AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,96

sur 955 notes
Refermer un livre comme Hate list vous hante toute votre nuit voir même plus. Jennifer Brown a pris un gros risque avec un sujet aussi sensible et avec la manière dont elle entamait sa trame.
Valérie, adolescente très en colère revient dans son lycée après 5 mois d'absences. Mais voilà, il y a 5 mois son petit ami Nick a assassiné des lycéens en suivant une liste. Et cette liste, c'est elle l'instigatrice. Comment revenir dans le lieu du massacre ? Ce roman jeunesse racontera l'année qui suit cette tuerie.
En ouvrant ce livre, je savais déjà que je serais émue vu le sujet. Je me suis demandé comment l'auteur allait nous pondre son histoire vu qu'elle prenait du regard d'une « victime/coupable ». L'auteur ne donne aucun jugement et ne prend aucune direction. Elle laisse son lecteur observer d'une vue d'ensemble (le portrait de Nick mi Roméo mi démon, le mal être de Valérie et ses implications, les victimes mais aussi bourreau et le regard des adultes). On n'en sort pas idem de cette lecture.
Je me suis posée beaucoup de questions et j'ai été malheureuse pour tout le monde. Un drame qui nous ouvre les yeux. Un drame qui aurait pu être évité. Beaucoup trop de petits trucs qui ont provoqué ce point de non-retour. Un garçon si charmant, si doux, si prévenant qui bascule un matin dans l'horreur. Valérie se posera tant de questions. Pourquoi a-t-elle fermé les yeux sur l'inévitable ? Car oui Nick a laissé des indices…
C'est un récit émouvant avec beaucoup de justesse dans la plume. Pour une fois, un final comme celui-ci ne m'a pas dérangé car j'ai bien compris que l'auteur voulait nous montrer l'après horreur. Elle réussit à donner une image digne à tous ces personnages. Mais la question qui me revenait à chaque fois : et moi qu'aurais-je fait à la place de Valérie, de la mère de Nick, des parents de Valérie, de la femme de Mr Kline ou même d'un parent d'un élève…… J'ai été incapable de répondre….. Un roman qui prône la tolérance malgré l'horreur.
Un coup de coeur livresque pour moi !
Commenter  J’apprécie          102
Hate List est un livre qu'il faudrait faire lire dans toutes les écoles. Il est fort, puissant, émouvant et raconte, avec extrême, les dangers du harcèlement scolaire et les retombées d'une décision aussi affreuse... Si, au départ, je me suis demandée pourquoi ce roman était tant acclamé, j'ai été rapidement captivée. Bien plus qu'un bouquin sur le harcèlement scolaire, ce livre parle de reconstruction, de culpabilité... Les réactions de certaines personnes dans l'entourage de Valérie m'ont profondément choqué, notamment certaines des parents. J'ai beaucoup apprécié ce roman et je ne peux que le recommander, pour un moment fort en émotion...
Lien : http://freelfe.blogspot.fr/2..
Commenter  J’apprécie          100
Je ne sais pas si c'est parce que les tristes évènements du 14 décembre 2012 aux USA à Newton, sont encore dans ma mémoire, mais ce livre m'a bouleversé, en tant que mère de famille, bien sur.

J'ai aimé la construction du livre, qui alterne les chapitres juste avant le moment de la fusillade, et après. Il nous permet d'essayer de comprendre. Bien sur, il s'agit ici d'une fiction. Mais quand des faits divers atroces arrivent, nous avons tendance à écouter les médias, qui parfois déforment la réalité. Ce livre m'a parmi de faire le chemin : je m'explique.

Au début, du bouquin, nous découvrons une Valérie survivante de la fusillade, soupçonnée de complicité, puisque Nick était avant tout son petit-ami, mais qu'elle était au courant pour la fameuse Liste. Nous découvrons peu à peu, comment celle-ci a été créée, pourquoi, et dans quelle circonstances. Valérie au début, m'a paru assez antipathique, je ne sais pas pourquoi, au premier abord, elle avait tout pour être heureuse. Mais ce n'était en fait qu'un mirage.
On comprend assez vite que c'est bien plus compliqué. le comportement de ses parents m'a révolté, je n'en dirai pas plus, mais je me suis ensuite assez vite attachée à Val, qui souffrait moralement et psychologiquement. Elle n'a jamais voulu la fusillade bien sur.
Le seul bémol, je dirai dans ce livre, c'est que j'aurai voulu en savoir plus sur Nick, pour « comprendre » son geste. Nous savons que Nick était un ado assez introverti, en retrait des autres et de la société. Mais nous n'en savons pas plus. Nous ne savons pas vraiment ce qui l'a poussé à sauter le pas.

Le comportement des médias m'a révulsé, comme trop souvent aujourd'hui que ce soit à la télévision, ou dans les journaux.
Lien : http://www.1000etunepages.co..
Commenter  J’apprécie          100
J'ai longuement hésité quant à la notation de ce roman. Et je dois dire que j'ai été finalement plutôt généreuse.

Le thème et le contexte étaient pourtant très intéressants. Nick, le petit ami de Valérie, tue plusieurs de leurs camarades et professeurs en tirant de manière réfléchie : il suit les noms que Valérie a noté sur sa liste de la haine. Une liste qu'elle a créée pour se libérer des multiples humiliations subies chaque jour au lycée et que Nick alimente également par la suite.

L'auteur se réfère sans aucun doute à la fusillade de Columbine : aspect gothique des adolescents-tueurs, motif de la fusillade à chercher dans les humiliations subies, existence d'une liste de la haine...

Même si l'événement en lui-même est très important (il nous est rapporté par des articles de journaux reproduits tout au long du récit de manière un peu (trop) aléatoire), ce qui compte vraiment ici c'est le sentiment de culpabilité que ressent Valérie : comment peut-elle vivre avec ? doit-elle être pardonnée ? doit-on considérer qu'elle a incité Nick à perpétrer cette tuerie ? Autant de questions soulevées par Jennifer Brown.

Tout cela était très alléchant mais, malheureusement, plusieurs points sont venus assombrir ma lecture.

Tout d'abord l'écriture de Jennifer Brown, trop manifestement tournée vers les adolescents, comme s'ils n'étaient pas tout à fait finis. Les tournures de phrases et le langage utilisés ne me semblent pas représenter correctement cette génération (problème de traduction ?). Et en même temps elle n'assume pas jusqu'au bout et n'écrit pas en entier les "gros mots" qu'elle utilise ! Par exemple : "Si j'étais toi j'ajouterais les devoirs de la journée à la liste. Ça fait trop ch...". C'est ridicule ! Chier n'est même pas un gros mot ! Si ?

Deuxième point négatif, et pas des moindres : les nombreux clichés qui jalonnent le récit. Cliché des services psychiatriques (hurlements des patients, médecins déshumanisés, membres du personnel faisant des avances sexuelles au patientes...), rédemption à travers l'art, tueur incompris, sportifs hautains, les ennemies deviennent les meilleures amies, parents divorcés...

Troisième point négatif : le traitement des personnages, leur absence de consistance psychologique. Valérie est tour à tour complètement immature ou trop mature, les adolescents sont dépeints comme s'ils étaient tous un peu neuneu, les parents de Valérie la rejettent complètement (je rappelle qu'elle n'a tué personne et n'était pas au courant du projet de son ami), le psychiatre qui la suit n'a aucune consistance et se contente d'être l'exacte représentation que l'on peut avoir d'un bon psychologue. Chacun est à sa place, fait ce qu'il doit faire. Les personnages sont d'une platitude aberrante.

Un récit très prometteur qui sonne faux et se contente de suivre les atermoiements d'une jeune fille démunie. Un récit convenu qui a toutefois le mérite d'aborder des thèmes intéressants dans un contexte qui interroge. Bref, une lecture très mitigée qui ne m'a nullement transportée.
Commenter  J’apprécie          90
Hate List est un livre qui ne peut laisser personne indifférent. Il m'a de suite fait penser à la fusillade qu'il y a eu à Columbine. Je pensais m'aventurer dans une histoire linéaire, mais que nenni ! Pendant un long moment, nous avons l'alternance entre le déroulement de cette journée sinistre et le retour à la vie "normale", le retour de Valérie au lycée.

Valérie est la petite amie de Nick, jeune homme voulant en finir avec les railleries qu'ils subissent tous les deux quotidiennement. Elle-même a justement établi une liste de la haine où elle aime noter les choses et les personnes qu'elle ne supporte plus. Peut-être aurait-elle aimé intérieurement que ces personnes disparaissent, mais jamais elle n'aurait pensé que cette liste alimenterait une haine sans nom chez son petit ami. Et un matin... tout bascule... le 2 mai 2008.

Ce roman est poignant, très crédible, et cela en devient effrayant. J'ai vraiment été pénétrée par toute cette folie, j'ai compris ce que pouvait ressentir certains protagonistes. C'est pour dire à quel point la narration est bien faite. Je tire mon chapeau à Jennifer Brown qui réalise là un petit bijou tout en tristesse et en émotion. Et je le garde précieusement dans ma bibliothèque pour pouvoir le relire ou le prêter à mes enfants quand ils seront au lycée.
Commenter  J’apprécie          92
Que voilà un livre difficile, choquant mais d'un réalisme stupéfiant.
Nous sommes au lendemain d'une tuerie dans une école secondaire, Valérie sort d'un coma artificiel, elle récupère d'une jambe blessée par balle et revit douloureusement les dernières heures à l'école.
Son petit ami, Nick, vient d'abattre plusieurs élèves et un professeurs, en grande partie à partir d'une liste qu'elle avait commencé à établir seule, puis avec lui : la liste de la haine.
Mais c'était un jeu, un défouloir où mentionner tous ceux qui étaient dégueulasses avec eux à l'école.
Ca n'aurait pas dû déraper.
Comment se reconstruire avec cette culpabilité, avec les médias qui vous accusent, avec les policiers qui vous soupçonnent?
Et même si vous êtes innocentés, comment on retourne à l'école et on retrouve ses amis après... ça?
Un très beau roman, sensible et troublant, dur et en même temps délicat dans sa manière d'aborder toute la violence.
Violence dans les actes, violence dans les émotions, celles des familles détruites par la perte d'un être cher, celles détruites parce qu'elles n'ont pas pu le prévoir.
Et Valérie dans tout cela? Comment continuer à vivre... après ça?
Une excellente lecture.
Commenter  J’apprécie          90
Hate List est catalogué comme rayon jeunesse, et de ce fait, je m'attendais à lire quelques chose de fort, mais je l'avoue, je ne pensais pas être confrontée à une histoire aussi dure. Je me suis même fait la réflexion que ce livre n'était pas si jeunesse que cela et qu'il aurait tout à fait pu être vendu dans un autre rayon que le Jeunesse.
L'histoire est celle d'un jeune lycéen qui un matin arrive au lycée avec une arme et abat ses camarades. Tout simplement car ils étaient présents sur une liste établie par simple jeu par son amie Valérie.

Cette histoire est une fiction, malheureusement, cela aurait pu être une histoire vraie, tant elle fait echo à ces faits divers survenus aux Etats-Unis essentiellement, mais également ailleurs. On pense notamment à la tuerie de Columbine en 1999.

Ici, nous allons suivre Valérie dans sa tentative de reconstruction après ce drame dont elle se sent terriblement responsable. Elle qui avait établi cette liste uniquement dans un but défouloir, comment s'imaginer que son petit ami allait lui donner une telle importance ?Et comment reprendre une vie normale lorsqu'on est adolescente et qu'on se retrouve confrontée à quelque chose d'aussi dramatique ? Faire la part des choses entre ses propres responsabilités et les choses qui nous échappent totalement ?

La construction de ce roman est très bien pensée car elle alterne les moments présents où l'on suit Valérie, et les évènements passés qui ont menés à cette fusillade, jusqu'à cette tuerie elle-même. On découvre comment Nick a pu se laisser embarquer dans cet état d'esprit l'amenant jusqu'au point de non-retour. Cette histoire n'a aucunement pour but d'excuser cet acte irréparable. Et de toute façon, quelles qu'en soient les raisons elles ne peuvent justifier une chose aussi terrible qu'une fusillade.


J'ai beaucoup aimé les personnages que j'ai trouvé très bien travaillés. Valérie nous apparait au début du roman très faible, introvertie et mal dans sa peau. Puis, au fur et à mesure elle devient de plus en plus forte, on la voit qui peu à peu sort la tête de l'eau pour renouer avec la vie et surtout avec elle-même.

J'ai énormément apprécié le psychologue de Valérie qui, tout en étant très présent, sait se faire discret et permet à la jeune fille de s'impliquer dans sa propre reconstruction. Il la soutient mais ne la porte pas.

Hate List est un roman qui m'a touchée par la façon dont l'auteur a traité ce sujet si difficile. Elle nous offre une réflexion sur la violence à l'école et le mal-être que peuvent subir les adolescents et les jeunes adultes.

Une lecture émouvante qui ne m'a pas laissée indifférente.
Lien : http://voyageauboutdelapage...
Commenter  J’apprécie          90
J'avais envie de lire ce livre depuis sa sortie en français. le résumé m'attirait énormément et les avis que j'avais lus dessus étaient tous positifs. Et le mien l'est également, car j'ai adoré ce livre. Mais je n'irai pas par quatre chemins : ce livre est bouleversant ! J'étais souvent désemparée, surtout durant les passages avec le père de Valérie, je trouve qu'il était une vraie ordure ! J'étais horrifiée de voir son comportement face à sa fille. Mais aussi de voir toutes les conséquences du drame...

Je n'aurais pas voulu être à la place de Valérie, elle était tellement incomprise et jugée de tous ! Et ce, même avant que la tuerie ne se produise... Elle et Nick ont toujours été rejetés des autres. Aussi, Valérie aimait encore Nick après le drame, alors je suppose que ce devait être terrible pour elle. (Oui, je sais que ce n'est qu'un personnage fictif, mais j'étais complètement entrée dans l'histoire.) J'avais envie d'hurler aux gens, comme elle-même le disait souvent, qu'elle n'avait tiré sur personne, elle ! Par contre, j'ai adoré le docteur Hieler, il était si gentil et adorable !

Ce livre aborde un sujet dur, et même si l'écriture de l'auteure était parfois difficile à suivre (retours en arrière imprévus, articles de journaux ici et là), je trouve qu'elle a su décrire parfaitement les émotions des personnages, on arrivait facilement à voir ce que Valérie et les autres ressentaient. Ça m'a pris quelques minutes à me remettre de ma lecture, j'avais une boule dans la gorge et je ne savais pas trop comment réagir. Bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré ce livre et je le recommande à tous.
Commenter  J’apprécie          90
Valérie et Nick, son petit ami, souffrent. Chaque jour au lycée, ils doivent affronter le même calvaire quotidien : les professeurs qui les méprisent, les camarades de classe qui les martyrisent et les injurient, les parents qui les négligent… Alors pour trouver un dérivatif au désir de revanche qui les consume, ils imaginent la « liste de la haine » : un petit carnet où ils écrivent les noms de tous ceux qu'ils haïssent, de toutes les personnes médiocres, malveillantes, stupides, détestables qui « mériteraient de crever ». Une super idée vraiment, un baume sur leur fierté et leur sensibilité blessées. Jusqu'au jour où les choses tournent mal… Jusqu'au jour où Nick arrive au lycée armé d'un révolver et abat une à une les personnes recensées dans la liste avant de se tirer une balle dans la tête.

Voici Valérie seule. Seule pour affronter les conséquences d'un acte qu'elle n'a pas commis, seule face à la méfiance, la peur, le chagrin, les soupçons de la police qui la pense impliquée et la culpabilité lancinante de n'avoir rien vu venir, de n'avoir rien pu empêcher. Et pourtant il va falloir vivre, continuer à aller en cours, affronter le regard des camarades, des rescapés, des parents des victimes pour – peut-être, un jour – espérer retrouver une existence normale. C'est cette pénible renaissance que raconte « Hate List ». le lecteur va accompagner Valérie pas à pas dans sa longue lutte pour reprendre prise sur sa vie. le parcours sera difficile, ponctué d'humiliations et d'épreuves, mais aussi parsemé ça et là de lueurs d'humanité et d'espoir.

« Hate List » a le mérite de traiter un sujet difficile et sensible car terriblement d'actualité : la violence physique et psychologique en milieu scolaire et ses conséquences. Malgré cela, je dois reconnaître que le roman de Jennifer Brown ne m'a pas totalement convaincue. Certains passages, notamment sur la relation entre Valérie et sa famille, m'ont paru sonner très justes et nuancés, mais l'auteur ne parvient pas pour autant à éviter totalement les clichés habituels à ce type de récit. le passage où l'héroïne se redécouvre à travers la peinture m'a fait particulièrement grincer des dents : l'art rédempteur… Est-ce que les écrivains ne se lasseront jamais de ce fichu poncif là ? Bémols également sur la fin, un peu trop facile quoique assez touchante, et sur le style d'écriture pas mirobolant. Qu'on ne s'y trompe pas : « Hate List » n'est pas un mauvais roman – au contraire, il traite avec assez de pertinence et de sensibilité un sujet complexe – mais je le conseillerais plutôt à un public adolescent. Sur un thème très semblable, j'ai indubitablement préféré l'oppressant « Il faut qu'on parle de Kevin » de Lionel Shriver, plus noir, plus ambigu et plus mature.
Commenter  J’apprécie          90
Ce roman a un thème fort, troublant, et malheureusement d'actualité, avec les fusillades qui ont eu lieu récemment dans des lieux publics. La lecture de ce livre a donc un goût métallique d'authenticité, de réalité. La façon de commencer les chapitres avec des extraits du journal local, relatant le drame, est bien vue, car cela plonge le lecteur directement dans les faits. On peut avoir l'impression (gênante) parfois de s'engouffrer dans un voyeurisme malsain, mais le but de l'auteure est clairement autre : il s'agit de s'interroger sur la notion de culpabilité et sur le long cheminement, douloureux, pour parvenir à s'accepter à nouveau quand on s'est tant haï(e). Il s'agit aussi de se demander ce qui pousse certaines personnes à aller jusqu'à l'irréparable, à résoudre par le meurtre et le sang versé des problèmes personnels devenus insupportables. J'ai trouvé intéressant que les parents prennent aussi une place importante dans le récit, et que leur point de vue soit abordé : on voit combien il est dur pour eux de se positionner par rapport à leur fille, par rapport au rôle qu'elle a pu jouer dans ce drame. Par certains aspects, j'ai trouvé que le roman était un peu idéaliste, même si l'auteure a essayé d'équilibrer son récit entre éléments optimistes et éléments négatifs. J'ai été aussi gênée par certains tics de langage (mais peut-être est-ce dû à la traduction ?), comme l'expression "fusiller du regard", qui revient quand même très souvent, assez souvent pour que je le remarque et que ça m'agace. Je regrette également de ne pas avoir été émue par le texte ou par le contenu. J'ai été horrifiée, oui, c'est certain, mais la distance froide observée par l'auteure avec son texte n'était peut-être pas le style le plus adapté à ce style d'histoire. Mais il reste que ce livre a l'intérêt de faire réfléchir ses lecteurs sur la cruauté des brimades qui s'exercent si souvent dans les écoles, et sur les affreuses conséquences que ce comportement, qui amuse pourtant les copains, peut produire.
Lien : http://surlestracesduchat.bl..
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (2247) Voir plus



Quiz Voir plus

Hate list

Quel est le nom de famille de Valérie?

Rightman
Leftman
Middleman
Superman
Levil

10 questions
116 lecteurs ont répondu
Thème : Hate List de Jennifer BrownCréer un quiz sur ce livre

{* *}