se récrier : "Quelle idiotie !"
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- Je bazarde les enfants à l'école neuf jours sur dix. Je n'ai à les supporter que trois jours par mois à la maison; ce n'est pas la mer à boire. On les fourre dans le salon et on appuie sur le bouton.
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Vous avez peur de commettre des erreurs. Il ne faut pas. Les erreurs peuvent être profitables. Sapristi, quand j'étais jeune, je jetais mon ignorance à la tête des gens. Et ça me valait des coups de bâtons. Quand j'ai atteint la quarantaine, mon instrument émoussé s'était bien aiguisé. Si vous cachez votre ignorance, vous ne recevrez pas de coups mais vous n'apprendrez rien.
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"On doit tous être pareils. Nous ne naissons pas libres et égaux. Chaque homme doit être l'image de l'autre, comme ça tout le monde est content ; plus de montagnes pour les intimider, leur donner un point de comparaison. Conclusion ! Un livre est un fusil chargé dans la maison d'à côté. Brûlons-le. Déchargeons l'arme. Battons en brèche l'esprit humain. Qui sait qui pourrait être la cible de l'homme cultivé ? Moi ? Je ne le supporterais pas une minute."
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Un nain perché sur les épaules d'un géant voit plus loin que lui !
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Un problème devient trop encombrant ? Hop, dans la chaudière.
Tu es devenu encombrant, Montag. Et le feu va soulager mes épaules de ton poids vite fait, bien fait ; pas de pourrissement à craindre. C’est ça le feu : antiseptique, esthétique, pratique.
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Un jour, alors qu’il était enfant, il s’était assis sur une dune de sable jaune au bord de la mer au beau milieu d’une journée d’été torride et azurée. Il essayait de remplir un tamis de sable parce qu’un cousin cruel lui avait dit : « Si tu remplis ce tamis, tu auras dix cents ! » Et plus vite il déversait le sable, plus vite le tamis se vidait dans un chaud murmure. Ses mains étaient fatiguées, le sable était brûlant , la tamis restait vide. Assis là en plein cœur de Juillet, muré dans le silence, il avait senti les larmes ruisseler sur ses joues.
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On ne peut dire à quel moment précis nait l'amitié. Si l'on remplit un récipient goutte à goutte, il finit par y en avoir une qui le fait déborder ; ainsi lorsque se succèdent les gentillesses, il finit par y en avoir une qui fait déborder le cœur.
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Après tout, on vit à l'époque du kleneex. On fait avec les gens comme avec les mouchoirs, on froisse après usage, on jette, on en prend un autre, on se mouche, on froisse, on jette.
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