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Citations sur Trois vies par semaine (88)

Cette affaire n'était pas une enquête, mais une quête...
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Elle dévisageait la gendarme avec un mélange d'inquiétude et de sens de l'hospitalité .Celle qui oblige à masquer sa surprise ,à offrir un café à la mort si elle pousse votre porte .
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- C'est toute la différence entre nous. Moi je n'aime personne, déformation professionnelle, alors que vous aimez tout le monde.
- J'ai quand même un peu de mal avec les grands-brûlés sans oreilles, osa Nanesse.
- Je n'en suis même pas certaine ! Votre vie, c'est de réparer les cœurs brisés, les gosses fêlés, les gueules cassées. Votre truc à vous pour être heureuse, c'est de vous nourrir de la souffrance des autres.
Nanesse allait se lever pour protester, mais Katel Marelle la retint d'un geste de la main.
- C'est un compliment, Agnès. Une vraie qualité. J'aurais adoré être comme vous. M'épanouir sur un tas de fumier. Avec toutes les saloperies que j'ai vues dans ma vie, je serais la plus heureuse de la terre.
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« Je leur répondais bêtement que quand on aime, quand on aime vraiment, on se fabrique toujours un personnage, on se crée un double digne d’être aimé par la femme la plus extraordinaire du monde. On s’invente des qualités, on renonce à ses défauts. Aimer, c’est enfiler chaque matin, pour épater son amoureuse, un costume de super-héros. »
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Il était à l’aise partout, Renaud, c’est pour ça que je l’admirais. Il avait ce don, je ne sais pas comment l’appeler, une faculté d’adaptation, de se fondre dans le décor ambiant, de te répondre exactement ce que tu avais envie d’entendre. Il aurait pu être espion. Il l’était peut-être, d’ailleurs.
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Elle ne l’avait jamais questionné sur son âge, sa taille, son poids ou la couleur de ses yeux. De peur d’être déçue, sans doute. Et la vie lui apportait un cadeau inespéré sur le pas de sa porte, un miracle debout devant elle, veillant à ne pas écraser le hérisson imprimé sur son paillasson. Pierre était plus vieux qu’elle, mais bien moins qu’elle ne l’aurait redouté.
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Quand on aime, quand on aime vraiment, on se fabrique toujours un personnage, on se crée un double digne d'être aimé par la femme la plus extraordinaire du monde. On s'invente des qualités, on renonce à ses défauts. Aimer, c'est enfiler chaque matin, pour épater son amoureuse, un costume de super-héros.
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Quand vos enfants ramassent les rêves que vous avez abandonnés derrières vous, et s’en habillent pour vous ressembler, c’est comme si l’on ne mourait jamais tout à fait.
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Il n'y a pas de hasard, jamais. Après tout, chaque père n'essaye-t-il pas de transmettre à ses enfants ce qu'il a le plus aimé, avant qu'ils naissent? De leur confier cette part secrète de sa jeunesse? Existe-t-il pour un père une autre façon de faire revivre ce qui a disparu? De réussir ce qu'il a raté? De soigner les regrets jamais cicatrisés?
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Je pleurais car mon fils ne pourrait jamais être tout à la fois, un explorateur, un danseur et un ingénieur. Je pleurais car j'avais l'impression de vivre avec trois enfants différents, tous si attachants, mais dès que je déménageais, je privilégiais l'un et les deux autres mouraient. J'avais assez d'amour pour les trois, mais un seul corps à serrer dans mes bras. Un seul enfant, que je rendais fou, mois après mois.
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