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3,68

sur 206 notes
Un genre tout à fait original d'avoir choisi d'écrire un roman dont l'intrigue se déroule à Venise au XVIIe siècle.
Un premier tome qui nous laisse deviner que la jeune Lucia doit résoudre l'énigme dans laquelle son père a été fait prisonnier par des hommes armés.
Bien sûr,  c'est un roman de cape et d'épée, bien sûr,  il y aura une suite, mais je n'ai pas trouvé l'intrigue suffisamment mystérieuse ni captivante pour avoir envie de découvrir la suite lorsque Mme Calmel la publiera.
On est loin d' Aliénor d'Aquitaine ou du Lady pirate qui ont pu nous tenir en haleine. Hélas je suis un peu déçue par la qualité d'écriture de ce dernier roman que j'ai trouvée un peu trop légère à mon goût.
Toutefois, je remercie Babelio de m'avoir donné l'occasion de participer à cette masse critique et aux éditions XO pour l'envoi de ce roman.
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Mireille Calmel c'est un peu un amour déçu. Je l'ai beaucoup aimé, mais avec le temps j'ai fini par me lasser. Ça fait donc des années que je n'avais pas lu un de ses romans. Et en refermant ce premier tome des Lionnes de Venise, je sais pourquoi. Si niveau intrigue, ça tient à peu près la route, même si tout se résout en quelques pages et qu'il y a d'énormes facilités, niveau style et vocabulaire c'est plus que moyen. Ça ne m'avait pas frappé quand j'étais une jeune lectrice, mais là ça m'a sauté aux yeux. C'est bien simple, on croirait que Mireille Calmel ne connait qu'un seul adjectif qu'elle utilise à toutes les sauces. Chaque description ou passage narratif est forcément "gourmand". Un regard: gourmand! Un mouvement: gourmand! Un incendie, des flammes: gourmand(es)! Alors je veux bien qu'un regard ou un mouvement puisse être gourmand (que quelqu'un me fasse un regard gourmand que je puisse juger), mais un incendie?! Qu'on m'explique comment un incendie peut-être gourmand! Je ne vais pas me lancer dans de la sémantique, mais on ne peux pas appliquer n'importe quel adjectif à n'importe quel mot sous prétexte que ça fait joli dans le texte! J'ai arrêté de compter l'apparition des "gourmand" au bout de 6 fois en 150 pages (ce qui est déjà pas mal sachant que les chapitres sont très courts et le texte très aéré) et j'ai essayé de me détacher du style pour me focaliser sur l'intrigue mais ça a été compliqué. J'enchaine direct avec le deuxième tome en espérant y trouver une intrigue un peu plus consistante et du vocabulaire un peu plus diversifié. Allez, on y croit!
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Venise, 1627.Le père de Lucia de Seva tient une imprimerie familiale au coeur de Venise dans laquelle il travaille avec ardeur. Un jour, une courtisane charge l'imprimeur de reproduire une gravure mystérieuse, un objet qui doit rester secret. Quelques jours plus tard, l'imprimerie prend feu, Giuseppe est enlevé par des hommes armés et Lucia réussit à s'échapper en emportant avec elle la gravure.
S'ensuivra une quête effrénée pour la jeune femme qui va tenter de retrouver son père dans une Venise où la corruption sévit.
[...]
"Les lionnes de Venise", paru cette année, est un ouvrage qui se compose de deux tomes dont le deuxième vient de sortir en librairie et j'ai vraiment hâte de me le procurer au plus vite.
Dans ce premier tome, nous rencontrons Lucia, une jeune vénitienne qui vit avec son père dans la maison familiale où se trouve leur imprimerie. Elle aime s'occuper de la maison en rêvant à l'être aimé qui n'est autre que l'assistant de son père. le soir de l'enlèvement, l'homme qu'elle aime est blessé par balle et décède quelques heures après, tous les rêves de Lucia s'écroulent ce soir-là. Elle est recueillie par un prêtre et est conduite au Couvent de Muran. C'est alors qu'un homme inconnu va venir la voir et la convaincre de lui faire confiance : qui est-il et que veut-il ?
Par la suite, Lucia va devenir courtisane, la séduction et la manipulation des hommes lui seront enseignées. Déterminée et rusée, elle va faire des rencontres et découvrir les bas-fonds de Venise ainsi que les passages secrets, les manipulations et les "guerres" de pouvoir, elle va aussi apprendre à manier l'épée. Son seul objectif : retrouver Giuseppe. Sa quête la mènera à percer le mystère de cette gravure, objet de toutes les convoitises.
J'ai pris plaisir à rencontrer les personnages du roman, ils ont pratiquement tous existé dans l'histoire de Venise...[...]
Il est important ici de souligner l'abondance des recherches effectuées par l'auteure pour reconstituer leur parcours. J'admire vraiment le travail fourni lors de l'écriture de ce roman. Tout y est : les personnages historiques, l'origine de l'étrange gravure, les pratiques vénitiennes en cette période du 17ème siècle (corruption, espionnage,...) et bien évidemment la description de la Venise de l'époque avec ses palais, ses ruelles, son port et Muran (aujourd'hui l'île de Murano). Les tenues, l'éducation des courtisanes et leur rôle sont tout aussi des éléments passionnants à lire. le maniement des armes, les duels, les costumes et les complots donnent de la consistance à la romance.
L'étude des archives de Venise a dû être longue et fastidieuse. de part ses ouvrages, et dans une écriture toujours fluide, Mireille Calmel nous embarque dans de belles romances et nous fait découvrir en même temps l'histoire d'une époque sans que cela ne soit trop lourd pour le lecteur.
J'ai beaucoup aimé découvrir la Venise du 17ème siècle en plein Carnaval, une période aussi chère aux vénitiens, et durant laquelle on se cache derrière un masque (pas forcément pour le plaisir de la fête...).
Un voyage dans le temps fascinant, une lecture prenante, [CHRONIQUE COMPLETE SUR LE BLOG]
Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Venise, an 1627, un modeste imprimeur est enlevé mystérieusement. Quelques jours avant, il s' était vu confier, par une célèbre courtisane, une gravure afin d'en tirer une estampe. Rescapée de l'incendie visant à détruire sa boutique, sa fille Lucia, 17 ans, se lance alors à sa recherche, après avoir escamoté ladite gravure qu'elle suppose liée à un secret de famille. Et voilà notre jeune ingénue, inconnue d'hier, transformée en Messaline d'aujourd'hui, maniant habilement la dague et le poignard et parcourant cachée derrière son masque les palais somptueux où pendant cette période bénie du carnaval vénitien, tous les grands de la Sérénissime se livrent aux plaisirs de la luxure.

Je ne sais pas si mon résumé reflète bien la réalité du scénario. C'est malheureusement ce que j'ai retenu de ce titre de Mireille Calmel. Par le passé, c'est une auteure dont j'ai beaucoup apprécié les ouvrages, notamment "Le bal des Louves", "Le lit d'Aliénor","Lady Pirate", etc. J'ignore si en vieillissant, mes goûts littéraires ont profondément évolué ou si ce titre est une erreur dans la carrière de l'écrivaine, mais ma déception est immense. Vocabulaire plat, intrigue historique nulle (et ce n'est pas la postface au sujet des personnages qui change la donne), contexte géographique réduit au minimum, rien ne m'a séduite. Sans doute est-ce dû à mon manque de concentration, mais les liens entre les différents protagonistes m'ont totalement échappé, je me suis littéralement noyée dans les canaux vénitiens.

Une déception qui se solde par un 7/20. Ne m'avouant pas vaincue, je vais quand même tenter le tome 2, pour le cas où le mystère s'éclaircisse enfin...
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Nous sommes à Venise en 1627 cette fois-ci, petit changement par rapport aux habituelles intrigues se déroulant au Moyen-Age. Lucia, jeune vénitienne travaille avec son père dans l'imprimerie familiale au campo Santa Fosca. Son quotidien s'effondre le jour où l'imprimerie brûle et qu'elle est obligée de fuir, ne réussissant pas à sauver son fiancé Luigi. Un certain Giorgio Cornaro, se met en tête de la former pour qu'elle devienne une des plus célèbres courtisanes de Venise, à l'image d'Isabella Rosselli, venue la veille à l'imprimerie au sujet d'une mystérieuse gravure. Lucia, avec l'aide d'un certain Marco, devra résoudre une énigme mais aussi tenter de sauver sa peau et retrouver son père.

L'intrigue, bien que détaillée, se concentre beaucoup plus sur l'action et il n'y a pas vraiment de temps mort. Je pense lire le tome 2 assez rapidement!
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le principal atout du roman est sa documentation très approfondie. Véritable immersion dans la Venise du 17ème siècle, il offre des panoramas de qualité, du vocabulaire adapté à tous les domaines – avec parfois des termes directement en italien – et toujours avec une simplicité qui met le lecteur en confiance. Ici, pas de longs paragraphes explicatifs sur le contexte culturel ou politique de Venise. La compréhension se fait naturellement et presque sans effort. Cette documentation est d'ailleurs beaucoup mise en valeur par la maison d'éditions, et il me semble avoir compris que l'autrice n'en est pas à son coup d'essai concernant les romans historiques. Ça explique son aisance pour introduire son univers au lecteur.
Les lionnes de Venise concilie avec efficacité une intrigue complexe et des scènes d'action dignes d'un récit de cape et d'épée. Tout est dans le dosage. L'intrigue fonctionne essentiellement grâce à sa dimension historique, encore une fois, et même si ses enjeux n'ont rien de très novateur, on se laisse aisément prendre dans ses filets.
L'action est omniprésente et génère une tension bienvenue au fil du roman, au rythme des révélations scénaristiques. Les deux dimensions se mêlent régulièrement et offrent un cocktail de qualité ; course-poursuites, combats hauts en couleur, infiltrations dans des lieux à risques…

Les lionnes de Venise maîtrise la majorité des ficelles qui font un bon roman, malheureusement un défaut subsiste, et pas des moindres, qui gâche durablement tout le reste. L'héroïne est à baffer, c'est aussi simple que ça.
Lucia de Seva est l'une des Mary-Sue les plus insupportables que j'ai pu rencontrer au cours de ma vie de lectrice. Mademoiselle se trouve médiocre esthétiquement parlant mais les plus puissants se pâment devant elle. Elle est si cultivée qu'elle connaît tous les grands noms de Venise et sort des références culturelles tout le temps. Elle est une modeste fille d'imprimeur mais réussit à mettre la cour à ses pieds, en trois jours à peine se convertit en une courtisane surdouée, change de caractère comme de partenaire sexuel potentiel et toutes ses erreurs se retournent contre ses ennemis. Il n'y a qu'à voir l'extrait que je vous ai sélectionné plus haut, c'est aberrant tellement le personnage est fantasmé ! C'est une fille d'imprimeur, ton héroïne, pas une noble dame qui s'est entraînée toute sa vie pour faire chavirer les coeurs. Et justifier tous ces travers par sa détermination et l'ardeur de sa vengeance ne suffit pas, au contraire : pour le coup, la ficelle de justification se voit comme le nez au milieu de la figure et empire le cas de Lucia, déjà lourdement chargé. Il lui faut des défauts, à cette petite, et des défauts qui influencent l'intrigue. Pas quelques coups de sang à deux ou trois moments du roman qui sont réglés illico par un intervenant extérieur sans qu'elle ait à assumer les conséquences de ses actes.
Cela gâche tout l'aspect hautement réaliste du reste du roman. L'autrice s'est fait plaisir, certainement, en conjuguant une profonde documentation teintée d'exotisme avec une héroïne parfaite qui règle tout en deux coups de cuiller à pot. Ça donne une intrigue flamboyante, des malheurs à pleurer qui s'abattent sur notre pauvre héroïne ; elle se relève toujours, meurtrie mais plus décidée que jamais à renverser son destin ! La forme est au rendez-vous, mais qu'en est-il du fond ? Il disparaît au profit de la forme pour une lecture superficielle, alors qu'avec une intrigue et un background pareils il y avait matière à créer des personnages beaucoup plus profonds et travaillés. C'est très dommage, je trouve, car à part le traitement des protagonistes qui reste à la surface de leur psychologie, tous les voyants affichaient vert pour ce roman. Seule Isabella Rosselli connaît un meilleur développement, et encore. Il ne reste plus qu'à espérer que le tir se corrigera dans les tomes à venir.
Lien : https://lemondefantasyque.wo..
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C'est un livre qu'on m'a offert suite à mon voyage à Venise. J'aime lire des histoires se déroulant dans les pays/villes visités. J'imagine mieux les scènes et l'histoire m'emporte plus facilement.

Les lionnes de Venise n'est pas vraiment la littérature que j'apprécie avec une héroïne un peu stéréotypée, belle, intelligente et sachant se battre (hé oui ! Finie l'époque des princesses potiches et c'est tant mieux !). Elle vivait dans la classe populaire et du jour au lendemain, elle se retrouve propulsée dans le monde des Puissants où se mêlent complots et intrigues amoureuses.
La lecture est facile et on se laisse vite attraper par les différents rebondissements. L'univers est loin d'être mielleux (quelques passages seulement), mais plutôt sombre. En effet, notre héroïne sème les morts derrière elle.

Le gros gros plus de ce livre, c'est la recherche documentaire de l'auteur ! Certains personnages ont existé et elle nous en parle à la fin de son livre. J'ai vraiment apprécié ce travail vraiment bien incrusté dans l'histoire.

Toutefois, il me faudra peut-être un petit coup de pouce pour lire le tome 2, je farfouille souvent dans les boîtes à livres donc qui sait !
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Une lecture plus que mitigée pour moi.
Le découpage en chapitres très courts donne de la dynamique. J'avais déjà lu Mireille Calmel il y a 10 ans avec Lady Pirate et j'en gardais un bon souvenir. Je n'ai donc pas été surprise de retrouver "ses" codes fétiches : un vocabulaire incisif et léché, un cadre historique bien documenté et retranscrit, une histoire menée tambour battant, des retournements de situations et une jeune héroïne plus que badass. Sauf que cette fois, la sauce n'a pas pris. J'ai trouvé ca "too much" sur bien des aspects. Peut-être était-ce déjà le cas avec Lady Pirate mais étant plus jeune je n'attendais pas la même chose de mes lectures. Je vous jure que j'ai levé les yeux au ciel un nombre incalculable de fois. L'héroïne m'a agacée au plus haut point, je ne vous raconte pas ! Heureusement, le style de Mireille Calmel est agréable et les pages tournent vite. Mais il n'empêche que je voulais claquer cette Lucia toutes les 2 pages ! Fille d'un artisan de Venise, sans titre, sans grande richesse, simple, mignonne, amoureuse de l'apprenti de son père depuis 3 ans mais innocemment : au début ça commence bien, tout est crédible. Mais alors elle change du tout au tout en 6 jours (durée de l'histoire) : elle devient la courtisane la plus douée de Venise, resplendissante, voluptueuse à souhait, épéiste émérite, elle tombe amoureuse d'un homme qu'elle a rencontré 4h plus tôt, de deux fois son âge et se donne à lui dans la foulée (alors que son fiancé est mort 3 jours avant, le deuil n'a pas été très long…). Je vais pas tout vous lister. L'autrice en fait des caisses et trop, c'est trop, désolée ! Honnêtement, je comprends très bien pourquoi toute cette comédie peut plaire. Ça fait rêver/ fantasmer les lectrices (ne nous voilons pas la face, le livre s'adresse à un lectorat féminin) et j'aurais pu me prendre au jeu il y a quelques années mais j'ai passé ce stade. Il en ressort une intrigue enrobée dans une romance exagérée. Et comme vous le savez, moi, la romance dans les livres, ce n'est pas ma tasse de thé. En plus avec tous ces traîtres et retournements de situation, je me suis totalement perdue, ne sachant plus qui était gentil ou méchant et quelles étaient ses motivations à la fin.
En conclusion, l'univers vénitien de la renaissance est le point fort de ce livre ainsi qu'une plume plutôt agréable. Si vous aimez les héroïnes femmes fatales/douée en tout et les intrigues retorses, c'est pour vous. Sinon, passez votre chemin. Pour ma part, je ne pense pas lire la suite ou alors vraiment à l'occas'
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Le résumé était alléchant (histoire d'espionnage à Venise) mais quelle déception!!!! J'ai trouvé le style et le vocabulaire plats, les dialogues insipides... Je n'ai pas accroché aux héroïnes, trop nunuches: Lucia qui est formée en 4 jours au rôle d'espionne, Isabella espionne officielle soi-disant expérimentée qui se fait embobiner en quelques heures par un petit jeune... Bref, totalement incohérent. J'ai arrêté le livre au milieu.
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Comment vous annoncer… que j'ai adoré ! Avec Mireille Calmel c'est devenu une habitude. Une routine qui est loin de me déranger. Mille merci à XO Editions pour cet envoi qui a largement tenu ses promesses !
Comme pour ses autres sagas, il ne suffit que de quelques lignes pour remonter le temps.
Cette fois-ci ce n'est pas en France mais à en Italie, à Venise que l'auteure nous emmène en voyage.

A la veille du Carnaval qui habille la ville et ses canaux de mille couleurs, d'un excès d'opulence, de sensualité… A la veille de ce carnaval où tout n'est que fête et inconscience, un drame touche la jeune Lucia. Son père, imprimeur (à qui une commande délicate et secrète a été confiée quelques heures auparavant), est enlevé sous ses yeux, son fiancé grièvement touché, et sa maison, l'imprimerie, sa vie, partent en fumée.

Elle n'a qu'un indice : la gravure que son père devait copier pour une espionne. Un objet qui avait déjà mené à sa perte le grand-père de la jeune femme. Il serait le code qui donne accès à un grimoire détenteur d'un pouvoir sans limites. Les enjeux sont énormes, et Lucia s'en rendra vite compte, en constatant que toute la haute sphère vénitienne s'active à la recherche de l'objet.
Entre alliances, trahisons et vengeance, elle se lance à corps perdu à la recherche de son père. En quatre jours on lui apprend à devenir une femme fatale. Elle doit faire illusion au carnaval si elle veut découvrir où son « petit papa » est retenu prisonnier.

Forte, séduisante, impulsive, tiraillée entre haine et amour, Lucia est une héroïne comme Mireille Calmel aime les créer. Et comme on aime les suivre… Elles sont toujours la promesse d'un roman palpitant. Une fois encore c'est réussi !
J'ai dévoré le roman en deux soirées… Et regretté d'arriver si vite au bout, frustrée par cette histoire qui attend une suite.
J'ai hâte qu'elle sorte mais il faudra être patiente, le tome 1 n'étant en librairie que depuis ce jeudi 18 mai.

D'autres personnages féminins et masculins forts entourent Lucia. Mais je ne rentrerai pas dans ces détails pour ne pas vous trop dévoiler l'histoire, ce serait dommage…

J'apprécie particulièrement le soin que l'auteure apporte non seulement à l'intensité du récit, mais aussi à la cohérence de celui-ci. Les lieux, les objets, les personnages, les attitudes… Pour que l'immersion soit si réussie il faut que le cadre soit parfait. Mireille Calmel crée ses romans avec beaucoup de soin, elle s'appuie sur un travail important de recherches historiques et s'entoure de spécialistes. Et ça se ressent !

— Les plus :

Venise et Murano sont un théâtre exceptionnel pour cette aventure. Ville de l'amour, du paraître et des masques, ville mythique où tout peu disparaître noyé sous la puissance des eaux.
Mireille Calmel mêle une fois encore des personnages historiques à sa fiction. Des personnages que l'on connaît peu, voir pas, mais que l'auteure nous permet de rencontrer.
— le moins : bon, je chipote un peu… Mais le petit point négatif serait, à mon sens, les répétitions de certaines expressions. Comme « enrouler ses doigts ». Ok… je chipote beaucoup!
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